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Alessandro Grassani est né en 1977 en Italie. Il a travaillé dans plus d’une trentaine de pays pour couvrir des événements internationaux comme les funérailles de Yasser Arafat en 2004 ou les conséquences du séisme à Bam, en Iran, en 2003. Ses reportages sont régulièrement publiés dans les grands titres de la presse internationale comme le New York Times, le Sunday Times Magazine, l’Espresso et le Der Spiegel.
Alessandro Grassani est né en 1977 en Italie. Il a travaillé dans plus d’une trentaine de pays pour couvrir des événements internationaux comme les funérailles de Yasser Arafat en 2004 ou les conséquences du séisme à Bam, en Iran, en 2003. Ses reportages sont régulièrement publiés dans les grands titres de la presse internationale comme le New York Times, le Sunday Times Magazine, l’Espresso et le Der Spiegel.
C’est à Cannes en 2002 qu’il réalise son reportage en noir et blanc sur Sharon Stone alors membre du jury et reçoit la même année un World Press Award, catégorie Arts et Culture. Il deviendra un habitué de ce Festival du Film, dont il publiera un livre sur les coulisses. Il publie ses images dans de nombreux pays et collabore avec de nombreux magazines dont Vogue, Harper’s Bazaar, le groupe Le Figaro, ELLE, Paris Match, Studio Ciné Live, Sunday Times, Glamour, Vanity Fair
C’est à Cannes en 2002 qu’il réalise son reportage en noir et blanc sur Sharon Stone alors membre du jury et reçoit la même année un World Press Award, catégorie Arts et Culture. Il deviendra un habitué de ce Festival du Film, dont il publiera un livre sur les coulisses. Il publie ses images dans de nombreux pays et collabore avec de nombreux magazines dont Vogue, Harper’s Bazaar, le groupe Le Figaro, ELLE, Paris Match, Studio Ciné Live, Sunday Times, Glamour, Vanity Fair
Avec son père photographe, Vincent Munie, encore enfant, apprend vite à découvrir les plaisirs d’arpenter ce qu’il aime appeler le «grand dehors »: cette nature intacte et sublime, celle de ses Vosges natales. C’est ici qu’il réalisera son premier cliché. Il a alors 12 ans. Explorer les Vosges permet à Vincent de se découvrir un peu lui-même. Mais rapidement, il quitte ce «grand dehors » pour un autre –un peu plus grand– la Scandinavie. Puis ce sera les îles d’Hokkaïdo au Japon. Puis le Kamtchaka, puis les îles de l’Antarctique. En quelques années et au fil de ses voyages au bout du monde, Vincent s’impose comme l’un des plus grands photographes animaliers au monde.
Avec son père photographe, Vincent Munie, encore enfant, apprend vite à découvrir les plaisirs d’arpenter ce qu’il aime appeler le «grand dehors »: cette nature intacte et sublime, celle de ses Vosges natales. C’est ici qu’il réalisera son premier cliché. Il a alors 12 ans. Explorer les Vosges permet à Vincent de se découvrir un peu lui-même. Mais rapidement, il quitte ce «grand dehors » pour un autre –un peu plus grand– la Scandinavie. Puis ce sera les îles d’Hokkaïdo au Japon. Puis le Kamtchaka, puis les îles de l’Antarctique. En quelques années et au fil de ses voyages au bout du monde, Vincent s’impose comme l’un des plus grands photographes animaliers au monde.
Vincent Munier est né en 1976, dans les Vosges. La poésie de ses images supplante la technique et les rencontres qu’il réalise dans les paysages de froideur désertique sont aussi une quête sur la solitude et les défis qu’un homme peut vivre face à la nature et à lui-même. Ce photographe des grands espaces a été trois fois primé dans le cadre du BBC Wildlife photographer of the year (2000, 2001, 2002), concours le plus prestigieux en photographie de nature. Au fil des ans, il est devenu l’un des photographes de nature les plus respectés sur la scène internationale. Il est l’un des 10 photographes publiés dans l’ouvrage The Masters of Nature Photography, National History Museum de Londres, 2013
Vincent Munier est né en 1976, dans les Vosges. La poésie de ses images supplante la technique et les rencontres qu’il réalise dans les paysages de froideur désertique sont aussi une quête sur la solitude et les défis qu’un homme peut vivre face à la nature et à lui-même. Ce photographe des grands espaces a été trois fois primé dans le cadre du BBC Wildlife photographer of the year (2000, 2001, 2002), concours le plus prestigieux en photographie de nature. Au fil des ans, il est devenu l’un des photographes de nature les plus respectés sur la scène internationale. Il est l’un des 10 photographes publiés dans l’ouvrage The Masters of Nature Photography, National History Museum de Londres, 2013
Philippe Argouarch de l'ABP et Vincent Munier se racontent des histoire de rencontres avec des loups.
Philippe Argouarch de l'ABP et Vincent Munier se racontent des histoire de rencontres avec des loups.
De Pierre Soulages à Salman Rushdie, de François Hollande à Vladimir Poutine, artistes, hommes politiques, acteurs ou intellectuels ont tous posé face à l’objectif de Stéphane Lavoué. Aussi à l’aise dans l’art du portrait que dans la photo de reportage, cet habitué des grands magazines internationaux est né à Mulhouse en 1976 et est membre du collectif Pasco&Co
De Pierre Soulages à Salman Rushdie, de François Hollande à Vladimir Poutine, artistes, hommes politiques, acteurs ou intellectuels ont tous posé face à l’objectif de Stéphane Lavoué. Aussi à l’aise dans l’art du portrait que dans la photo de reportage, cet habitué des grands magazines internationaux est né à Mulhouse en 1976 et est membre du collectif Pasco&Co
Né en Nouvelle-Zélande, Robin Hammond vit aujourd’hui en France. Il a reçu parmi les plus prestigieux prix du monde de la photographie dont le Eugene Smith Award ainsi que quatre Prix Amnesty International. Ce n’est pas la première fois qu’il se rend en Afrique: son travail sur l’isolement de personnes atteintes de troubles psychiques au Soudan avait été récompensé d’un World Press Photo en 2014.
Né en Nouvelle-Zélande, Robin Hammond vit aujourd’hui en France. Il a reçu parmi les plus prestigieux prix du monde de la photographie dont le Eugene Smith Award ainsi que quatre Prix Amnesty International. Ce n’est pas la première fois qu’il se rend en Afrique: son travail sur l’isolement de personnes atteintes de troubles psychiques au Soudan avait été récompensé d’un World Press Photo en 2014.
Né en 1957 à Beverly Hills, George Steinmetz est réputé pour ses photos aériennes. Son travail sur l’immensité des déserts absolus photographiés depuis un parapente expérimental a été notamment primé. Ici, ses photos révèlent une autre forme de gigantisme: celui de l’agriculture intensive à travers le monde et notamment en Chine, au Brésil ou aux états-Unis. Depuis 1986, George Steinmetz a réalisé plus de 40 reportages pour National Geographic et a reçu plusieurs prix pour ses travaux, notamment deux World Press Photo ainsi que le prix Alfred Eisenstaedt de Life Magazine.
Né en 1957 à Beverly Hills, George Steinmetz est réputé pour ses photos aériennes. Son travail sur l’immensité des déserts absolus photographiés depuis un parapente expérimental a été notamment primé. Ici, ses photos révèlent une autre forme de gigantisme: celui de l’agriculture intensive à travers le monde et notamment en Chine, au Brésil ou aux états-Unis. Depuis 1986, George Steinmetz a réalisé plus de 40 reportages pour National Geographic et a reçu plusieurs prix pour ses travaux, notamment deux World Press Photo ainsi que le prix Alfred Eisenstaedt de Life Magazine.
Sarah Moon, née en 1941 en France occupée, grandit en Angleterre, devient modèle avant de se lancer dans la photographie en 1970. Ses premières photographies, dans l’univers de la mode, reçoivent très rapidement un accueil positif. Elle navigue ainsi de marques prestigieuses en magazines de renommée internationale avant de se lancer dans un projet plus intime, plus personnel. L’importance de la mise en scène, de la fiction mais aussi les procédés techniques utilisés, ancrent son oeuvre dans une dimension artistique qui évoque la solitude, l’enfance, la féminité, l’imaginaire, la mélancolie. Elle expose ses clichés, notamment lors d’expositions personnelles,à travers le monde: à Paris, à Arles, à San Francisco, Tokyo, Londres, Moscou… Elle publie plusieurs monographies et reçoitde nombreuses distinctions: le DADA d’or et d’argent (New York, 1972), le Lion d’or,Films publicitaires (Cannes, 1986-1987), le Grand Prix national de la Photographie(Paris, 1995), le Lucy Award (New York, 2006)…
Sarah Moon, née en 1941 en France occupée, grandit en Angleterre, devient modèle avant de se lancer dans la photographie en 1970. Ses premières photographies, dans l’univers de la mode, reçoivent très rapidement un accueil positif. Elle navigue ainsi de marques prestigieuses en magazines de renommée internationale avant de se lancer dans un projet plus intime, plus personnel. L’importance de la mise en scène, de la fiction mais aussi les procédés techniques utilisés, ancrent son oeuvre dans une dimension artistique qui évoque la solitude, l’enfance, la féminité, l’imaginaire, la mélancolie. Elle expose ses clichés, notamment lors d’expositions personnelles,à travers le monde: à Paris, à Arles, à San Francisco, Tokyo, Londres, Moscou… Elle publie plusieurs monographies et reçoitde nombreuses distinctions: le DADA d’or et d’argent (New York, 1972), le Lion d’or,Films publicitaires (Cannes, 1986-1987), le Grand Prix national de la Photographie(Paris, 1995), le Lucy Award (New York, 2006)…
- Reportage -
Festival Photo de la Gacilly 2015: communautés, cultures et biosphère en voie de disparition
Kong Fuzi plus connu sous le nom latinisé de Confucius écrivait déjà en 550 AVJC : "Une image vaut 1000 mots". C'est donc 300 000 mots qui sont affichés sur
Par Philippe Argouarch pour ABP le 5/06/15 20:25

Kong Fuzi plus connu sous le nom latinisé de Confucius écrivait déjà en 550 av. J-C : "Une image vaut 1000 mots". C'est donc 300 000 mots qui sont affichés sur les murs de La Gacilly du 5 juin jusqu'a la fin septembre. Pour cette douzième édition, le pays invité est l'Italie et le thème est "La terre nourricière : Comment nourrir la planète au XXIe siècle". Deux thèmes partagés avec l'expo Milan 2015.

Encore une fois les plus grands photographes se sont donnés rendez vous pour ce festival photo en plein air, unique en son genre. Le festival avait rassemblé 350 000 visiteurs en 2014, faisant de ce petit village du Morbihan, une destination de renommée internationale.

Née en 1933 d’un père italien et d’une mère française, Mirella Ricciardi a grandi au Kenya où son père possédait une ferme de 2000 hectares sur les rives du lac Naivasha. Dans les années 1950-1970, elle a sillonné tout le continent africain, saisissant des scènes de vie qui, par leur intimité, leur dignité, appartiennent aujourd’hui à l’héritage de l’humanité

Les artistes italiens invités sont Mario Giacomelli, Piergiorgio Branzi, Massimo Siragusa, Paolo Ventura, Franco Fontana, Emanuele Scorcelletti, Mirella Ricciardi, Paolo Pellegrin, Alessandro Grassani.

Sur le thème de la terre nourricière, les photographes invités sont : George Steinmetz, Robin Hammond, Matthieu Paley et Peter Menzel.

A ne pas manquer Vincent Munier qui est un des plus grands photographe animalier. Ses photos du monde arctique en blanc sur blanc et des autres 'Grands Nords' vous étonneront. Il a réellement dansé avec les loups. A voir aussi aussi parmi tant de photos exceptionnelles, les clichés extraordinaires de Mirella Ricciardi devenus de rares vestiges d'une ruralité africaine disparue. (voir le site) de sa vidéo qui raconte son histoire. Parallèlement, le musée de Bretagne de Rennes expose quelques uns de ses 400 000 photos et négatifs sur une autre ruralité disparue: celle de la Bretagne d'avant-guerre. Mirella Ricciardi a parlé hier à propos des Maasaï, de "perte de la fierté". Beaucoup de sociologues pensent que c'est aussi le cas des Bretons.

Le festival continue sa tradition de témoignages sur les cultures et les peuples en voie de disparition. À une plus grande échelle, il témoigne aussi de la disparition de notre biosphère. Une disparition qui, elle, risque de nous être fatale.

Document PDF Le dossier de presse. Source :festival Photo
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Philippe Argouarch est un reporter multi-média ABP pour la Cornouaille. Il a lancé ABP en octobre 2003. Auparavant, il a été le webmaster de l'International Herald Tribune à Paris et avant ça, un des trois webmasters de la Wells Fargo Bank à San Francisco. Il a aussi travaillé dans des start-up et dans un laboratoire de recherche de l'université de Stanford.
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