Sakinat Amiraliéva et sa fille Patimat sont toujours sous la menace d’une expulsion.. Les raisons qui les ont conduites à quitter leur pays sont des raisons de survie. Il est inadmissible que l’appareil politique, administratif et judiciaire de l’Etat français fasse fi de ce contexte particulièrement tragique.
L’UDB dénonce vigoureusement l’arrêté de reconduite à la frontière qui impose à la petite Patimat d’être séparée de sa mère depuis plus de deux semaines. Les tribulations de ces deux réfugiées à travers une Europe inhospitalière, au nom du respect de règles qui ignorent la dimension humaine et les cas particuliers, doivent s’arrêter chez nous ici et maintenant.
L’UDB affirme sa solidarité avec ces réfugiées du Daguestan et avec les démarches entreprises par le comité de soutien.
Au nom de la section de Brest, Anne-Marie Kervern