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- Rapport -
Quand les élus appellent à courir pour la redadeg...
Nicolas est conseiller régional, maire, président..., Marcel est maire
Fanny Chauffin pour ABP le 7/05/12 22:44

Nicolas est conseiller régional, maire, président de la Communauté de communes, Marcel est maire et vice-président chargé de la langue bretonne à la COCOPAQ (COmmunauté de COmmunes du PAys de Quimperlé).


Ils vont tous deux courir pour la langue bretonne. Le vendredi 18, ils courront tous les deux sur les routes de leur commune derrière la camionnette de la Redadeg.

Marcel Moysan est maire de Querrien, bretonnant de naissance, attaché à encourager et à développer les actions en faveur de la langue bretonne sur tout le territoire de la COCOPAQ. Il y a deux ans, à peine remis d'un accident, il avait couru sans faillir deux kilomètres.

Nicolas Morvan est "croyant, mais pas pratiquant" : il a donc toujours encouragé les actions en faveur du breton, disant que la République devait réparer une erreur historique, et des années d'humiliation. Il ne parle pas breton mais encourage la création d'une classe bilingue sur sa commune qui devrait voir le jour en septembre prochain.

Il courra pour la première fois.

Voir aussi :
Youtubeuse, docteure d'Etat en breton-celtique à l'Université Rennes 2 / Haute Bretagne, enseignante, militante des droits humains à Cent pour un toit Pays de Quimperlé, des langues de Bretagne avec Diwan, Aita, GBB, ...., féministe, enseignante, vidéaste, réalisatrice, conteuse, chanteuse, comédienne amateure, responsable depuis vingt ans du concours de haikus de Taol Kurun, des prix littéraires Priz ar Vugale et Priz ar Yaouankiz, ...
Voir tous les articles de de Fanny Chauffin
Vos 1 commentaires
Job LE GAC Le Mardi 8 mai 2012 19:52
"Nicolas Morvan est «croyant, mais pas pratiquant» : il a donc toujours encouragé les actions en faveur du breton, disant que la République devait réparer une erreur historique, et des années d'humiliation."
Ca n'est pas "UNE" erreur mais DEUX erreurs historiques que la République se doit de réparer :
- La langue bretonne
- Le retour de la Loire Atlantique dans la région Bretagne ! n'en déplaise au nouveau Président, en espérant que les élus bretons aient suffisamment de poids pour le faire changer d'avis. Une mesure qui ne coutait rien et qui aurait contribué à faire encore plus fort, cette unité dont il a tant parlé !
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