Saint-Nazaire, le 13 septembre
« Malgré l'existence d'une importante législation anti-discrimination, les membres des communautés minoritaires en France sont victimes d'une véritable discrimination raciale, ancrée dans les mentalités et les institutions. Le refus politique de reconnaître ce problème a entravé l'adoption de mesures propres à garantir l'application des dispositions législatives pertinentes et à corriger les inégalités complexes qui se sont installées. »
Cet extrait du rapport sur le Droit des minorités en France de l'experte indépendante, Mme McDougall, mandatée par l'ONU, voir ( voir notre article ) (1) a motivé Bretagne Réunie et le collectif 44=Breizh à se présenter, ce samedi 13 septembre, devant l'entrée du lycée « Notre Dame d'Espérance » de Saint Nazaire où se tenait la « première session régionale du parlement européen des jeunes des PDL ».
Bretagne Réunie souhaitait engager un débat avec ces jeunes participants, en leur posant la question suivante :
La région administrative des PdL est-elle porteuse d'avenir ?
Les différents responsables de cette session se sont totalement opposés à une quelconque rencontre avec les jeunes.
De ce fait, Bretagne Réunie et le collectif 44=Breizh, ou 44=BZH ont dû se contenter de débattre en toute sérénité, mais à l'extérieur, sur le domaine public, avec le responsable de l'établissement et le jeune responsable de l'association organisatrice.
Bretagne Réunie a remis le dossier « Bretagne, une région d'Europe, Partition imposée, assimilation forcée » (2) réalisé par le Comité Local nantais, tandis que le collectif 44=Breizh remettait un document faisant état de la partition de la Bretagne : "Droit international et partition de la Bretagne".
Paul Loret, secrétaire du comité local nantais de Bretagne Réunie
(1) mais aussi ( voir notre article ), ( voir notre article ) et encore ( voir notre article ).
(2) Document connu aussi sous le titre « Discriminations ». Voir ( voir notre article ).
http://44breizh.blogspot.com/ du collectif 44=Breizh.