Peu courante cette saisie ! Une femme d’une cinquantaine d’années, originaire de la République de Djibouti (Afrique de l’Est) vient d’être appréhendée par la police nantaise avec 20 kg de khat. Cette plante appelée « salade » par les djiboutiens contient des substances hallucinogènes. Le khat mâché dans la bouche, telle la feuille de coca ingérée par des personnes en Amérique du sud, permet un sentiment de coup faim. Le métabolisme est ainsi « boosté ». Ce trafique florissant est acheminé dans cette région d’Afrique par les autorités gouvernementales djiboutiennes, via l’Ethiopie ou le Yémen. Cette saisie, peu commune par la police de Nantes, représente 200 € le kilo à la revente. ABP/MLT