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- Lettre ouverte -
Lettre ouverte à madame la ministre de la Justice
Le rédacteur de cette « lettre ouverte » a formé l'an dernier une requête à un tribunal non professionnel (en l'occurrence les Prud'hommes, à Dinan) au sujet d'un litige qui se rapporte à la problématique de la famille « judiciarisée » à outrance, et au droit du travail détourné par des auxiliaires de justice. Dans le cours de cette instruction civile, le demandeur a constaté - une fois de plus - que l'arrivée d'un juge professionnel a pollué et même truqué les débats, faisant passer les intérêts privés des auxiliaires de justice bien avant l'intérêt de la recherche de la vérité ou les devoirs d'indépendance et d'impartialité. Les ficelles sont si
Pascal Dazin pour alphabet du respect des enfants le 4/05/10 13:01

Pascal Dazin Docteur en médecine, médecin du travail Fondateur de « l'Alphabet du Respect des Enfants » Responsable de REPARE, « Résistance des Parents Responsables » La Hulotte 22940 PLAINTEL

Madame Michèle ALLIOT-MARIE Ministre de la Justice, Garde des Sceaux 13, Place Vendôme 75042 PARIS Cedex 01 Premier mai 2010

Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Justice, Garde des Sceaux

Objet : Violences judiciaires banalisées ; troubles identitaires parentaux ; violations de la Constitution et des Conventions ratifiées (CIDE, CEDHLF)

Avertissement :

Le rédacteur de cette « lettre ouverte » a formé l'an dernier une requête à un tribunal non professionnel (en l'occurrence les Prud'hommes, à Dinan) au sujet d'un litige qui se rapporte à la problématique de la famille « judiciarisée » à outrance, et au droit du travail détourné par des auxiliaires de justice.

Dans le cours de cette instruction civile, le demandeur a constaté - une fois de plus - que l'arrivée d'un juge professionnel a pollué et même truqué les débats, faisant passer les intérêts privés des auxiliaires de justice bien avant l'intérêt de la recherche de la vérité ou les devoirs d'indépendance et d'impartialité. Les ficelles sont si grosses qu'un médecin social ne peut les occulter. A travers le récit de cette lettre ouverte, on verra comment un système se défend pour tarir les résistances citoyennes et républicaines au profit de la justice, en l'occurrence dinannaise, où tout ce qui tente de survivre librement semble « dina-mité » ou frappé du sceau…d'inanité ! L'expert psychologique d'Outreau se plaignait de ses honoraires de femme de ménage ». N'est-il pas surtout temps de donner un bon coup de balai sur des pratiques judiciaires exorbitantes du cadre républicain, et qui évoquent plus la féodalité que la démocratie ?


Madame la Ministre,

Nous avons récemment entendu un avocat pénaliste étant intervenu à Outreau (Maître Dupont Moretti), déclarer sur les antennes publiques : « Rien n'a changé depuis Outreau, il ne faut pas avoir affaire à la justice française ». Nous avions déjà entendu un avocat devenu député (Monsieur Vallini) affirmer sans vergogne dans le contexte d'Outreau que notre justice civile serait selon lui irréprochable. Et un autre avocat devenu chef d'Etat a cependant promis durant sa campagne de construire une « grande profession de droit ».

Je ne suis quant à moi pas « avocat de la famille », libre de plaider tout et n'importe quoi.

Car je suis un justiciable ordinaire, médecin du travail, responsable de chacun de mes actes et engagements professionnels ou sociaux, y compris quand je milite pour une socialisation neutre et bienveillante des séparations parentales et l'arrêt définitif des scandaleuses captures judiciaires illégales (puisque violant deux Conventions ratifiées et le principe de non-discrimination en justice républicaine), sous prétexte de difficultés conjugales.

Je vous informe avoir introduit l'an dernier une requête contre un service de médecine du travail au Conseil des Prud'hommes de Dinan, car deux membres du Conseil d'Administration de ce service de médecine du travail avaient ourdi mon expulsion, déguisée en fin de période d'essai. Ces membres appartiennent à la corporation judiciaire. Dans ce dossier civil pris normalement en charge par une justice non professionnelle, les choses se sont perverties, comme tous les jours dans tous les TGI de France, avant ou après les révélations d'Outreau, au civil comme au pénal en matière de vie de famille capturée par l'institution judiciaire. Pour que cette perversion s'impose, il aura suffi qu'un magistrat professionnel s'introduise dans l'affaire, en tant que juge départiteur.

L'arrivée de magistrat professionnel, prévue par la loi en cas d'égalité de voix des conseillers, a pollué de façon caricaturale les débats : sous la pressions des avocats affairistes, le principe d'impartialité et le devoir d'indépendance ont volé en éclats. En effet, la collusion entre le magistrat et l'avocat de la partie adverse se manifesta de façon grossière pour le médecin du travail expérimenté que je suis, et ce par préméditation d'une question incongrue à poser au témoin, et ceci à la décharge exclusive de ceux que j' accuse.

La question fut inopinée, imprévue au regard du droit du travail et des habitudes en la matière : en effet, le témoin fut objectivement incité par la juge à se « souvenir » qu'une réunion fantôme, non prévue par le code du travail (à savoir une réunion exceptionnelle de Conseil d'Administration) , se serait tenue pour remplacer une autre réunion plus officielle puisque prévue par le Code du travail, mais souvent négligée (la Commission de Contrôle).

Manifestement, pour prévoir une telle parade à mes accusations fondées, il a fallu une connivence entre le magistrat professionnel, l'avocat de la défense, et le témoin.

Depuis le début de ce procès, la défense des auxiliaires de justice que j'accuse consiste à déclarer que ce ne sont pas eux qui décidèrent de mon expulsion, à seule fin de dédouaner le vice-président avocat, et un autre membre du Conseil d'Administration, un huissier.

Le juge professionnel posa au témoin sous serment une question ahurissante pour qui connaît le fonctionnement des services de médecine du travail. Le témoin, pourtant directrice administrative de ce service, n'eut pas l'air étonné d'une telle question incongrue : elle jura aussitôt, sans l'ombre d'une hésitation, se souvenant subitement de cette réunion dont il n'avait jamais été question précédemment, après un an de procédure prud'homale durant lequel il avait multiplié les amnésies sélectives et les faux souvenirs, hors serment et sous serment, sans jamais avoir parlé de cette réunion sans objet, sans intérêt, et sans motif légal....

Cette grossière manœuvre fut sensée contrecarrer un point que j'avais souligné dans les délais légaux, point qui n'était pas fondamental, mais qui l'était devenu devint pour eux dans la mesure où ils sont ignorants du droit et des pratiques en matière de médecine du travail.

Je précise que ceux que j'accuse devant les Prud'Hommes sont exclusivement des auxiliaires de justice, et que je les accuse dans leur propre fief judiciaire, évidemment sans avocat, sachant que l'avocat « choisi » par la partie adverse n'est autre que le collègue de cabinet d'avocats où travaille celui que j'accuse au principal d'avoir ourdi jadis mon licenciement déguisé en fin de période d'essai au seul motif que mes activités associatives déjudiciarisantes et socialisantes lui déplaisaient (Ce détail pose à l'évidence un autre problème sur le plan déontologique, relatif au conflit d'intérêt prohibé par la profession)…

Nous sommes en France : nous sommes donc tous à Outreau dès que nous entrons dans un tribunal où travaillent des magistrats et des avocats professionnels.

Par conséquent, serait comme d'habitude frappée d'inanité sous quelque forme que ce soit l'introduction d'une procédure en suspicion légitime au sujet de ce juge départiteur. J'ai cependant déposé plainte contre X devant le Procureur de la République de Dinan pour subornation de témoin, et pour moi, les suborneurs sont avant tout des auxiliaires de justice familiale.

Je tiens également à vous signaler qu'il y a beaucoup de citoyens ordinaires en France, ne disposant pas des privilèges immunitaires accumulés par le personnel judiciaire surabondant normalisant les familles plutôt que de rester dans leurs missions républicaines.

Et parmi ces nouveaux sujets de la grande machine judiciaire intrusive d'emblée, discriminatoire selon le sexe, qui étouffe le social, exploite les désemparés, et anéantit peu à peu les relations familiales, parmi ces nouveaux serfs de la nouvelle noblesse, il reste encore des gens qui, comme moi, préfèrent rester fiers d'eux plutôt que serviles et courbant l'échine devant ces nouveaux « Maîtres-du-Tout-Judiciaire ». Il reste des gens qui ne se suicident pas au sortir d'un tribunal de la famille, dans un pays qui se vante d'avoir aboli la peine de mort, ou qui ne deviennent pas des forcenés en réaction aux violences institutionnelles qu'ils subissent sans aucun soutien républicain.

Je tiens à souligner que nous sommes des citoyens écrasés par les privilèges accumulés par les avocats, les juges, les experts - y compris médicaux - qui se chargent de traiter les familles selon des normes amorales, inaugurées jadis par la loi Naquet, et confortées depuis 1970.

Quant à ces nouveaux Maîtres en robe noire, sans être psychiatre agréé par la justice, j'affirme que le comportement de bien trop d'entre eux est une illustration parfaite de ce que l'on appelle actuellement le « narcissisme pervers », comportement déviant qu'ils développent ou cultivent dans le milieu le plus corporatiste et irresponsable de France, ne pouvant absolument plus être décrit en l'état comme un pouvoir authentiquement républicain : en orbite autour de la machine judiciaire, les très nombreux avocats inscrits aux barreaux et médecins agréés par la machine judiciaire bafouent quotidiennement leurs serments et déontologies respectives.

En conclusion :

Nous ne souffrons pas seulement d'excès de textes contradictoires et labiles, opportunistes-populistes.

Nous souffrons également d'un insidieux totalitarisme judiciaire étouffant de plus en plus gravement le jeu social libre, égalitaire et fraternel que devrait jouer l'état républicain au bénéfice des citoyens égaux en dignité bien avant que de l'être en « droits » , ces droits étant largement surexploités par une corporation opportuniste et carriériste, devenue trop souvent « border-line », en toute impunité et précisément parce que cette impunité permet les passages à l'acte.

Quand une démocratie n'a plus en bouche que les mots « justice », « prison », « police », -quand elle détruit les services publics existants et notamment les outils préventifs neutres, mais n'en crée pas de nouveaux adaptés aux nouveaux besoins sociaux, -quand les soutiens bienveillants de jadis ne sont plus que des cabinets libéraux où s'exploitent les nouvelles détresses comme autant de nouveaux filons, que des officines mercantiles sous couvert de « droits pour tous », -et quand la justice est inique et même illégale, violant les Conventions et la Constitution, nous entrons dans le champ des violences institutionnelles sous prétexte d'Etat de droit, nous ne sommes plus en République : nous sommes dans un étouffoir pseudo-démocratique, un régime inédit pour lequel je propose le néologisme « légaziste », évoquant le rideau de fumée judiciaire qui sépare le peuple de ses maîtres.

Je vous remercie pour votre attention à ma lettre ouverte, et me tiens bien sûr à la disposition de ce qui nous sert de « justice française », afin de répondre de mes actes et déclarations, qui sont autant de dénonciations vertueuses..

Veuillez agréer, Madame la Ministre Garde des Sceaux, mes salutations distinguées.

P. Dazin

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Cet article a fait l'objet de 2709 lectures.
Vos 8 commentaires :
ALAIN GUILLOU Le Mardi 31 août 2010 23:27
QUESTIONS AUX LECTEURS ET COMMENTAIRES SUR CETTE LETTRE OUVERTE
Qui peut encore avoir confiance dans cette mascarade judiciaire protégeant des juges coupables d'exactions méritant plusieurs décennies de prison ? un proc du sud de la fRance se positionnant comme le Zorro du moment soliloque plusieurs heures sur une chaîne publique pour faire croire au bon peuple que la pire des punitions est pour un de ses confrères en robe noire au nom d'un rusé animal la retraite avec plein salaire !
Question : ce rusé, a t-il reçu en prime la légion d'honneur remise systématiquement à tous les juges à la retraite ? « Zorro » confirme publiquement que son collègue est coupable de rien de moins que de 70 exactions majeures omettant toutefois soigneusement de dire qu'il est aussi responsable d'un harcèlement immonde sur un père français défendant sa fille de 5 ans. A cause de ce harcèlement ce père responsable a reçu l'asile politique aux USA ! … dans quel monde de fous vivent les français ?
Tous les journalistes qui ont parlé de cette affaire ont subit des représailles. Qu'attends t-on pour mettre ce rusé en prison à vie ?
Dans les chambres spéciales des affaires jutes et familiales, quel avocat apportera la preuve d'avoir plaidé contre l'arrêt de cassation Lejeune 93 ? quel juge aura décrété cet arrêt « anti-républicain » comme le devoir l'impose à tout juge ?… comment un peuple qui ratifie la Convention Internationale des Droits des Enfants peut il accepter que la justice viole très officiellement les lois de la république et la Constitution en toute impunité pendant tant d'années ? (ref art. 55 contre l'Arrêt Lejeune 93)
Outreau ? ah oui Outreau ! … c'est très simple pourtant. C'est « treau » enfin je veux dire trop ! oui oui enfin bon « ou-trop » pardon Outreau c'est comme quelqu'un qui gagne au loto et qui au fil du temps perd la notion de l'argent …. Outreau n'est tout simplement que le résultat d'actions routinières d'un groupe de robes noires, « enfants gâtés » complètement barrés dans leur têtes qui ayant perdus toutes barrières tous repères et sans limites n'ont vu là que des affaires permettant plus de procès, plus d'argent et plus de pouvoir .. on s'en fiche complètement de savoir si le justiciable est coupable ou innocent … ce n'est pas leur problème. La seule chose qui compte c'est de savoir combien de procédures ce justiciable ou ces justiciables pourront générer … heureusement qu'un prêtre au caractère hors du commun s'est érigé devant ce pouvoir qui ne dit pas son nom … mais Outreau c'est tous les jours dans des Affaires Familiales devenues hautement criminogènes…
Outreau n'est qu'une infime partie de la face visible d'un iceberg de puanteur…. des pères outreaugés tous les jours meurent massivement en fRance.
Outreau c'est tous les jours et depuis longtemps dans l'Ajustice française
Pourquoi décrète t-on à Angoulême qu'un juge qui se masturbe en public est à mis temps thérapeutique … doit-il voir un psy le matin et juger en se masturbant publiquement dans son tribunal l'après midi ? de qui se moque t-on ?
Que dire de cet autre lui aussi en robe noire et portant un nom d'animal (un peu plus au nord ce celui cité ci-dessus) qui le soir après son boulot éteignait ses mégots sur les seins de sa femme infirme après son travail ? muté avec promotion … il continue aujourd'hui à détruire des familles à coups de stylo et en toute impunité dans le silence feutré d'un TGI d'un arrondissent Parisien …
Je me rappelle bien d'une audience dans laquelle cet « animal » là poussa le comble de la perversité jusqu'à « juger » le jugement d'un de ses confères en le qualifiant je cite « de débile, barbare et digne d'une république bananière » mais sans jamais rien faire pour corriger la débilité d'une pourriture qu'il reconnaissait et dont il savait pertinemment qu'elle allait détruire la vie d'un père et de sa famille.
N'oublions pas les centaines d'affaires qui sont étouffées jour après jour comme par exemple ce passionné de photo du coté de Grenoble qui dénudait des gamines de moins de 12a en difficulté sociale pour les photographier avec la complicité du petit personnel de son tribunal … Et qu'est-il advenu à cet adepte syndiqué du SM se faisant flageller en Allemagne payant avec une carte de crédit volée ? propre sur son visage ! … il enseignait l'éthique à la bonne école de la magistrature …
Un peuple qui oublie son histoire est un peuple sans nom en voie de disparition … c'est pourquoi je rappelle ici que cette institution prétendant s'appeler « justice » n'a jamais demandé pardon au peuple français d'avoir envoyé ses familles dans les fours crématoires en collaborant avec les nazis.
Elle détruit toujours les familles françaises mais ses méthodes sont devenues infiniment plus sophistiquées.
Alors Cher Ami Pascal , je ne suis pas surpris par ta lettre ouverte à ces poli-ti-chiens de tous poils qui ont abandonné leur mission républicaines pour laisser la place à ces hauts fonctionnaires de l'état et à leur complices tous en robes noires qui ont eux depuis fort longtemps abandonné le monde des humains civilisés.
Monsieur l'avocat président il ne faut plus crier vive fRance mais « vive l'Ajustice ! et Vive la Répoubelle» !
Alain Guillou Père bafoué et résistant www.guillou.com 25 rue des Fresches, Marlais 44410 Herbignac tel : +33 (0)2 40 70 64 48
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Hugues Clin Le Mardi 31 août 2010 23:27
Merci, vous dites avec panache ce que l'immense majorité des justiciables voudrait exprimer. C'est le constat d'encore peu de juges honnêtes, comme Serrano à Seville. Pour reprendre la célèbre exclamation du Juge Roy Bean à l'ouest du Pecos, je dirais "pendez-les" !
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Pascal Dazin Le Mardi 31 août 2010 23:27
Merci à Alain Guillou pour son départage entre vertus civilisées et malhonnêteté du troisième pouvoir français, passé en première place dans les faits. Le gaullisme est fini, et avec lui la logique militaire. Nous sommes à l'érès judiciaire, qui abuse et fait souffrir par ordonnances illégales qu'on fait passer pour légales, n'offrant la possibilité que de faire des appels eux aussi trop souvent truqués. Qui oserait critiquer ceux qui sont les garants de l'application du droit et peuvent vous étouffer à coups de menaces, procès-durs et de manigaudiences! Merci aussi à Monsieur Clin. Au sujet du châtiment, je pense qu'il parle au figuré d'un lobby qu'il n'apprécie pas du tout non plus, non par ressentiment pasionnel et illégal, mas par expérience et devoir de dénonciation vertueuse, face à ces centaines de millions de dénonciations calomnieuses déguisées appelées "attestations" et"plaidoiries". La peine de mort n'est pas tolérable, que ce soit par pendaison, décapitation, électrisation, empoisonnement ou suicide. Actuellement, la peine de mort est légale en France. On autorise le suicide par violences institutionnelles.Pour étouffer les responsabilités de ceux qui commettent ces meurtres para-légaux, il suffit de fermer les yeux, et de truquer la balance: ca ressemble à de la justice, mais c'est une parodie qui ne sert que la Justice, . le milieu judiciaire est aliéné aux idéologies et perverti par les gratifications que permet ce sur-pouvoir trop souvent déjanté et pseudo-républicain. La Commission Vallini n'a fait qu'étouffer un peu mieux ce désordre républicain organisé. Personnellement je ne veux pas pendre ceux qu'on démasque. Je veux qu'ils soient rééduqués et apprennent enfin à servir le Peuple. Si la rééducation ne fonctionne pas, et puisque tout le monde devrait avoir une occupation rémunérée, qu'ils et elles (puisque c'est la parité) deviennent balayeurs, en mémoire du psychologue d'Outreau qui faisait le ménage des justiciables par ses expertises et ses ex-bêtises, en collaboraton avec les dizaines voire centaines de personnel qui savait que tout était parti d'approximations et délires de petite vertu, exploités pour faire un procès dénaturé de plus, signant la dérive perverse narcissique de ce pouvoir de venu bien trop souvent intrusif (la dérive familiale civile et sa multitude de conversions pénales très juteuses pour le lobby en sont le symptôme majeur, le paradigme, venant d'ailleurs faire tâche d'huile dans l'océan des procédures, telle une marée noire jamais endiguée) .
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SOS Enfants du divorce Le Mardi 31 août 2010 23:27
De toute ce que dessus, notre association vieille de trente ans, retire la conviction renforcée d'avoir à demander à notre gouvernement la création d'un nouveau ministère. Qui pourrait s'appeler :
Ministère de la famille, de l'enfance, de la médiation familiale.
Une concertation est en cours sur les nouveaux réseaux sociaux, dans lesquels les familles déchirées, les parents brisés, les enfants esseulés, les associations et causes de défense des droits des parents et des enfants, impriment leurs volontés de faire cesser les traitements les plus inhumains jamais connus depuis des millénaires : les séparations judiciaires intensives programmées dans les couples humains et les cassures extrêmement violentes, sous couvert de pratiques dites éducatives, des liens entre parents et enfants.
Une de nos membres, Madame Laurence Dardel, Professeur agrégé d'Economie Sociale, adresse une lettre ouverte qui sera publiée ici-même, accusant les Services Sociaux Spécialisés et une association dite de Protection de l'Enfance et de l'Adolescence, de pratiquer sous mandats judiciaires ou administratifs, des tortures affectives extrêmement dégradantes au sein des familles... Merci à Madame Marceline Gabel de nous avoir encouragés par l'intermédiaire de Madame Laurence Dardel, dans cette révélation des cruautés que subissent nos enfants.
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Pascal Dazin Le Mardi 31 août 2010 23:27
merci également à l'association SOS ENFANTS DU DIVORCE, pour cette intéressante réaction. Nous partageons les mêmes espérances de changement radical de poliique familiale et de création d'outils sociaux préventifs , lesquels feront (enfin) avec intelligence pour nos enfants la différence entre les conséquences sociales, affectives et éducatives des séparations parentales et les conséquences de leur judiciarisation "outreloise" actuelle. Je sais que vous et nous ne confondonc pas non plus les bienfaits de la médiation sociale avec leur capture par un marché émérgent trompe-l'oeil, celui des médiations judiciaires. Bon courage à vous!
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Laurence Dardel Le Mardi 31 août 2010 23:27
J'ai reçu un rapport daté du 04/03/2010 de l'APEA de Montpellier intervenante mandatée dans le cadre d'une mesure d'AEMO judiciaire relative à mes enfants Antoine et Adrien. Durant cette mesure, Madame G., éducatrice spécialisée, est venue le 05/08/09 pendant 8 (huit) minutes à mon domicile pour me fixer un rendez-vous au 12/08/09 en vue d'emmener mes deux enfants prendre un repas dans un bar ou snack. Elle a renouvelé cette mission le 25/10/09. Les autres rendez-vous de l'APEA consistaient à me recevoir seule, pendant mon temps de travail, dans leurs locaux, pour me refixer des rendez-vous. Aucune discussion à contenu éducatif n'a jamais été abordée avec moi par les travailleurs sociaux ni par la direction de l'Association.
Ce rapport n'a pas à qualifier les relations mère-enfants puisque l'éducatrice n'a visé qu'à voir les enfants seuls et séparément, et d'autres éducateurs la mère seule. Or le contenu du rapport tente de mettre en exergue une incapacité de la mère, sans mettre en évidence les éléments de la vie réelle. Il contient de fausses indications sur mes comportements, afin de tromper les magistrats dans leurs décisions. Cette violence institutionnelle a déjà été dénoncée par plusieurs auteurs et il est très surprenant que soient systématiquement renouvelées des mesures d'AEMO qui débouchent même souvent sur des suggestions de placement d'enfants. L'intérêt des enfants n'est donc absolument pas préservé, ni celui des familles. Le véritable objectif de ces Associations est de toute évidence la rentabilité dans l'obtention de mandats judiciaires. Il s'agit d' abus de pouvoir administratif et judiciaire qui cassent les rapports humains familiaux, par des accusations fallacieuses et outrancières versées aux juges, sur les parents et les enfants. Les acteurs de la Protection de l'Enfance ont pour mission de protéger les enfants maltraités et d'aider leurs familles. Il s'agit de professionnels, formés à un métier, exerçant leurs missions dans une institution dont la finalité est très bien définie. Tous doivent alors appliquer scrupuleusement les lois, les textes et les procédures, mais ont-ils les pouvoirs sinon les mandats, de le faire au détriment des familles et des liens entre parents et enfants ? Il est inacceptable que de telles associations osent tricher et livrer des rapports tronqués à nos juges. L'enfant est-il pris en considération dans de réelles valeurs éducatives ? Ou bien, l'enfant est-il un matériel économique permettant d'enrichir ces Associations auxquelles l'APEA appartient ?
Laurence Dardel 46 rue du mas de calenda Résidence Domaine des pins 34090 Montpellier 04 30 10 95 56 06 79 80 91 14 Professeure agrégée d'économie et de gestion
Copie à : Présidence du TGI de Créteil, Monsieur EGRET, Madame la Juge des enfants du TGI de Créteil, Mme MONPIERRE, Madame La Juge aux Affaires Familiales du TGI de Créteil, Mme ROSIO, Monsieur le Préfet de Région Languedoc-Roussillon, Monsieur Le Président du Conseil Régional du Languedoc Roussillon, Monsieur Le Président du Conseil Général de l'Hérault, Madame Le Maire de Montpellier, Madame MANDROUX, Madame Le Chef de service de l'ASE, Conseil Général de l'Hérault, Monsieur Le Directeur de l'APEA, Madame Marceline GABEL, auteur d'ouvrages sur la protection de l'enfance, Madame VERSINI, Défenseure des enfants.
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Pascal Dazin Le Mardi 31 août 2010 23:27
Madame Dardel, J'ai lu avec attention votre témoignage, concis et précis. A l'évidence, vous ne manquez pas de capacité pour vous exprimer et réfléchir. Vous semblez avoir une situation matérielle décente. Sauf si vous êtes frappée d'une maladie psychiatrique dangereuse pour vos enfants et indécelable dans un témoignage comme le vôtre, sauf si vous êtes perverse et abusez d'eux, je vois mal ce qui a pu en bonne justice et en toute logique forcer la machine judiciaire à vous retirer vos responsabilités. Je suis ce sujet à votre disposition par les coordonnées associatives qui figurent dans cette page. Mais je vous réponds sur un paln général. "Ont-ils le pouvoir"? Oui, bien sûr: ils le prennent, donc ils l'ont! J'ai soutenu des centaines de pères (beaucoup moins de mères) victimes de la justice des enfants, une justice au-dessus de toutes les autres, et qui collabore assez souvent avec la "justice familiale". Cette "justice des enfants" n'est pas dans mon analyse "trompée" (ainsi que vous le dites de votre côté) par les travailleurs de la DDASS (psy et éduc spécialisés. Ils fonctionnent sans contrôle et en couple, comme avocats et juges familialistes le font. C'est un jeu, ils le reconnaissent souvent avec cynisme eux-mêmes. "laissez-vous faire: vous savez bien que c'est de la comédie", ai-je entendu moi-même! En conclusion: avoir le pouvoir n'a jamais voulu dire "devoir", et seul un contre-pouvoir pourrait rétablir cette institution dans le cadre de ses missions républicaines. A t'on d'ailleurs compris pourquoi on juge et "expertise" tant de parents qui se séparent, sans juger et expertiser ceux qui ne se séparent pas officiellement, alors que la Convention des Droits des Enfants interdit de discrimniner les parents suivant leur statut matrimonial? Il parait qu'une femme libérée est "divorcée et psychanalysée". Il faudrait donc expertiser toutes les femmes en couple, puisqu'elles sont enchainées et même pas psychanalysées...Tout cela n'est que commerce basé sur l'entretien d' illusions idéologiques présentées comme des "progrès"... Quant aux dix minutes d'entretien, c'est la règle, et c'est même parfois beaucoup. Et l'on est "entretenu" par des jeunes, sans enfants, qui posent des images sur vous, histoire de faire croire qu'ils ont fait des études et ont de l'expérience, ou par des idéologues qui militent pour les droits des sans papiers, des femmes isolées, sans remarquer qu'ils méprisent banalement, quotidiennement, "normalement", des parents autochtones en difficulté dont ils aggravent le désarroi... Avez-vous déjà vu un avocat "spécialiste des droits des enfants" dire que cela suffisait, ce "jeu", cette "comédie" et dire à un parent: "je ne vous prends pas d'argent, au contraire, j'en ai bien trop, je vous en donner, et surtout vous conseiller de chercher un lieu de médiation sans risque de faire des affaires sur votre dos"? Non. En ce moment, la nouvelle noblesse de robe prépare une villégiature dans un bateau de luxe pour une petite croisière à Saint Malo, avec l'argent des citoyens transformés artificiellement en justiciables comme hier les nobles transformaient les pauvres en serfs. Mais chut: pas de politique, pas de morale, pas d'alternative sociale: rien que du droit, et tête courbée, s'il vous plait. Laissons nos bons maitres se distraire de toutes les misères qu'ils secourent, dans leur chasse à courre et à cour et payons leur notre dîme, leurs honoraires!
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Raditja Alp . Le Dimanche 18 juin 2017 10:00
Merci pour votre combat et témoignage de ce qu'est la justice. Ces hommes femmes aux pouvoirs ont détruit la Nation et continue de le faire en toute impunités. Des briseurs de vie privé et professionnels. Je suis une mère en colère
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