Le bureau de poste de Guingamp riposte : une garde à vue d'une heure

Samedi dernier, les militants persistent : ils demandent une nouvelle fois par leur action symbolique la présence du breton dans un lieu public. Apposent des autocollants, actions non violentes et désobéissantes qui sont sanctionnées par l'interpellation d'un militant d'Aïta, menotté, porté par quatre gendarmes et interrogé une heure avant d'être libéré. Une plainte à été déposée par la poste pour "dégradations".
De nombreuses organisations politiques et associatives ont jugé cette réponse "disproportionnée".