Les présidents de la Région, du Département et de Nantes Métropole détaillent leur soutien à l'aéroport du Grand Ouest et annoncent un vote simultané le 18 octobre 2010
Dossier de presse, 27 septembre
L'aéroport du Grand-Ouest à Notre-Dame-des-Landes a franchi cet été une étape décisive, avec la désignation par l'État du groupement conduit par Vinci, pour sa construction jusqu'en 2017 et son exploitation ultérieure. C'est un équipement essentiel pour l'ouverture internationale de l'Ouest, souhaité depuis de nombreuses années par les acteurs économiques, sociaux et politiques de ce territoire, qui s'apprête à se concrétiser.
Jacques Auxiette, président du Conseil régional des Pays de la Loire, Patrick Mareschal, président du Conseil général de Loire-Atlantique et Jean-Marc Ayrault, président de Nantes Métropole précisent aujourd'hui les objectifs et les modalités de leur soutien au transfert de l'aéroport.
Plan des chapitres développés dans le dossier de presse
— « Pourquoi nous soutenons le transfert de l'aéroport »
1. Un instrument essentiel à l'ouverture du Grand Ouest ;
2. Un équipement porté par l'État, voulu et souhaité par les acteurs de l'Ouest ;
3. Un coût maîtrisé, un soutien financier raisonnable des collectivités territoriales ;
4. La fin des nuisances, des contraintes et des risques dans l'agglomération nantaise ;
5. Un aéroport pour inscrire le Grand Ouest dans le transport aérien des 50 prochaines années ;
6. L'aéroport le plus ambitieux au plan environnemental.
— Les modalités du soutien des collectivités au transfert de l'aéroport
– Une participation financière très encadrée ;
– Les quatre plus importantes collectivités de l'Ouest, engagées.
« Le transfert de l'aéroport sera utile à notre développement, qui n'en sera pas moins durable » concluent Jacques Auxiette, Patrick Mareschal et Jean-Marc Ayrault.
« Cet aéroport sera au service de l'aménagement et du dynamisme des Pays de la Loire, de la Loire-Atlantique et de la métropole nantaise, ainsi que des régions voisines. Il n'est pas un objectif en soi mais l'un des atouts que nous voulons pour l'Ouest qui doit être doté des moyens de déplacement à la hauteur des enjeux d'une grande région européenne ; il sera un levier pour l'industrie, l'emploi, un moyen de conforter notre place face à la mondialisation que nous voulons apprivoiser, dans le respect des valeurs d'ouverture et de tolérance qui nous caractérisent ».