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- Chronique -
Cumul de mandats : François Rebsamen ne part pas en Belgique : il « profite en France !"

L’association Blanc c’est exprimé milite depuis 1989 contre le cumul de mandats. Or, « le patron des sénateurs socialistes, François Rebsamen, vient de dénoncer, le 24 janvier dernier, le

Gérard Gautier pour Blanc c exprimé le 26/01/13 10:21

L'association Blanc c'est exprimé milite depuis 1989 contre le cumul de mandats.

Or, « le patron des sénateurs socialistes, François Rebsamen, vient de dénoncer, le 24 janvier dernier, le « populisme » des partisans du non-cumul des mandats... » Source Acteurs publics : (voir le site)

Aussi est-il bon de rétablir immédiatement une vérité : dans l'article, il y a une coquille.

Le « sénateur sus nommé » s'appelle en fait François « Rabdesalaire »... ou d'indemnités comme l'on veut, et après d'aucun, qui avait le Désir « qu'on ne touche pas à son pote, » lui entend bien faire entendre qu'il ne veut en aucun cas que l'on touche à... ses privilèges. Voir (voir le site)

Possédant (de loup...) sans doute le don d'ubiquité qui permet, en même temps, à cet ancien administrateur territoriald'être le maire de Dijon, président de la Communauté d'agglomération du Grand Dijon, président de l'Association départementale des maires de la Côte-d'Or, sénateur de la Côte d'Or (cela ne s'invente pas! Pour lui c'est le magot...) et président du groupe socialiste (oui ! oui ! faut pas croire, il a un grand sens du partage...et de la solidarité) au Sénat.

Institution dont on sait, il est vrai, « qu'elle est la seule maison de retraite dont les pensionnaires sont payés pour y résider.»

Or donc, le maire de Dijon, président de la Communauté d'agglomération du Grand Dijon, président de l'Association départementale des maires de la Côte-d'Or, sénateur de la Côte d'Or et président du groupe socialiste a surtout une faculté qui lui permet d'occulter les réalités.

Ainsi, lorsqu'il déclare, dans le même temps, regretter « l'absence d'un vrai statut des élus locaux » il donne à penser qu'il est victime de la maladie d 'Alzheimer.

Entré en politique en 1984... il a oublié qu'il a été informé, comme tous ses collègues, d'une proposition faite, sans relâche dès 1989, concernant la création d'un véritable statut de l'élu.

Que n'a-t-il pas, pris il est vrai par ses trop nombreuses occupations, donné suite et proposé depuis longtemps cette réforme, clé de voûte de nombreuses autres?

Il a oublié également l'information qui lui a été transmise de la déclaration, en 2006, de son ancien collègue Claude Saunier, sénateur des Côtes d'Armor depuis 1989, à des journalistes qui lui posaient la question : « oui, sénateur, c'est un boulot à plein temps ! »

Comme celle de Pierre-Joël Bonté ancien président de la région Auvergne, décédé en janvier 2006 ( L'Express du 31/01/2005) : « La Présidence d'une Région, la direction d'une ville ou la responsabilité de Député sont, selon moi, des occupations à plein temps. On ne peut pas mener correctement de front deux mandats importants. Ou alors on triche: on ne va pas au fond des dossiers, on fait surtout de la représentation. »

Après Pierre « Maille » (qui ne « m'aille...pas ») président du Conseil général du Finistère qui par ses propos, en voulant porter atteinte aux langues régionales minoritaires a oublié que la langue française l'était dans toute la Francophonie... (d'où de facto une atteinte contre... la langue française) et les propos corporatistes du sénateur François Rebsamen, la moutarde de... Dijon a tendance à monter au nez !

Cette Belle Ville peut s'honorer d'avoir compté au nombre de ses concitoyens, le Chanoine KIR et sa boisson... à déguster toutefois, « Elle » aussi, comme le cumul... avec beaucoup de modération !

Il n'est pas certain que Dijon puisse s'enorgueillir aujourd'hui, de posséder un tel édile...sous-préfet « hors cadre » qui démontre, l'être également concernant la dignité et la décence.

Les Dames de petite vertu méritent plus d'égards et de respect que ceux qu'il porte à la République !

NOTA : Le fait que le sénateur appartienne au Parti socialiste n'exclue en rien tous les "cumulards" des autres partis qui peuvent se reconnaître en lui.

SIGNEZ LA PETITION:

(voir le site)

Voir aussi :
mailbox
Cet article a fait l'objet de 12005 lectures.
L’association Blanc C’Est Exprimé a fait, depuis 1989, de très nombreuses propositions pour permettre une meilleure expression de la démocratie, rénover la vie politique et redonner une crédibilité et une légitimité aux élus dans notre Pays.
Voir tous les articles de Blanc c exprimé
Vos 22 commentaires
  TY JEAN
  le Samedi 26 janvier 2013 10:46
eh oui le cumul ils en profitent largement bénéficiant du tgv 1ère classe gratuite par exemple,cumulant fonctions bidons locales,intercommunales, et régionales.Comment font-ils alors que bien des bretons sont au chomage? dans nos villes bretonnes on cumule aussi : adjoints et conseillers régionaux par exemple en plus de poser sur les photos de nos quotidiens régionaux chaque semaine, ici et là pour couper des rubans.Mieux: au parlement européen on signe la feuille de présence et l'on s'en va...
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  daniel doulut
  le Samedi 26 janvier 2013 10:58
Sénateurs, D2putés tous des cumulards, tous pour dans ma poche, la République je m\'en fou, d\'ailleur je touche 4000 € de prime de chauffage, alors le reste ???
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  dupont pierre
  le Samedi 26 janvier 2013 11:09
Depuis Mitterrand (voire depuis les peres jésuites,ce qui revient au meme)on sait bien que la doctrine des Socialistes,c'est avant tout"fais ceque je dis et pas ce que je fais"!...
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  lefort marc
  le Samedi 26 janvier 2013 11:22
tous des truands.
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  Jaffrenou Jean-Michel
  le Samedi 26 janvier 2013 11:29
L'association Blanc s' est exprimée....
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  Paol Bras
  le Samedi 26 janvier 2013 12:45
La France souffre d'un mal chronique :
les impôts de ses citoyens servent à entretenir une classe politique parasitaire aux avantages exorbitants, ainsi qu'un fonctionnariat qui a dépassé toute proportion raisonnable (parmi lequel on peut d'ailleurs ranger 95% des journalistes actuellement en activité, qui ne sont en fait que des relais officiels de l'Etat).
Les classes moyennes sont ainsi taillées (an tailhoù !) à merci pour subventionner ce système, mais aussi une politique dont le but est tout simplement sa disparition, son remplacement en faveur d'une population essentiellement africano-musulmane, dont le patronat estime sans doute qu'elle sera plus facile à manipuler.
Cette politique, dont "l'antiracisme officiel" est l'un des rouages essentiels, n'est ni plus ni moins qu'un génocide et nous conduit, Bretons, à notre perte.
Ne voyez, je vous prie, dans mes propos aucun racisme : le racisme véritable est celui qui conduit nos frères africains, colonisés comme nous, à devoir survivre dans nos banlieues, loin de chez eux, de l'aide sociale et de l'économie parallèle.
Dans ces conditions, il n'y a qu'une issue pour la Bretagne : son indépendance, qu'elle puisse décider de son avenir. D'une autre voie, nationaliste, humaniste et anti-capitaliste.
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  joe mon
  le Samedi 26 janvier 2013 12:47
oui au cumul mais avec une seule indemnité choisit par le cumulard. On verra si le cumul aura toujours le même effet!!!!
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  Par Macha
  le Samedi 26 janvier 2013 13:01
Ces sénateurs et députés, dignes représentants de leurs cousins de la maffia,veulent nous faire croire qu\'ils travaillent...! Ce sont des voleurs qui s\'engraissent avec nos impôts et de simples perroquets qui agissent selon leurs intérêts uniquement personnels
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  el jojo
  le Samedi 26 janvier 2013 13:19
Hem, juste au cas où, pour calmer certaines ardeurs, sachez que le cumul des mandats n\\\'implique pas un cumul strict des salaires : ces derniers sont plafonnés, et éventuellement on peut revoir ce plafond.
Mais mécaniquement, si on interdit le cumul, eh bien ça va coûter plus cher à l\\\'état...
Par ailleurs, le Sénat a bien une utilité, comme force de proposition d\\\'une part, et comme élément temporisateur d\\\'autre part : cela force les assemblées à davantage discuter les lois et à être moins godillots. Mais plus encore, le fait que les sénateurs ne soient pas élus au suffrage universel direct dans le cadre d\\\'une majorité présidentielle leur garantit davantage d\\\'autonomie, ce qui est fondamental en cas de réforme de la Constitution par le Congrès.
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  Alain
  le Samedi 26 janvier 2013 13:29
Ras le bol de cette royauté
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  rene picque
  le Samedi 26 janvier 2013 13:32
ne jamais faire confiance a un socialiste.Ils sont faux.Aujourd hui il vous donne une poignée de mains et de l autre un coup de poignard dans le dos.Ils ont fait tous les coups bas contre Sarko et, aujourd hui que font-ils.A chaque arrivée au pouvoir ils ont fait l a guerre.Depuis la libération toutes les déclarations de guerre, les socialistes.Ils sont allés chercher De Gaule et demain le foutre en l air.Aujourdh ui le Mali,de cette façon on oublie la crise et tous les coups bas qu ils sont en train de pondre.mieux vaut un vrai blanc qui est vraiment sincère qu un socialiste
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  PEN HUEL
  le Samedi 26 janvier 2013 13:34
Sans oublier que 25 % de la rémunération des députés (et sans doute également des sénateurs) ne sont pas imposables.
Réduisons le nbre de parlementaires (cf l'Allemagne, les usa ..) qui coutent une fortune au contribuable.
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  injustice sociale
  le Samedi 26 janvier 2013 13:46
je trouve honteux et injuste c est cumul.alors que un chômeurs qui à travaillé pendant 2ans en contrats successives de3 mois au smic et à pour indemnité 700€ ne dois pas cumulé un travail à partiel pour s en sortir car on lui diminue de son allocation chômage.
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  Grosse Imposture
  le Samedi 26 janvier 2013 14:18
à El Jojo : "Mais mécaniquement, si on interdit le cumul, eh bien ça va coûter plus cher à l\'état..."
Certainement pas ! Car les écrêtement sont dans tous les cas redistribués à d\'autres élus ! Donc financièrement, rien ne changerait ni en plus ni en moins ...
Le fond du problème est le clientélisme ... Il faut tout simplement abolir le cumul des indemnités, ainsi les cumulards ne se précipiteraient plus sur des mandats non rémunérateurs.
Lisez \"cumulus politicus\" sur www.grosseimposture.com
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  Joël MEKHANTAR
  le Samedi 26 janvier 2013 14:22
Tant que le Sénat, en application de l\'article 24 de la Constitution, "assure la représentation des collectivités territoriales de la République", vouloir interdire à un Sénateur d\'être Maire, ou Président de Région, ou encore Président de département est de la pure démagogie.
Si on veut interdire le cumul d\'un mandat de sénateur et d\'un mandat d\'élu territorial, il faut revoir la Constitution et, en particulier les dispositions relatives à l\'institution parlementaire. Cette question reste posée.
Notre Constitution approuvée à l\'origine par référendum a été modifiée au moins 24 fois en permettant au Peuple théoriquement souverain de ne se prononcer qu\'à deux reprises sur ces réécritures partielles de notre loi fondamentales (1962, 1990).
Telle est aujourd\'hui la triste condition de citoyen dans ce qu\'il reste de la République française. La Constitution a été réécrite sans lui, voire contre lui.
Plutôt que de critiquer telle ou telle question particulière de notre Loi fondamentale, comme on peut l\'observer à propos de chaque question flattant la démagogie, le temps n\'est-il pas venu de fonder à nouveau nos institutions républicaines sur la seule source légitime qui vaille : le Peuple souverain ?
En attendant, il est rassurant d\'avoir au Sénat des élus qui savent ce qu\'est la gestion d\'une ville, d\'un département ou d\'une région. Cela permet souvent de faire prévaloir l\'intérêt général. Une Démocratie qui n\'est pas enracinée dans les territoires auprès des gens qui y vivent ne permet pas de prendre des décisions conformes aux attentes des citoyens. Evoquer le cumul de mandats en termes de rémunérations et de privilèges alors que la loi, pour les décideurs publics, a prévu un plafonnement des indemnités permet aussi d\'éviter de regarder du côté des cumulards des conseils d\'administration des sociétés. Là on n\'entend pas grand chose pourtant contrairement à ce qui se passe pour les élus, il n\'y a ni interdiction de cumuls sauf pour les SA ayant leur siège en France (Une personne physique ne peut exercer simultanément plus de cinq mandats d\'administrateur de sociétés anonymes ayant leur siège sur le territoire français), ni déclaration de patrimoine, ni même plafonnement des rémunérations. En 2011, et cela n\'a sans doute pas beaucoup évolué, un article relevait que \"98 personnes détiennent 43 % des droits de vote des entreprises du CAC 40 et 39 des 40 entreprises du CAC 40 ont au moins un administrateur en commun les unes avec les autres\" http://www.debateco.fr/node/9684
Trouvez l\'erreur !
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  Pierre Leunamme
  le Samedi 26 janvier 2013 14:33
Ce n'est pas le cumul des mandats qui est dénoncé par le peuple, c'est le cumul des indemnités de ces mandats. Demain, chargez un élu des fonctions de maire de président de communauté de commune, de conseiller général ou régional et de député ou sénateur, sans aucune indemnité, il est certains que personne ne viendra s'indigner du cumul de mandats.
Vous me direz qu'il aura sans aucun doute peu de candidats aux investitures.Ceci dit, je croise peu de philanthropes.
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  SPERED DIEUB
  le Samedi 26 janvier 2013 14:43
Félicitations à Gérard car il permet aux intervenants de s'exprimer de part les commentaires et sans tabous vu la diversité des opinions , elles reflètent
le problème du mouvement breton, l'idée d'émancipation de la Bretagne en est le dénominateur commun, seulement les partis sont quasiment tous sclérosés car les autres thématiques facteurs de divisions finissent par prendre plus d'importance que l'idée initiale et ne peuvent être partagées par tous les adhérents réels ou potentiels
Voilà pourquoi un mouvement d'émancipation rassemblant différentes tendances issues de personnes et de membres et élus de partis y compris hexagonaux du front national au pc, serait bien plus efficace Chacun bien entendu resterait membre de sa famille politique et d'une pierre deux coups cela contribuerait aussi à faire adhérer la classe politique bretonne dans son ensemble à l'idée d'émancipation
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  Paol Bras
  le Samedi 26 janvier 2013 17:36
"Fief électoral", "joute électorale", "barons locaux"...tout le vocabulaire politico-journalistique nous ramène à l'Ancien Régime et à sa Noblesse, dont la classe politique actuelle est dorénavant la parfaite descendante, jouissant sans vergogne de privilèges totalement injustifiés et dont la morgue n'a d'égale que celle des nobles d'autrefois.
Ainsi, ces gens qui détiennent leur pouvoir du peuple, par lequel ils sont élus et sans lequel ils ne sont rien, se permettent par exemple une réforme des retraites sans toucher à leur propre régime.
Quelle légitimité alors pour cette nomenclatura, dont certains parmi les plus "honorables" représentants se roulent dans le luxe et la luxure, tout en se permettant de venir nous faire, de Strauss-Kahn à la petite Commissaire Politique Belkacem, la leçon, soit d'économie, soit sociétale, à la télévision ?
Quelle légitimité pour un système "démocratique" dominé par deux partis parisiens qui ne sont que les deux faces d'une même pièce et dont les membres sont interchangeables à volonté, au-delà de quelques divergences d'opinion sur des détails ?
Et dans ce système verrouillé depuis Paris, à l'aide d'une armée de fonctionnaires à tous les niveaux et avec la complicité d'une caste journalistique soudoyée par de nombreux avantages fiscaux : quelle place et quel avenir pour les nations sans Etat comme la Bretagne, si ce n'est une dissolution programmée dans un "Grand Ouest" anonyme, sans racines, sans langue et sans Histoire ?
La conclusion, pour un Breton "conscient", s'impose d'elle même et un récent sondage me conforte dans mon opinion et dans la croyance que, oui, c'est possible, comme semblent le penser notre jeunesse.
Ouvrir toutes grandes les portes de l'espoir, un grand bol d'air contre la nausée, coup de balai hag all !
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  eugène Le Tollec
  le Dimanche 27 janvier 2013 10:18
SPERED DIEUB
L'unité de pensée bretonne
l'unité d'objectif
l'unité de jalonement des actions,l'unité des revendications .
UN SEUL avocat devant l'état français
Voici des tête de chapître.
Mais......est ce que la multitude des mouvements bretons arrivera "à l'osmose"?
Moi ,j'en ai rien à cirer des partis aux "affaires"(voir les derniers éléments élus!
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  SPERED DIEUB
  le Dimanche 27 janvier 2013 11:06
Eugène j\'essaie d\'analyser la réalité de la situation politique de la Bretagne telle qu\'elle est et non telle que je le voudrais moi même qu\'elle le soit .Pour tenter d\'avancer il faut d\'abord faire un bon diagnostic même s\'il fait souffrir des personnes certes sincères mais déconnectés de part leur idéalisme de la société bretonne actuelle ,mettre en adéquation les aspirations de celles ci avec l\'idée d\'émancipation , tenir compte de toutes la diversité opinions ,quelque part malheureusement la Bretagne est à venir ou ne sera pas, car elle est pratiquement à reconstruire et c\'est inutile de le faire sans qu\'il y ait une adhésion populaire
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  eugène Le Tollec
  le Dimanche 27 janvier 2013 18:07
SPERED DIEUB
Je pense que les bretons connaissent la réalité des choses et surtout de leurs défauts,c\'est pourquoi j\'insiste lourdement pour tenter de les faire mettre en synergie.
Pour l\'adhésion populaire ,je pense que c\'est fin car la désimprégnation issue de 200 ans est trop ancrée.
Les gens ne savent pas raisonner ,déjà à deux niveaux ,le premier purement breton ,le second purement français, le premier amenant toutes les déclinaisons purement bretonnes (autonomie voire indépendance - économie bretonne,etc),le deuxième permettant l\'aspect fédéralisme français puis européen).
pour moi ,Monsieur ,la triste vérité est dans l\'incapacité à se définir avec toutes les différentes sensibilités,dans le concept Bretagne/France /Europe/Monde.
Je connais de beaux esprits \"penseurs\" qui refusent cette analyse,ils sont très bien dans leurs états d\'être français breton.
(ils ont été formatés \"cartésien\" et sont d\'une culture française et non provinciale.
Pouvez vous faire un bon diagnostic,surement ,mais existe-t-il les médications aptes à guérir (je me permets un gros mot ,la connerie bretonne), indécrottable, que voit le peuple ,tous les jours nait un parti ,une association,comment le peuple reçoit ces messages.
J\'ai écrit un jour,
\"Le Message politique est le produit d’un Programme Politique soumis en partie à des règles de Management de processus complexe depuis la perception des données jusqu’au MESSAGE FINAL répondant à un BESOIN des citoyens.
L’axe majeur de la Méthodologie employée doit être l’amélioration permanente du programme d’actions des diverses tâches en particulier celles directement liées à l’obtention de la qualité du MESSAGE.
Cela suppose
- La définition et l’application d’une Méthodologie de management adaptée.
- Une conviction profonde et une mobilisation continue des acteurs.
- Une coopération en phase et coordonnée des intervenants.
- Une mise en oeuvre sur du long terme.
- Une analyse permanente des adéquations des PROCESSUS, en particulier dans la prise en compte des réalités et des aspirations.
Le succès des objectifs est à ce prix\"
je continuais par ceci
\"2.1 PROCESSUS
Un MESSAGE politique est un « PRODUIT », à ce titre, il doit être traité comme tel par l’ensemble des processus intervenant dans le PROGRAMME POLITIQUE.
Un processus politique est l’ensemble des tâches concourant à la DIFFUSION d’un résultat «  LE MESSAGE » destiné à convaincre l’ ELECTORAT afin de répondre à un BESOIN. Ce message est issu d’un Programme ou Projet Politique.
Le Besoin de l’électorat est un BESOIN REEL qui ne pourra être complètement satisfait que lorsque le Programme aura atteint et réalisé tous ses objectifs en particulier la diffusion et l’implantation du MESSAGE, c’est à dire l’équivalence entre le BESOIN PERCU et le BESOIN REEL obtenu par des structures adaptées.
Il est fondamental qu’à l’initialisation du PROCESSUS soit prise une hypothèse précise et juste du BESOIN REEL ( BR ) de l’électorat. La déclinaison en BESOIN EXPRIME (BE ) par l’électorat puis PERCU ( BP ) par les politiques conditionne l’ensemble stratégique au démarrage du processus.
Cette perception permet la juste élaboration du MESSAGE DEFINI et à DIFFUSER.
Ce processus parfaitement interfacé avec le MILIEU EXTERIEUR est mis en oeuvre par une structure adaptée disposant de moyens les « RESSOURCES».
Les ressources du Processus comprennent :
Des ressources humaines
Des Ressources matérielles
Des Ressources financières
Des outils
Matériels
Informatiques
Ces ressources sont sollicitées et mises en application par une METHODOLOGIE et une PROCEDURE
disposant de DONNEES d’entrée fournies par les analyses provenant :
Du milieu extérieur (économique, politique, social, culturel, la conjoncture.):
Des Partis et mouvements politiques dans l’expression de leurs doctrines
Des Doctrines adjacentes ou adverses.
De l’électorat dans toutes ses manifestations, en particulier le phénomène d’abstentionnisme
De l’historique politique.
2.2 QUALITE du PROJET et du MESSAGE
La qualité du processus est l’ensemble des propriétés et caractéristiques du PROJET POLITIQUE qui lui confère l’aptitude à satisfaire l’obtention de la qualité du MESSAGE DIFFUSE correspondant au BESOIN REEL de l’électorat.
La qualité du Message est l’ensemble des propriétés et caractéristiques du MESSAGE DEFINI qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire les BESOINS REELS exprimés par l’électorat.
Une faiblesse du MESSAGE correspond à un écart entre le MESSAGE DIFFUSE et le BESOIN REEL.
Cette inéquation peut provenir :
1 - D’une mauvaise appréciation du BESOIN REEL à l’initialisation du processus.
2 - De dysfonctionnement dans les tâches du processus complexe.
3 - D’un écart en cours de processus entre le :
BESOIN EXPRIME et le BESOIN PERCU.
BESOIN PERCU et le MESSAGE spécifié puis DEFINI.
MESSAGE DEFINI et le MESSAGE DIFFUSE.
MESSAGE DIFFUSE et le BESOIN REEL.
Cette chaîne d’écarts est le point majeur des incompréhensions entre l’ÉLECTORAT et le POLITIQUE.
La qualité du Message s’améliore par la réduction des écarts, ceci est obtenu par des efforts continus d’amélioration du management et du fonctionnement des processus.
Ce processus d’amélioration est la «  SPIRALE DE QUALITE » du PROJET POLITIQUE.
Cette obligation d’amélioration continue du « PRODUIT » oblige à l’identification, la localisation et l’amélioration des relations entre les interfaces:
ELECTORAT / PROJET POLITIQUE
PROJET POLITIQUE / MILIEU EXTERIEUR
MESSAGE / BESOIN
Toutes les tâches doivent procéder d’une démarche PARTICIPATIVE et l’amélioration des processus est renforcée par la motivation des intervenants.
Dans cette démarche d’amélioration continue l’élément prioritaire à surveiller est le BESOIN REEL.
dans ses deux composantes
COMPOSANTE NATURELLE essentiellement issue des valeurs fondamentales
COMPOSANTE de FLUCTUATION issue des conjonctures sociales , politiques, économiques.\"
Monsieur ,nous sommes dans ces écarts ,le peuple ne peut suivre.
Le message politique
2.3 PROGRAMME POLITIQUE
PROCESSUS COMPLEXE
Le PROJET POLITIQUE est un processus complexe par:
La multitude des tâches à identifier, à planifier, à manager.
L’architecture, l’amplitude et la profondeur du MESSAGE à satisfaire le besoin réel.
Le nombre élevé d’acteurs et des sensibilités intervenantes.
La maîtrise des objectifs de coûts du programme
La maîtrise des objectifs de délais dans l’élaboration, la diffusion du message et l’implantation structurelle.
La maîtrise des objectifs de « qualité » du MESSAGE.
2.4 TACHES de MANAGEMENT du PROJET POLITIQUE
La qualité et la bonne exécution d’un processus dépendent principalement de deux conditions
Chacun des intervenants au processus doit parfaitement maîtriser son sujet (professionnalisme des acteurs)
Le management doit être parfaitement préparé (cohérence des actions et des tâches sur un objectif commun).
Ce deuxième point est à lui seul l’objet des tâches du management d’un programme politique
SOIT:
Préparation et prise de décisions stratégiques (un OBJECTIF / un MESSAGE)
Préparation et prise de décisions opérationnelles d’organisations et de suivi
Des OUTILS / une MISE EN OEUVRE.
2.5 PREPARATION et PRISE de DECISIONS
STRATEGIQUES et OPERATIONNELLES d’ORGANISATION et de SUIVI.
DECISION STRATEGIQUE
Cette tâche porte sur la perception et le choix décisionnel :
Du BESOIN PERCU par rapport au BESOIN REEL de l’électorat
(Stratégie des priorités)
Du processus d’acquisition des données permettant le MESSAGE.
Des MOYENS et SOLUTIONS répondant à la satisfaction de ces BESOINS.
Des processus de conception et de diffusion du MESSAGE
Des acteurs intervenant dans les différentes tâches et phases du PROJET.
Des financements et des délais\".
Ces éléments sont sortis d\'un document de travail sur le management d\'un programme politique.
salutations à vous
ELT
(0) 
  Ar Vran
  le Lundi 28 janvier 2013 11:32
Pour info et pour rassurer (je ne sais pas si c'est d'ailleurs le mot qu'il faille utiliser car les malheurs de la Bretagne sont partagés ailleurs en France) ci-joint un lien sur un autre blocage : l'innovation en France, un problème culturel et structurel (http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130124trib000744539/l-innovation-en-france-un-probleme-culturel-et-structurel.html)
Article absolument à lire...
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