
La Bretagne ne peut plus se contenter de rester sur ses acquis économiques. Dans un contexte de crise et de globalisation, elle doit revoir ses stratégies et investir dans des secteurs d’avenir,
La Bretagne ne peut plus se contenter de rester sur ses acquis économiques.
Dans un contexte de crise et de globalisation, elle doit revoir ses stratégies et investir dans des secteurs d'avenir, pour rester dans la course. Sans langue de bois, ce livre affirme une volonté d'ouvrir le débat.
La situation économique de la région Bretagne ne serait aujourd'hui pas si mauvaise que cela : première région française en production animale, ressources marines et industries agroalimentaires, troisième en technologies de l'information et de la communication et technologies vertes (greentech). Nous avons un niveau d'éducation élevé, quatre universités, un solde migratoire positif. Tout va donc pour le mieux. C'est du moins ce que certains aimeraient croire… Penser que notre économie va évoluer comme elle l'a fait globalement depuis quarante ans, est-ce un scénario crédible ? Que nous enseigne la crise actuelle ?
Une faiblesse de vision prospective et de stratégie au-delà du court terme ne risque-t-elle pas de ramener la Bretagne à la dramatique situation d'où, aiguillonnée par le CELIB, elle avait réussi à s'extraire il y a un demi-siècle ? Considérer que l'horloge est remontée et fonctionne d'elle-même, n'est-ce pas ainsi que le philosophe Hegel a défini la nullité politique ?
Issus d'horizons divers, les auteurs proposent plusieurs pistes, pour un nouveau souffle dans l'économie régionale.
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présentation des auteurs, sommaire, introduction
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paouez da arc'hantaouiñ raktresoù evel aerborzh Kernitron hag an Treñ Tizh Bras (1 miliard 100 milion a arc'hant gant TTB evit labourioù a vo graet e-maez eus Breizh an darn vrasañ anezho ha neuze gonit amzer war an hent met neket etre Roazhon ha Brest), implijout an arc'hant-se evit mont betek penn an RN 164, addigeriñ linennoù treñ "bihan" hag hentoù dre ar c'hirri-boutin a-benn gallout mont eus un tu d'ar vro d'egile (klasket peus dija mont da gKaraez ? Chañs vat deoc'h.), ha distreiñ war-zu ar mor (e-kichen Londrez emaomp, n'eus ket ezhomm eus un aerborzh bras kement se), rannroelaat an aerborzhioù etre ha bihan a zo er vro (pouezus evit hini Sant Brieg da skouer).
War-lerc'h, distreiñ war-zu un ekononiezh produiñ bihan, ha neuze war-zu un ekonomiezh treuzfurmiñ bihan : an aozadurioù bras o deus ezhommoù bras, amprestoù bras, sevel a reont saotradurioù bras, ha neuze ne zegasont ket kement se a binvidigezhioù.
Ha neuze ur politikerezh brezhon, maez eus ar produiñ dre ret, ha maez eus an tuadurioù a zo hiziv er c'huzul-rannvro (muianniver enep brasniver).