Après avoir trouvé porte clause au Conseil Départemental 44, Bretagne Réunie en déduit que les CD 44 ne souhaite pas redonner les signatures.

Bretagne Réunie était présente avec ses militants devant le Conseil Départemental de Loire Atlantique ce matin a 10h comme prévu pour récupérer ses 100 000 pétitions.

Elle a trouvé porte close, a été interdite d'entrée, et n'a même pas été reçue ni écoutée par qui que ce soit.

Bretagne Réunie en a donc déduit que le CD44 ne souhaitait pas redonner les pétitions a son propriétaire légitime, ce qui lui a été confirmé par téléphone en fin de matinée.

Cette décision est inadmissible et intolérable.

Bretagne Réunie considère que le CD44 confisque une nouvelle fois la démocratie, et pense que Philippe Grosvalet ne veut pas que les 105000 pétitions soient apportés a Paris au sommet de l'état et souhaite laisser pourrir la situation.

Mais Bretagne Réunie avait anticipé la décision du CD44 , et avait fait une copie dématérialisée des 100 000 pétitions, ce qui lui permettra de les enmener quand même a Paris le 24 Juin, malgré la volonté contraire du CD44.

Il est consternant de constater, qui plus est, dans le contexte actuel, qu'une institution et son président bloquent la volonté de 105000 électeurs de Loire Atlantique à s'exprimer, en sachant qu'une des revendications première des électeurs Français dans le cadre du grand débat est de justement être consulté !

Bretagne Réunie espère qu' Emmanuel Macron ou Édouard Philippe prêteront une oreille beaucoup plus attentive aux demandes des 105000 électeurs qui leur seront remise le 24 Juin.