Soixante sept ans de coupure administrative autoritaire de la Bretagne cela suffit.
La réunification selon le processus déjà mis en route par le vote favorable des assemblées de la région administrative et de la Loire-Atlantique doit se poursuivre selon les modalités inscrites dans la loi.
Sans oublier le transfert de compétences et de moyens de l'État vers la Région Bretagne dans les domaines de la culture bretonne, de l'enseignement de nos langues et de leur prise en compte par les médias, radio et télévision de service public.
Ce sont ces demandes fondamentales – réitérées depuis trop longtemps et toujours ignorées au mépris d'une volonté populaire – que nous devons dire avec force le 20 septembre sur le site de l'Ile Gloriette à Nantes.