Emilie Le Berre Le Jeudi 23 juillet 2015 10:34
De toute façon ce systeme est déjà mort avec bien d'autres. La réponse de la Confédération paysanne donne une bonne image de la situation
MANSKER Le Dimanche 26 juillet 2015 12:26
On parle le plus souvent de lisibilité de la provenance de la viande ou de tout produit transformé. Il est vrai que la provenance est mal définie, ce que les agriculteurs dénoncent actuellement en sillonnant les rayons de super-market (viande de nulle part). Deux choses, l'une est que quand une filière est en danger il faut que le peuple fasse bloc et achète local pour soutenir le tissu industriel qui fait travailler les parents, les amis, etc.. L'autre est que l'étiquetage en question ne soit pas faussé, une viande émanant d'un pays de la communauté européenne serait-elle estampillée made in France si transformée dans ce pays ? Bref, un grand flou, un marché commun, qui avait très certainement ses avantages, il fut un temps...
Quand à la politique de la rustine, elle vaut pour tous les secteurs d'activités. Le système pyramidal donne la mesure, des bons points pour les uns, et que dal pour les autres, ou des miettes, au choix !
A quand une étiquette digne de ce nom, avec certification de produit en Bretagne. Un choux-fleur ou un artichaud breton (deux exemples parmi tant d'autres), serait-il égal à d'autres légumes de provenance européenne ou extra européenne.
Un mouton élevé au Mont Saint-Michel serait-il au même prix qu'un mouton néo-zélandais ?
Certains arguerons que les porte-feuilles sont vides, ok, entièrement d'accord, mais évitez d'acheter moins cher, de très bons plats sans viandes existent, ou achetez local.
Quand aux super-market arrêtez de refuser de la marchandise sous prétexte de futilités. Tout le monde sait (enfin presque),que quand les ventes de tel ou de tel autre produit baisse (tomates, endives, etc), vous refusez les marchandises pour un oui ou pour un non ! On comprend mieux que les paysans vous en veulent !!