Voilà ce qu'ils ont fait de lui. Les mots sont forts, terribles. L'homme est brisé, vidé de lui-même, déchargé de cette énergie qui, pendant ces 5 années, le menait au combat avec une détermination qui forçait notre respect ( (voir le site) ).
Aujourd'hui, ayant abandonné tout espoir en la justice, qui, par 2 fois, est passée, refusant obstinément de faire son travail avec impartialité et rigueur, Jérôme Kerviel fait appel aux politiques, afin de dénouer ce réseau fabriqué de mensonges, de trahisons, de parjures, tissé par la Société générale, avec la complicité des juges et des médias.
Ce matin, les parlementaires, les membres du gouvernement, la Garde des Sceaux, le Premier ministre, le Président de la République, recevront une lettre de Jérôme Kerviel ( (voir le site) ). Celui-ci leur demande d'ouvrir une enquête parlementaire, afin d'examiner LES FAITS, tous les faits, dans l'affaire qui l'oppose à la Société générale.
Afin d'expertiser ces opérations de débouclage, définitivement tenues secrètes, ainsi que les soi-disant pertes qui en auraient résulté : 4,9 milliards d'euros ! - chiffre jamais vérifié par quiconque à partir de sources authentiques ( voir l'article sur cette page), la Société générale crue sur parole – honte à la justice de ce pays !
Afin d'examiner pourquoi la décision d'attribuer un cadeau fiscal de 1,7 milliards d'euros à la Société générale a été prise, en février 2008, par la ministre des finances de l'époque, Christine Lagarde, qui s'est autorisée à disposer de VOTRE ARGENT, chers contribuables, en anticipant toute décision de justice qui déterminerait qui est responsable de quoi.
Dans cette nouvelle phase du combat pour faire éclater la vérité, qui ressemble à une étape ultime, désespérée, n'abandonnons pas Jérôme. Plus que jamais il a besoin de notre renfort. Le comité de soutien se mobilise, toujours présent à ses côtés, prêt à prendre part à toutes ses démarches et à l'épauler. Vous qui êtes indignés par tant d'injustice, assurez-le chaleureusement de votre soutien sur Facebook ( (voir le site) ).