Voici le courrier que j'adresse à la presse, afin de l'informer du protectorat qu'elle instaur au profit d'un lobby qui ne mérite pas d'être aussi déresponsabilisé et sur-protégé.
Docteur Pascal Dazin Médecin du travail Président de « l'Alphabet du Respect des Enfants » La Hulotte des Frots 22940 PLAINTEL 02 96 32 50 54 / 06 83 89 85 07 pascal.dazin [at] wanadoo.fr Ouest-France Dinan
Objet : mon licenciement illégal déguisé en rupture de période d'essai
20 juin 2009
Madame la Rédactrice en chef,
Dans mon courrier du 19 janvier (copie jointe) , courrier resté sans suites, je vous expliquais pourquoi un médecin du travail porte plainte contre un service de médecine du travail qui le licencia illégalement parce que ses activités associatives extra-pofessionnelles déplaisaient au lobby judiciaire ayant infiltré son conseil d'administration.
Il s'agit d'un événement inédit, d'un exploit personnel, d'une aventure enfin politique au sens noble.
Quinze ans après les faits immoraux et cyniques, après m'être occupé bénévolement de milliers de gens dans la détresse familiale, d'avoir soutenu dans une adversité technocratique perverse mon fils unique, je demande des comptes à un service de médecine du travail instrumentalisé par un cabinet d'avocats qui a ses entrées absolument partout dans la région de Dinan, et même, comme je l'ai entendu, sur les ondes de France Inter, dans l'émission de Daniel Mermet, où ces avocats plaident pour les sans papiers qui ont une famille….
Je sais très bien quels liens entretiennent partout, à présent, les cabinets d'avocats avec la presse et les élus.
Cette oppression d'un nouveau genre, que j'appelle « l'étouffoir » dans un livre interdit (malgré la publicité que Didier Pillet en fit), ou mieux encore, le « légazisme », je sais que Ouest-France, comme l'ensemble des médias occidentaux, l'ignore, la tolère, la subit, la protège, y collabore, selon les cas.
Je sais très bien que ce cabinet d'avocats dinannais, dont les trois membres sont directement mis en accusation par mon action devant les Prudhommes, a plus de pouvoir et d'influence matérialiste que ma personne de médecin, de père, de médecin du travail, de psychanalyste, de militant reconnu en Europe pour son intégrité et son combat contre les intrégrismes psycho-judiciaires contemporains.
Lors de la « tentative de conciliation » (événement national que vous n'avez pas couvert), Maitre Molard avait tenté de prendre la gouverne de cette procédure, me disant avec cet abus de pouvoitr qui caractérise ce lobby pervers narcissique, où je devais m'asseoir, le faisant à la place du président de séance: il est en effet chez lui sur terrain où je l'attaque. Je n'ai pas obtempéré, et me suis tourné vers le président, qui a soudain compris que c'était théoriquement à lui de présider la séance. Je me suis assis où il m'a incité, visiblement géné, de le faire.
La directrice du service a obéi aux ordres : elle ne se souvenait de rien, c'est trop ancien, cela remonte à 15 ans, elle venait d'arriver, elle ne comprenait rien à ce que je reprochais au service dont elle est directrice administrative…Sa prestation tint en quelques mots, puisque l'assesseur des Prud'hommes lui tendit la perche, que je n'ai manqué de remarquer : « bien sûr Madame, vous ne vous souvenez de rien ? », perche à laquelle elle eut l'obligeance commanditée de répondre « Non, de rien. Je venais d'arriver ».
Je me suis tourné vers elle, et très calmement, lui ai déclaré : « c'est impossible, Madame Pottier. Vous veniez de converser avec moi à ce sujet au restaurant, et m'avez déclaré, bouleversée, en vous enfuyant dans l'escalier du service de médecine du travail de la rue Chateaubriand : « je ne suis pour rien dans votre licenciement : Maitre durand et maitre lorandel ne supportent pas vos activités associatives ».
Le collègue de maitre durand, maitre Molard, m'interdit alors avec grande violence verbale de m'adresser à sa cliente, que selon lui j'agressais.
Le président de séance de conciliation lui fit remarquer que je n'avais agressé personne, et que j'étais très calme.
Sortant un autre effet absurde de ses manches noires, Molard rétorqua avec violence : « je préfère prendre les devants ».
Après l'amnésie affichée de Madame Pottier, Molard déclara qu'il ne comprenait strictement rein à mes écrits, et qu'il n'y avait donc pas lieu à conciliation.
Il fut convenu d'une date butoir pour le dépôt définitif de mes écrits, d'une autre date pour celui des écrits adverses, et de la date d'audience : vendredi matin prochain, 26 juin.
Trois semaine après la date d'expédition des écrits de la partie adverse, j'ai contacté les Prud'hommes : je n'avais reçu aucun écrit. Cet organisme me répondit que cela se pouvait, que Monsieur Molard était bien connu dans cette instance, où il travaillait régulièrement, et me transmit quelques jours plus tard la lettre de rappel qu'elle lui expédia.
A ce jour, je n'ai reçu aucune réponse de l'avocat directement impliqué avec ses collègues dans l'histoire vraie que je dénonce.
Molard, Durand, Ducroz-Tazé, directement compromis dans le licenciement abusif dont je fus victime, peuvent dormir sur leurs oreilles et poursuivre leurs affaires.
Qui oserait en effet rompre la loi de la jungle légaziste?
Veuillez agréer, Madame, mes salutations distinguées
Docteur Pascal Dazin Président de l'Alphabet du respect des Enfants Licencié illégalement par un cabinet d'avocats dinannais.