- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Côté cour.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Côté cour.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. On distingue encore la plaque du Conservatoire de musique.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. La maison des associations de culture bretonne à Nantes s‘affiche visiblement ainsi depuis quelque temps.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. La maison des associations de culture bretonne à Nantes s‘affiche visiblement ainsi depuis quelque temps.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. L’ancienne grande affiche du CNCC ou Centre Nantais de Culture Celtique, créé en 1972 qui se réunissait dans ce lieu mythique ou. Dans la grande sale du premier étage. Voir aussi l'état des chaises.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Le grand escalier de marbre en mauvais état.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Palier au premier étage.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Les toilettes au premier étage.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Les toilettes au premier étage.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Les toilettes au premier étage.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Les toilettes au premier étage.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Au premier étage une poignée de porte de fortune.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Au premier étage une poignée de porte de fortune. Gros plan.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Au premier étage.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Une fenêtre dans la grande salle du premier étage.
- 16Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Extérieur de nuit du balcon du premier étage. Le tuffeau est rongé.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Extérieur de nuit du balcon du premier étage. Le tuffeau est rongé.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Le balcon du premier étage de nuit.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Le balcon du premier étage de nuit.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Le magnifique escalier en marbre est sale et abimé (voir aussi photo 10).
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Le magnifique plafond sculpté du rez-de-chaussée porte des traces jaunes...
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Un mur écaillé.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Dans une salle.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Revenons à l’extérieur.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Outre les pierres rongées la toiture commence à perdre des ardoises. Voir entre les deux fenêtre de gauche au dernier étage.
- Ty Keltiek rue Harrouys à Nantes. Une note d’optimisme. La cheminée en boiserie d’une salle du rez-de-chaussée est en bon état. Il reste à faire le tour en photos du sous-sol et des salles qui y sont.
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La Maison de la Culture de Nantes est un hôtel particulier datant de la fin du dix-neuvième siècle, situé rue Harrouys. Avant de devenir les locaux d'associations bretonnes, ce bâtiment était l'antenne
La Maison de la Culture de Nantes est un hôtel particulier datant de la fin du dix-neuvième siècle, situé rue Harrouys. Avant de devenir les locaux d'associations bretonnes, ce bâtiment était l'antenne nantaise du conservatoire national de musique et de théâtre, comme peut encore en témoigner une pancarte sur la façade; une grotte de Lourdes dans le jardin, vide mais de dimensions imposantes, témoigne d'un passé plus pieux dans un quartier où les implantations religieuses étaient légion : l'ancienne clinique Saint-François, dont le bâtiment néogothique héberge Presse-Océan depuis quelques jours, est à deux pas. Aujourd'hui, ce très bel exemple du patrimoine architectural nantais est dans un état de dégradation très préoccupant.Les façades, en pierre de Loire sculptées, sont usées et effritées ; il en est de même pour les moulures des fenêtres et les encadrements de porte. Les grilles en fer forgé sont complètement rouillées. Le jardin voit ses murs couverts de lierre ou de mousse, et un tas de terre sert occasionnellement de piste de vélo pour des enfants du quartier, qui y laissent outre les ordures de leurs goûters, des graffitis sur les murs. A l'intérieur, le constat est le même : les plafonds se désagrègent, et les murs tombent en poussière... Seulement voilà : le statut de ce bâtiment n'est pas très clair : si le panneau Nantes Métropole à l'entrée indique bien que cette maison appartient à la municipalité, celle-ci considère que c'est aux occupants de s'occuper de l'entretien, comme c'est malheureusement souvent le cas dans ce genre de situation. Occupants et municipalité se renvoient la responsabilité des réparations lourdes, dont l'urgence commence à se faire pressante. Alors finalement, on a une proposition : au lieu d'un nouvel animal dans le hangar à bananes, ou d'une nouvelle ligne Chronobus, on pourrait peut-être donner au patrimoine nantais en péril les moyens dont il a besoin pour demeurer intact ? Après tout, il en vaut la peine non ? Par Louis Lecomte






























Commentaires (2)
Sur le site http://www.nantes.fr/locaux-a-usage-associatif-permanent il est indiqué "Un certain nombre de bureaux sont disponibles pour les associations qui en font la demande.
Elles s'acquittent d'une redevance d'occupation qui varie selon la catégorie du bâtiment." Les associations payent déjà une redevance et il faudrait qu'elles payent les travaux ??? On marche sur la tête !