

Je m'appelle Marie Ollivier, j'ai 28 ans et suis mère au foyer. Les années passent et je comprends qu'être spectateur de sa vie ne suffit pas. On ne peut pas se plaindre de certaines personnes ou de certaines façons de penser et ne rien faire pour
Je m'appelle Marie Ollivier, j'ai 28 ans et suis mère au foyer.
Les années passent et je comprends qu'être spectateur de sa vie ne suffit pas. On ne peut pas se plaindre de certaines personnes ou de certaines façons de penser et ne rien faire pour que ça change. Le monde de demain, c'est nous qui le construirons puis le laisserons à nos enfants !
J'ai trop longtemps été spectatrice d'événements injustes et révoltants. J'ai donc décidé de m'engager, et je vous propose aujourd'hui de changer et devenir vous aussi acteur de votre environnement.
On ne doit pas laisser effacer l'histoire d'un peuple et gommer ses héritages pour laisser place à l'uniformité. La course à l'argent écrase le bon sens et la raison. La mondialisation écrase les cultures locales que ce soit les langues, les traditions, les us et coutumes… Voilà pourquoi j'ai décidé de rejoindre la plate-forme « Bretagne, nous avons foi en toi ! ».
Lors de ma campagne en Morbihan, j'axerai plus particulièrement ma campagne et mes rendez-vous sur les points suivants :
Consommer local, travailler local : l'emploi, les logements, les appels d'offres publics, doivent être réservés prioritairement aux bretons.
La fin du racket organisé aux automobilistes
L'aide à la rénovation de l'habitat ancien pour loger les jeunes en préservant le paysage breton
soutien à l'élevage extensif
La priorité à la lutte contre les vols, trafic de stupéfiants, agression, immigration illégale
Ceci afin que la Bretagne reste une terre de qualité avec une agriculture biologique développées et des productions locales.
Vous pouvez télécharger ma profession de foi ci-dessous.
Le 10 juin devenez acteur et votez pour la Bretagne et pour la plateforme « Bretagne, nous avons foi en toi » !
Commentaires (22)
Par contre , pour une Offre Publique ( World Trade Organization ) qui ne serait pas bretonne , celle ci devra stipuler dans son offre le nombre de bretons employes ( personnels et soutraitants ) et cette entreprise "etrangere "sera jugee, si elle est competitive , egalement sur ce critere .
C'est ce qui se fait en Malaysie par exemple et dans d'autres pays)
Merci de défendre ainsi les intérêts de la Bretagne et des bretons.
et
"La priorité à la lutte contre les vols, trafic de stupéfiants, agression, immigration illégale"
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux... Il y a comme une odeur bizarre dans ces propos, non ? ça ne vous rappelle pas quelqu'un - bretonne elle aussi - qui prétendait à des destinées nationales outre marches ?
Les jeunes identitaires.
http://www.jeune-bretagne.com/2012/04/bretagne-nous-avons-foi-en-toi/
et le très connu Novopress
http://breizh.novopress.info/17895/legislatives-des-candidates-qui-ont-foi-en-la-bretagne-2/
Vous pourriez-lire ce qu'écrit avant vous Pierre Camaret, dans les commentaires.
Et que penser de votre pseudo, sinon qu'il en émane une odeur plus que bizarre? Pour reprendre votre langage.
Nous devrions tous réfléchir à ce problème.
Au R.U, la plupart des emplois créés l'an dernier ont été occupés par des étrangers. La situation londonienne n'est pas spécifique.
Je considére également que le terme "foreigner" s'applique en Bretagne aux Français comme aux autres étrangers.
"Why do foreigners get all the jobs, asks Boris Johnson, Mayor of London.
He promises to “expose the roots of the problem” and examine whether immigrants were prepared to work harder for less money or whether “native Londoners” had the wrong attitude to certain jobs
London’s formidable job-creating powers do not always seem to involve the creation of jobs for native Londoners. Go into any coffee shop and talk to the staff, listen to the voices on the building sites — and you will see how the city is working as a magnet for talent and energy from outside the UK".
Sur le fond, inutile de gloser sur ce tas d'inepties. Même si cela pourrait éventuellement mettre en avant un débat sur "l'identité nationale" bretonne. Débat qui, chez nos "grands frères" (si l'on est un peu schyzo) a contribué à l'essor d'une pensée bien peu "républicaine" et d'idées quelque peu nauséabondes.
La préférence nationale, qu'elle soit bretonne, française ou pygmée, n'a jamais amené rien de bon.
Quant à mon pseudo, il se situe dans la droite (ou plutôt la gauche) ligne de cette idée : Bretagne POUR TOUS. Bretons pur beurre et bretons de coeur, blanc, beur, black, muslim, catho ou juif, né ici ou né ailleurs.
La Bretagne n'appartient à personne, sauf aux gens qui la peuplent, venus de tous les horizons, et qui la font vivre. Et si kig ha farz se mixe avec le couscous ou la saucisse de Morteau, eh bien c'est très bien. Un pays, une région, n'est jamais figée. Et heureusement !
Chassé-croisé de messages.
J'ai envoyé le mien à la suite de la reprise du propos "«l'emploi, les logements, les appels d'offres publics, doivent être réservés prioritairement aux bretons.»
C'est d'ailleurs sur ce propos que réagissait Pierre Camaret, apportant une pierre intéressante au débat.
Sur le fond, j'observe que de nouvelles initiatives bretonnes apparaissent.
Il me semble que la période ancienne,liée à la guerre, et qui sert de fond de commerce à certaine personnalité en embuscade permanente à l'encontre de la Bretagne, cette période donc est en train de s'effacer.
Bien sûr, la multiplicité de ses initiatives couvre un spectre à balayage large. D'où la question pratique: faut-il voter breton d'abord (au premier tour prochain), même si la couleur sous-jacente ne correspond pas au positionnement que l'on aurait s'il s'agissait d'un parti hexagonal?
Pour moi, compte-tenu de la situation globale de la Bretagne, la réponse est plus tacticienne qu'autre chose. En tout cas, à chacun de voir.
Pour finir, tout ce qui se termine en "über alles" me fait inévitablement penser à une triste période que je n'ai pas connue, mais dont j'ai amplement entendu parler. Les troupes nazies ont fait suffisamment de dégât en Bretagne pour qu'il soit inopportun de s'y référer, s'agissant du futur de la Bretagne. Désolé.
Merci pour votre message. J'en profite pour rebondir une dernière fois sur cette question délicate, grave même, et qui demande autre chose qu'une attitude à l'emporte-pièce.
Nous sommes d'accord sur le fond. Je ne me suis d'ailleurs pas penché plus avant sur le contenu d'une plateforme dont le nom est ambigü.
Bien sûr que les jeunes identitaires bretons et la liste \"Bretagne nous avons foi en toi\" sont à classer à l\'extrême droite française, mais cela en fait il pour autant des parias sous prétexte de bien-pensance ?
Ils ont le mérite de vouloir défendre les idées d\'une Bretagne émancipée de son puissant voisin de l\'Est et c\'est à mon avis cela qu\'il faut d\'abord respecter.
A défaut d\'avoir des candidats patriotes bretons réellement indépendants de partis hexagonaux (cf. FN, UMP, PS, PCF,FDG,NPA...), je préférais voter pour ces candidats que pour des valets des partis hexagonaux qui au mieux n\'en ont rien à faire de la Bretagne ou au pire sont contre la Bretagne quand ils sont à Paris.
Cela permettrait aux idées de l\'emsav de se développer dans la population bretonne et surtout faire comprendre aux politiciens professionnels que les voix de la Bretagne comptent dans leur réélection. Dans tous les cas, vous savez aussi bien que moi, que ces identitaires bretons ont quasiment aucune chance d\'être élu comme député, et si dans le futur cela devait changer il faudra bien sûr changer de comportement et forcer ces personnes à se positionner réellement (je ne doute pas que certains d\'entre elles seront plus matures et moins idéologiques...). Mais nous ne sommes pas encore là.
Alors si on veut instituter un rapport de force face à la politique jacobine de la France, il faut voter pour des candidats qui se réclament d\'abord breton.
Pour plus d\'information, je vous invite à relire ce que la note de synthèse que j\'avais faite pour ces élections législatives et notamment le point sur les candidatures \"bretonnes\" (cf http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=25877&searchkey=l%E9gislatives=)
Une réflexion. Le nazisme, une horreur sans nom : 500 000 juifs en Allemagne en 1939, en général très bien intégrés socialement. Un génocide abominable que rien ne peut justifier. L'horreur absolue.
La France, en 2012 : 200 000 immigrés PAR AN depuis plusieurs dizaines d'années, pour la plupart de cultures très éloignées des nôtres et uniquement des réactions très mesurées au sein de la population de souche. (200 000, d'ailleurs, ce chiffre ne vous rappelle rien ?...).
Je pense que les gens sont très tolérants, en ont largement fait la preuve, mais commencent tout simplement à en avoir assez. Cela est susceptible de mal se terminer, certes... mais il faudrait rapidement prendre en considération leurs aspirations, plutôt que de les railler. Car on touche finalement là à quelque chose de fondamental et de très intime chez l'individu, y compris jusqu'à son identité génétique (appel au métissage généralisé). Cette sensation est comparable à celle que l'on éprouve face au viol. une espèce de fascisme inversé, au final. Les réactions sont donc susceptibles d'être violentes.
On s'en fout de la France, ici c'est la Bretagne ou du moins le pays pour lequel l'identité bretonne compte avant tout et passe bien avant les considérations strictement franco-franchouillarde.
Personnellement s'il y a 200 000 immigrés par an en France, cela me fait une belle jambe. Si les français sont assez c.. pour le tolérer, tant meiux pour eux.
Si cela ne vous plait pas, appelez à voter pour les partis bien français comme le FN, c'est leur rhétorique.
Mais sachez que jamais au grand jamais, les véritables patriotes bretons ne voteront pour des partis hexagonaux qui nous bassinent avec des thématiques exclusivement françaises et qui se moquent éperdument de la Bretagne.
La jeunesse n'en a plus rien à faire des Nazis et de Hitler qui n'existent plus depuis 67ans; comme la jeunesse de 1914 se moquait au plus haut point de l'élection de Louis-Napoléon Bonaparte. Nos jeunes ont bien raison, d'ailleurs, de s'en moquer. Au moins, ça leur épargne la médiocrité de vos analyses obsédées (sorc'hennet oc'h gant Hitler, m'hel lâr deoc'h).
Par ailleurs, ils ne sont manipulés par personne, puisque leurs idées n'ont pas l'heur d'être majoritairement partagées. Ils ne sont pas manipulés, contrairement à vous, lorsqu'en mai 1968, vous écoutiez, benêts, tous les idéologues qui tenaient le haut du pavé à la Sorbonne; contrairement à vous qui avez fait vôtre l'idéologie laïcarde et républicaine de la France, par le biais de votre téléviseur...
Peut-être sont-ils l'allié breton du Bloc Identitaire ? Et alors ? Le Bloc a toujours été pour une France décentralisée et respectueuse des identités régionales. L'UDB est bien l'alliée locale des Verts et du PS, de même que Breizhistance est l'alliée locale du NPA, et alors ? Ces jeunes -et moins jeunes-, de "Bretagne, nous avons foi en toi", sont des Bretons, comme vous et moi, sincèrement autonomistes et amoureux de leur pays, ne vous en déplaise !
Et moi, je voterai pour eux, c'est clair ! Vous êtes trop répugnants avec vos réflexes de caniches qui aboient dés que passent quelque chose qu'ils ne connaissent pas devant leur truffe humide et morveuse...
Bonjour deoc'h. Je ne doute pas de votre qualité de Breton et là n'est pas le problème. Si les Bretons, dans leurs veuleries, continuent à faire confiance exclusivement à des partis qui reçoivent leurs ordres de Paris, on sera au même point dans 20 ans, voire au delà.
Vous croyez réellement que ces partis se soucient de la Bretagne ? non ,ou alors uniquement que pour récupérer leurs voix et leurs impôts.
si vous voulez que cela change, il faut voter pour des partis qui prennent en compte les thématiques bretonnes et proposent des solutions pour la Bretagne.
Quand aux flux migratoires que vous évoquez, en Bretagne à part peut être dans la région nantaise, on en est encore loin du compte. Même si cela devait être un problème primordial en Bretagne, cela devrait être de toute façon réglé à minima au niveau européen et surtout dans le cadre étouffant stricto-sensu français.
Mais la situation évolue aussi très rapidement et chez nous, il serait justement encore le temps de faire quelque chose.
Entendons nous bien : il ne s'agit pas là d'une haine de la différence pour ce qu'elle est, de "racisme", si vous préférez, pour employer ce terme épouvantail. Je considère d'ailleurs que l'on n’intègre jamais des populations, mais seulement des individus, qui sont à prendre en considération à l'aune de leurs qualités et de leurs défauts intrinsèques.
Seulement, l'intégration n’est possible que si ces individus disposent d’une liberté individuelle. Or, les sociétés d’accueil, nos sociétés, ont elles-mêmes créé les conditions qui rendent impossible l’émergence d’une telle liberté individuelle pour ceux qui sont issus de groupes dont ce n’est ni un acquis historique, ni une valeur culturelle.
Cette situation est en train de nous conduire inévitablement à la constitution d'un agrégat de communautés qui ne raisonnent plus que par rapport à leurs intérêts particuliers. Or, cela est le contraire d'une société moderne, c'est la désintégration du lien commun. Le retour au tribalisme.
Ce n'est finalement, au final, que le fin du fin du fameux "diviser pour mieux régner", cette stratégie de gouvernance visant à semer la discorde et à opposer les éléments d'un tout pour les affaiblir et au final régner sur une population en toute quiétude pour la manipuler à loisir (réformes diverses et variées à son détriment...).
Mais ce petit jeu est dangereux et risque de très mal se terminer. L’anthropologue Claude Lévi-Strauss ne déclarait pas autre chose lorsqu’il prêchait la nécessité du respect de la bonne distance entre les peuples : « Que les peuples ne vivent pas trop près les uns des autres, sinon, c’est la guerre, mais pas trop loin non plus, sinon, ils ne se connaissent plus et alors, c’est la guerre !
Il est plus que temps de sortir de l'angélisme béat ambiant.
Stad gall, polis,faskourien : er-maezh !
Par ailleurs, ce n'est que depuis 1945 que l'Emsav s'est découvert des accointances avec la Gauche, plus par obligation que par conviction d'ailleurs. A ce que je sache, Breiz Atao n'était pas précisément un mouvement de Gauche...et la gageure de se prétendre nationaliste breton mais contre tout système étatique ressemble beaucoup à l'idée que l'on peut se faire de la recherche de la quadrature du cercle. Que Dieu nous préserve du fait que vous accédiez un jour aux responsabilités. Vous n'êtes pas crédibles.
Enfin, ce n'est pas en maniant l'anathème contre vos "kenvroiz" ainsi que les slogans gauchistes niveau CP derrière votre clavier que vous allez faire avancer les choses ! Et veillez à soigner un peu votre brezhoneg, mar plij : Stad C'hall... er maez !
Donc arrêtez avec cette recherche d'une supposée "fascination du fascisme" ou de "la bête immonde"
Nous sommes du 21e siècle. D 'autre part, l'idéologie fasciste, donc jacobine, est aux antipodes de l'autonomisme breton
Vraiment hâte que les générations qui nous ressassent sans cesse le 20e siècle (alors qu'il y a eu des milliers d'années d'histoire avant) nous laissent construire notre 21e siècle, eux qui ne sont pour le coup jamais sortis des vieux réflexes ...
L'avenir est à nous !