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Le Télégramme automne 2010. Le nouvel onglet Nantes à côté des 4 autres départements bretons (en jaune ajouté).
Le Télégramme automne 2010. Le nouvel onglet Nantes à côté des 4 autres départements bretons (en jaune ajouté).
- Dépêche -
Un vent de Bretagne B5 souffle en Finistère ?

On le constate à la lueur de trois faits récents remarqués, un sur France Bleu Breizh Izel et deux pour Le Télégramme. Sur ses pages web, en ouvrant l'onglet Bretagne il y a maintenant le sous-onglet Nantes

Maryvonne Cadiou pour ABP le 11/11/10 18:56

On le constate à la lueur de trois faits récents remarqués, un sur France Bleu Breiz Izel et deux sur Le Télégramme en ligne.


— Une lectrice d'ABP et auditrice de RBO-RBI – alias France Bleu Breizh Izel qui émet de Kemper – a téléphoné à ABP vers 16 heures :

Cette radio a annoncé une tempête et a recommandé aux auditeurs de ne pas sortir... Si ce conseil est judicieux, ce qui a frappé l'auditrice-lectrice c'est la phrase " … sur tout le littoral breton, de Penmarc'h à Saint-Nazaire ".

Ça souffle sûrement aussi à Pornic et à Préfailles, mais, devant cette avancée vers une Bretagne entière, on ne chinoisera pas sur l'oubli du sud Loire. Et, depuis le Finistère, Saint-Nazaire est sûrement bien plus facile à situer mentalement que Pornic et Préfailles.


— L'autre fait remarqué depuis quelque temps vient du Télégramme – de Morlaix comme chacun sait. Voir dans le PDF quelques entêtes du Télégramme.

Sur ses pages web, en ouvrant l'onglet Bretagne il y maintenant le sous-onglet Nantes.

Encore un petit effort, à quand son remplacement par Loire-Atlantique ? Il y a encore peu de nouvelles de "Nantes", mais l'aéroport nouveau – de Notre-Dame des Landes – y est qualifié de "Futur aéroport de Nantes"... (voir le site) , c'est Rennes qui va être contente !

Il est évident qu'il est encore un peu difficile de titrer " Le futur aéroport international de Bretagne ", pourtant, ça vous aurait une de ces classes !

Nous ne chinoiserons pas non plus sur le fait que cet article a d'abord été classé dans "Finistère" (malheureusement pas de copie d'écran...)...


— À propos de vent, Le Télégramme persiste dans le bon sens aujourd'hui (voir le site) avec :

" La zone menacée en Bretagne et Vendée se situe entre Perros-Guirec et l'Anse de l'Aiguillon en Vendée ".

Fut un temps où on lisait : " en Bretagne, Pays de Loire et Charentes... " par exemple.


Pour preuve voir ( voir l'article ) la rédaction du début des articles signalée, telle :

" La Bretagne, la Normandie et le littoral des Pays de Loire " [sic] " subissent aujourd'hui... "

" La Bretagne mais aussi la Loire-Atlantique, la Vendée et la Basse-Normandie, ont subi... "

Ou encore, (voir le site) :

" Bretagne, Basse-Normandie, Loire-Atlantique et Vendée ont essuyé, hier, leur première grande tempête hivernale ". 

Le Télégramme à la loupe

Que s'est-il passé au Télégramme entre juin et septembre 2010 ?

Pour les dossiers retraites et manifestations, la Loire-Atlantique est mentionnée en juin comme en septembre, mais avec une évolution :

– En juin, avec l'Ouest dans le titre :

(voir le site) : " La mobilisation  a été très forte aujourd'hui dans l'Ouest. Plus de 15.000 manifestants à Brest, Nantes, Rennes et Lorient... "

– En septembre :

Le 7 septembre l'onglet Nantes n'est pas encore là, mais la Loire-Atlantique est dans la liste pour les nombres de manifestants et il n'est plus question de l'Ouest.

(voir le site) : " Réforme des retraites. Forte mobilisation en Bretagne [Videos] ".

– De même en novembre :

(voir le site) : " Retraites. Mobilisation en baisse en Bretagne [Chiffres] ".



Bravo au Télégramme pour cette évolution et qu'il continue surtout. Qu'en pense Ouest France ?


Maryvonne Cadiou


Document PDF 20550_2.pdf Quelques entêtes du Télégramme.. Source :
Voir aussi :
Cet article a fait l'objet de 2218 lectures.
Correspondante ABP depuis février 2007.
Voir tous les articles de de Maryvonne Cadiou
Vos 12 commentaires
Patrick Chevin Le Vendredi 12 novembre 2010 23:04

Mais quand donc ouvrirez-vous les yeux pour voir que ce n'est pas tant Paris qui empêche la Pays breton de se constituer en une entité distincte, indépendante, consciente d'elle-même et soucieuse de préserver sa langue, mais plutôt la Bretagne elle-même, qui depuis son extension vers l'Est, depuis Nominoé, suivie du duché puis de la province et finalement la région, de langue gallo-latino-française n'a eu de cesse de renforcer ses lien avec la France et sa dépendance à tout les niveaux, jusqu'à l'assimilation totale, même langue, même histoire, même destin... Le rattachement de la Loire-Atlantique n'est que le chapitre final de cette saga de l'assimilation et de la dissolution dans la nation française et qui fait que la Basse-Bretagne est à la Bretagne ce que la Flandre est à la Belgique...
La Bretagne, sans la langue bretonne n'est ni plus ni moins que la partie la plus occidentale de la France, là où la pluie tombe en premier...
Mais le territoire de la langue bretonne, son peuple, sa culture, qui ont résisté dix siècles durant contre la domination de la Haute Bretagne puis de la France, et dont la seule frontière à l'est est celle qui la sépare du pays gallo, c'est-à-dire en breton, le pays français, ce territoire s'appelle depuis toujours, dans la culture et la conscience collective du peuple bretonnant BREIZ IZEL, et sa non-reconnaissance par les bretons eux-mêmes, puis par le reste du monde, signe l'arrêt de mort de la langue bretonne et de son non-peuple privé d'identité autre qu'un particularisme français, se traduisant notamment par une goût prononcé pour le beurre salé.
BREIZ-IZELIZ WAR ZAO ! (brovreizpaysbreton)
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Maryvonne Cadiou Le Vendredi 12 novembre 2010 23:32
Merci pour cette leçon d'histoire et de géopolitique...
Alors vous êtes de ceux qui remonteraient volontiers à la Bretagne des temps géologiques ?
Avant l'apparition de l'homme ?
Moi je faisais juste une remarque sur ICI et MAINTENANT et les temps ACTUELS qui changent et vite.
En quelques mois Le Télégramme s'est transformé, alors que Ouest France nous fait encore des pages Pays de la Loire… où on trouve aussi des informations sur le reste de la Bretagne, tant il ne se passe rien dans ces Pays de Loire, c'en serait presque risible si ce n'était pas pathétique, ce vide d'une non-région avec une non-identité...
Pour les Bretons de Loire-Atlantique et les tenants de la réunification de la Bretagne – on ne dit pas rattachement – ces signes sont importants.
Vous écrivez “Le rattachement [aïe] de la Loire-Atlantique n'est que le chapitre final de cette saga de l'assimilation et de la dissolution dans la nation française ...
Non seulement vous n'acceptez pas l'idée de “rattachement” comme vous dites, donc vous soutenez cette non-région des pays de Loire... mais encore, vous voudriez que, dans cette pauvre Bretagne croupion, il y ait une division de plus liée à la langue !
Mais parlent breton partout dans le monde ceux qui veulent et ceux qui peuvent. Parlent français de même. Ceci est une vaine querelle, du XIXe siècle ? (Les celtisants de d'Arbois de Jubainville ?). Maintenant nous parlons Réunification de la Bretagne et économie renforcée, en breton, en français en anglais en japonais ou en volapük...
Le beurre était salé pour se conserver mieux plus longtemps. Raison utilitaire et économique aussi. Heureusement que les Bretons l'ont aimé quand ils ne pouvaient pas produire autre chose !
Vous voyagez ? Vous parlez combien de langues ? Aux Pays-Bas je parlais plus volontiers anglais que breton pour être comprise et un peu flamand-néerlandais ! !
Et – la Basse-Bretagne est à la Bretagne ce que la Flandre est à la Belgique... – vous voulez nous monter les uns contre les autres ? J'ai tapé votre nom sur Google. Et j'ai vu les commentaires sur http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=18396 de ABP en mai dernier. J'espère qu'on ne va pas recommencer ça ici...
Vous avez de la constance dans l'obsession... Vous voudriez même l'autonomie de la Basse Bretagne ! Vous savez quoi ? Mettez toutes vos idées dans des pièces de théâtre en breton et proposez-les à la troupe de Plouguerneau... que j'admire.
Bonne chance !
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Paul Chérel Le Samedi 13 novembre 2010 14:23

Bonjour à tous. Je n'ai pas réussi à bien comprendre le langage obscur de Patrick Chevin mais j'applaudis à la réaction de Maryvonne Cadiou. Quant à l'article, moi qui ne lis pas ces quotidiens prétendument régionaux ( bien que je reçoive quotidiennement le télégramme dans son édition numérique sur les deux thèmes choisis par moi, Bretagne et économie), je dois constater que Maryvonne a entièrement raison. J'ai effectivement noté que, petit à petit, le télégramme faisait fi de cette frontière ridicule alors que OF (il faut dire qu'avec un titre pareil, il lui est difficile de s'évader du politiquement correct) ses éditions saucissonnées ignorent évidemment tout lorsque l'on habite La Roche-Bernard de ce qui se passe à Herbignac, mais en plus les Alréens commencent à ne plus savoir si Lannion est en Bretagne. Je n'aurai pas l'audace d'en tirer une moralité. Paul Chérel
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Patrick Chevin Le Samedi 13 novembre 2010 21:18

Juste deux petites remarques Maryvonne, si vous permettez:
1- Vous m'accusez de monter les uns contre les autres, mais "vous", vous voulez faire passer une frontière qui couperait en deux les pays gallo, angevin et poitevin... et à l'ouest de cette frontière bretonniser ce qui ne l'a jamais été... C'est cette Bretagne-là qui condamne la bretagne bretonnante (Belgique/Frandre)...
2- Votre vision d'une Bretagne universelle, sans frontière et le fruit d'un conditionnement des esprits par l'idéologie jacobine, qui a contaminé jusque les confins de l'hexagone et fait qu'aujourd'hui les Bretons sont plus français que les Parisiens... Vous-même traitez le pays que j'appelle de mes voeux, par necessité, et non pas "obsession", de croupion!...
Le mouvement breton et le mouvement français sont une seule et même chose chez les Indiens d'Armorique...
Trugarez deoh da veza bet digoret din al lehig mañ. Kenavo ar henta!
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J-Luc Le Floc'h Le Samedi 13 novembre 2010 23:09
Mais d’où vient donc que la partie occidentale de la péninsule bretonne, qui porte les reliefs les plus vigoureux (387 m au Roc’h Trevezel comme au Tuchenn Kador) soit qualifiée de Basse-Bretagne. Quand la partie orientale, plus sage avec le bassin sédimentaire de Rennes ou le pays Nantais est qualifiée de Haute-Bretagne ?
Serait-ce lié, selon un discours très commun et très colporté, à la séparation linguistique… ? Mais alors, quid de la Basse-Normandie (417 m aux Avaloirs) et de la Haute-Normandie (du côté de la basse vallée de la Seine) ?
Plus fort encore : contrairement au français très dépréciatif avec son « Basse-Bretagne », le breton est au contraire très tonique et secrètement fier avec son « Breizh-Izel »…. Serait-ce en raison de l’esthétique du langage et de la proximité sonore entre « Breiziz » (pluriel de « Breizad », pour désigner un habitant de Bretagne) et Breiz-Izel ?
Pendant longtemps je me suis interrogé en vain sur ce curieux partage géographique, jusqu’à ce que je découvre que cette terminologie intrigante provenait simplement de la période romaine. Est qualifié de « haut » ce qui est plus proche de Rome, est qualifié de « bas » ce qui est plus éloigné de Rome. Bien sûr, on voit très bien l’intention « politique » et stupidement « dépréciative » qui se profile derrière le maintien tardif (au-delà de la fin de l’Empire romain, en 413) de cette dichotomie.
Encore une chose, les géographes Romains n’ont pas toujours compris qu’ils avaient en face d’eux une péninsule, au dessin très particulier, à la pointe de l’Europe, ce qui explique que l’Armorique (future Bretagne) se soit retrouvée dans la « Province Lyonnaise » (préfecture Lugdunum/Lyon). Cela nous paraît complètement illogique et incompréhensible. Il importe pourtant d’avoir conscience que la représentation mentale que se faisaient les Romains de l’Europe (certains documents très anciens sont stupéfiants à ce sujet) était irréaliste jusqu’à la caricature, avant qu’ils ne s’ajustent, très progressivement et sans doute très imparfaitement, à la réalité géographique…
Un dra zo sur : Breizh-Izel + Breizh-Uhel = 29+22+56+44+35 = Breizh a-bezh !

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J-Luc Le Floc'h Le Samedi 13 novembre 2010 23:10
Manque d'exactitude de ma part: la fin de l'empire romain d'Occident date de 476 (voir par exemple: http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=4760904.
Bien sûr, l'empire d'Orient (Byzance) s'est prolongé bien plus tard.
Avec mes excuses.
Ma tigarezit. Re vuan on bet en ur skrivañ ar c'hemennad kentañ.
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Maryvonne Cadiou Le Samedi 13 novembre 2010 23:11
Je permets, monsieur Chevin, 'vit ar wezh diwezhañ diganin-me !
J'aurais eu plus de plaisir à vos remerciements en breton unifié, toutefois. Par égard et respect pour ceux qui l'apprennent, car c'est l'orthographe unifiée qui est enseignée.
La Bretagne en tant que Bretagne a existé dans son ensemble couvrant à peu près les 5 départements actuels depuis combien de siècles ?
On ne va pas refaire ici tous les forums de OF, PO et Le Télégramme sur la réunification de la Bretagne depuis 2007... et la phrase du président : Oui ? Non ? Pourquoi ? Comment ? Etc.
Vous ne croyez pas que pour vos histoires de frontières de pays gallo englobant les provinces limitrophes c'est un peu tard... Et votre avènement « par nécessité » d'une Bretagne bretonnante sur un département et la moitié de deux autres (la fameuse ligne Saint-Brieuc-Vannes du XIXe) est régressif... à l'heure de l'Europe et des régions que l'on veut fortes économiquement et cohérentes... ?
Première fois que je lis cette théorie. À mon avis vous n'aurez pas beaucoup d'adeptes pour vos nouvelles frontières... de l'Ouest !
Quant à la « Bretagne croupion », cher monsieur, ce fut longtemps un slogan de manifestations, avec « Région Bretagne, Bretagne croupion, Pays de Loire, Pays bidon » ou quelque chose comme ça. Ce mot de bidon a d'ailleurs entraîné la manifestation Ligerium par Bretagne Réunie devant l'hôtel de la région, à base de bidons... au moment du dernier Estuaire. Car les tenants de la réunification de la Bretagne telle qu'elle était jusqu'en 41 ont de l'humour, eux...
Cette Bretagne croupion est la région B4, administrative, avec une partie en pays gallo, donc ce n'est pas « le pays que j'appelle de mes voeux » qui, si j'arrive encore à vous suivre, est la Bretagne bretonnante – à séparer (comment ?) du reste du Pays gallo qui va... jusqu'à Poitiers où même Limoges ? !
Ne vous est-il jamais venu à l'idée que si cette basse Bretagne a été si longtemps bretonnante et quasi exclusivement bretonnante, c'est parce qu'elle était inaccessible. (Elle est donc restée longtemps très pauvre, d'où, par exemple, la profusion de chapelles et églises du XVIe alors qu'en haute Bretagne, plus riche, beaucoup ont été remplacées par du néogothique). Elle a donc aussi été moins « contaminée » par le français ou le gallo. Si routes et chemins de fer s'étaient développés plus tôt (début du XIXe au lieu de milieu : Nantes le train en 1851 !) il n'y aurait probablement plus eu de breton oral à pleurer... pas de collectages du XIXe. Seul resteraient les écrits.
« aujourd'hui les Bretons sont plus français que les Parisiens... » Sur quels critères ? La langue bretonne, si je vous suis bien ? Ben voyons, tous les Parisiens parlent breton, c'est bien connu. C'est d'ailleurs pour cette raison que Produit en Bretagne avait mis des affiches en breton dans le métro parisien (et sur le périf) : http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=7074
Adieu monsieur
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Patrick Chevin Le Dimanche 14 novembre 2010 19:08

Excusez-moi. Je ne dois pas être très doué pour faire passer mon message (pas assez diplomate sans doute), car je constate que vous n'avez rien compris à ce que j'ai voulu dire...
Pour ce qui est du peurunavan, je préfère que le breton disparaisse que de le voir écrit comme ça...
Madame...
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Caroline Le Douarin Le Dimanche 14 novembre 2010 19:11
L'avancée du Télégramme est significative !
Je ne comprends vraiment pas ce que veut dire monsieur Chevin. Je me demande aussi s'il se comprend lui-même. Il semble recroquevillé sur une Bretagne bretonnante de la surface de deux départements qui serait pour lui une "région" ? ?
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Patrick Chevin Le Mercredi 17 novembre 2010 09:37

La Bretagne est une région française, construite à partir des territoires de langue romane de la Marche de Bretagne, et cherchant depuis l'époque du Royaume, puis du duché, à s'étendre vers l'est, pour finalement s'intégrer dans la nation française, sous forme de province puis de région. Elle s'est toujours foutue éperdument de la partie bretonnante. La langue du duché était le latin, puis le français, un siècle avant la France, et il a fallu attendre les romantiques et l'empire pour que quelqu'un s'intéresse quelque peu à langue bretonne en des termes non péjoratifs. La Basse Bretagne a toujours été la victime des gouvernements français de Rennais et de Nantes, avant de le devenir du gouvernement français. Elle est la seule nation bretonne, possédant sa propre culture et sa propre langue, et ce n'est que sur son territoire, défini depuis la fin du moyen-âge que l'on peut parler de peuple breton. Le nier, c'est perpétuer l'ignorance, l'erreur, l'assimilation et l'anéantissement.
"brovreizpaysbreton" - Luskad Breiz Dizalh / Mouvement breton indépendant.
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Yann Kristoc'h C Le Mercredi 24 novembre 2010 10:46
Malheureusement, les bonnes intentions vont et viennent.
Il y a peu le Télégramme avait présenté une carte juridique B4 alors même que le Ministère de la Justice est l'un des derniers s'organiser en B5.
Aujoud'hui, c'est la carte des Médecins de Bretagne qui est présentée sous format B4!
Choquant de ne pas respecter 1,2 millions de bretons!
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Maryvonne Cadiou Le Mercredi 24 novembre 2010 10:56
Exactement !
Coup double aujourd'hui ! La carte des phares de Bretagne aussi est B4.
Le service Infographie du Télégramme oublie le magnifique phare de Kerlédé en Loire-Atlantique. Mais il y a moyen de réagir aux articles.
Ce service ne semble pas suivre la nouvelle ligne et aura beaucoup de travail à refaire ses fonds de cartes. Espérons qu'il s'y mette vraiment et vite...

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