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Le Gwenn ha du a été hissé le jeudi 17 décembre à 11h (Photo d’Etienne).
- Dépêche -
Le Gwenn ha Du flotte devant la mairie de Nantes
Après tant d’années de promesses d’élus non tenues, d’une première promesse de la maire Johanna Rolland en 2014, de nombreux sondages favorables à la réunification depuis 50 ans...
Par Philippe Argouarch pour ABP le 18/12/20 9:43

Après tant d’années de promesses d’élus non tenues, d’une première promesse de la maire Johanna Rolland en 2014, de nombreux sondages favorables à la réunification depuis 50 ans, du militantisme et du lobbying, en particulier de l’association Bretagne Réunie, d’une pétition rassemblant 105 000 signatures pour une consultation en Loire-Atlantique et grâce à l’élargissement de la base électorale vers EELV-les Verts de la maire PS, élue avec une participation de seulement 38% des électeurs inscrits au premier tour (*), grâce aussi à l’écologiste Florian Le Teuff, 13e adjoint en charge des « enjeux bretons » et grâce aussi aux élus UDBistes au sein de la mairie dès 2014, qui avaient négocié à nouveau l'accrochage du drapeau dès le premier tour de l’élection municipale de 2020, le drapeau breton a finalement été hissé devant la mairie de Nantes.

Plus de 35 mairies de Loire-Atlantique arborent le Gwenn-ha-Du à leurs frontons, parmi lesquelles Assérac, Batz-sur-Mer, La Baule-Escoublac, Le Pouliguen, Blain, Bouvron, Campbon, Châteaubriant, La Chevallerais, Conquereuil, Couëron, Donges, Erbray, Fay-de-Bretagne, Fégréac, Guérande, Le Gâvre, Guémené-Penfao, Guérande, Herbignac, Indre, Jans, Juigné-des-Moutiers, Massérac, Mouais, Piriac-sur-Mer, Plessé, Pontchâteau, Pornic, Pornichet, Rouans, Saint-Herblain, Saint-Jean-de-Boiseau, Saint-Herblain, Sant-Joachim, Saint-Sébastien-sur-Loire, Savenay, Treffieux, Trignac…

(*) Au 2nd tour la participation ne fut que de 31%. Si on enlève les 4% de bulletins blancs ou nuls, on arrive à 27%. Elue avec 59% des votants, elle ne représente donc en fait que 16% des inscrits sur les listes électorales et ceci sans même parler des 15 à 20% de citoyens qui ne sont même pas inscrits sur la liste électorale.

logo Philippe Argouarch est un reporter multi-média ABP pour la Cornouaille. Il a lancé ABP en octobre 2003. Auparavant, il a été le webmaster de l'International Herald Tribune à Paris et avant ça, un des trois webmasters de la Wells Fargo Bank à San Francisco. Il a aussi travaillé dans des start-up et dans un laboratoire de recherche de l'université de Stanford.
Vos 15 commentaires
Naon-e-dad Le Vendredi 18 décembre 2020 11:24
A benn ar fin!
Poent e oa!
Enfin!
Il était temps!
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Muichka Le Vendredi 18 décembre 2020 12:51
Kregiñ a ra ur stourm nevez.
Ouzh ar kendeuzadur, ouzh ar referendum, met evit ar guzuliadenn evit an adunanidigezh. Pe ket : an adunanidigezh hep goulenn.
Un nouveau combat commence. Contre la fusion, contre le référendum, mais pour une consultation pour la réunification. OU pas : une consultation d'office
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sparfell Le Vendredi 18 décembre 2020 12:59
Diwallomp mat d'ar c'haouerien (Rolland, Grosvalet hag all), diwallomp mat, tudoù N'eo ket echu c'hoazh,siwazh
Faisons très attention aux menteurs (Rolland, Grosvalet et le autres), faisons très attention Ce n'est pas encore fini, hélas!
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Franck Le Samedi 19 décembre 2020 01:50
Merci de donner des précisions sur les résultats des municipales. En allant plus loin : au second tour si 16% pour l'alliance PS et EELV c'est à peine 10% .pour le le PS-Johanna Rolland Ceci dit le nombre d'abstentionnistes est inquiétant.
Remarque : un tel Conseil Municipal peut-il prendre des décisions 1- sur un projet aussi important que la Réunification 2- Alors qu'il représente- tous les partis confondus - moins de 30% des électeurs.
-Réunification - Pétition- Consultation - Oui Consultation, par prudence, pour préserver l'avenir. La Maire de Nantes n'a pas donné son avis sur la Réunification, pas plus sur le référendum et ses limites.
Ci-dessous ses déclarations -mot pour mot - très prudentes à Ouest-France le 17 décembre après la mise en place du Gwenn ha Du :
" J'ai pris un engagement devant les Nantais et les Nantaises. Et les engagements ont pour vocation à être tenus. C'est vrai pour le drapeau. Et ce sera vrai pour le vœu.
Puisque en effet nous présenterons, et je souhaite que ce soit au cours de l'année 2021, un vœu au conseil municipal pour demander un référendum sur le sujet.
Vous savez, moi je suis profondément attachée à la question démocratique, je suis profondément attachée à la question du dialogue citoyen.
Vous savez qu'une pétition avait été réalisée et qu'elle recueillait de très nombreuses signatures. Et moi je crois, quand il y a une expression citoyenne sur un sujet, et bien elle doit avoir un débouché, un débouché politique. Donc oui, je vous confie ce matin qu'au cours de l'année 2021, nous déposerons un vœu dans ce sens. Et à cette occasion, j'aurais l'occasion de vous en dire plus."
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Eric Duguet Le Samedi 19 décembre 2020 22:34
Triste jour. L’identité supplante l’égalité avec le concours des écologistes, et la collaboration des arrivistes de tout poil. C’est un affront à tous les ligériens indépendants, c’est une honte.
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Dan Le Dimanche 20 décembre 2020 07:13
Il y a deux manières de consulter les électeurs : une consultation dite aussi consultation locale et un référendum dit référendum décisionnaire. (plusieurs types de référendum décisionnaires existent).
La pétition des 105 000 de Bretagne Réunie demandait une consultation locale - loi de 2004 art. L1112-15 et suivants- Une consultation locale est une initiative qui permet à une collectivité territoriale, ici le CD 44, de consulter ses électeurs sur les décisions relevant de sa compétence
Les électeurs eux-mêmes peuvent être à l’initiative d’une demande de consultation locale. Cas donc de la pétition citée plus haut.
La décision d' organiser cette consultation revenait au CD 44 (art. L1112-16)
Le CD44 aurait pu organiser cette consultation locale, base très intéressante pour connaître l'avis des électeurs du 44. Il a refusé. Il n'est cependant pas hors la Loi.
Là où le bât blesse, c'est que le groupe socialiste majoritaire au CD 44, a présenté et fait voter, à la place, un vœu à l'ensemble des élus du CD44 pour demander un référendum local au Gouvernement. Tout en sachant que le Gouvernement ne pouvait pas l'engager. / Attitude pas vraiment en l' honneur des élus du CD44. Même si on sait que son Président est partisan d'une fusion des 2 Régions PDL et Bretagne.
Et en effet, le Gouvernement refuse depuis 2 ans d'organiser un référendum décisionnaire. Pourquoi ?
Parce que actuellement, pour qu'un département- ici le 44- change légalement de Région :
Il faut en 1er lieu que les 2 conseils Régionaux PDL et Bretagne ainsi que le CD 44 soient d'accord
En 2ème lieu, il faut une consultation du type référendum décisionnaire local concernant les électeurs des PDL et de Bretagne, et obtenir la majorité absolue des suffrages exprimés – Il sera en plus fait attention à ce que la population d'une Région -ou d'un département - moins peuplée ne se voit pas infliger, contre son gré, un projet concernant son territoire.
En 3ème lieu la décision est prise par décret par l'Etat
Lourdes contraintes. Il faut trouver une autre solution. Proposer une loi? Modifier la Loi de 2010 ?
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Franck Le Dimanche 20 décembre 2020 07:31
Tout à fait monsieur Duguet. Et je vous fais confiance pour réparer ces inégalités. Mettre la Sarthe au bord de la mer, le port de Saint-Nazaire à Laval, les salines de Guérande à Angers. Bon courage.
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Anne Merrien Le Dimanche 20 décembre 2020 16:40
Le CD44 avait le droit de refuser d'organiser la consultation demandée par la pétition de Bretagne Réunie. Le problème, c'est qu'il n'a même pas assumé ce refus, en omettant d'inscrire cette question-là à l'ordre du jour, ce qui était pourtant une obligation légale. Et il a fait diversion en écrivant à l'Exécutif une requête impossible.
Les PdlL auraient-ils eu le droit d'empêcher le Parlement de réexaminer le cas du 44? Sans doute que non, car il y aurait eu ingérence dans les affaires du 44 et dans les affaires du Parlement. Seul maître du découpage régional, le Parlement peut passer outre l'avis de la B4, des PdlL ou du 44, que ces avis viennent des élus ou de consultations de la population.
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Dan Le Lundi 21 décembre 2020 10:27
A Anne Merrien -
En fait, on ne peut pas reprocher au CD 44 de ne pas avoir mis la consultation à l'ordre du jour. Ayant suivi les délibérations dans un local proche de la salle de réunion, les mots consultation et référendum me sont restés en mémoire. Confirmation de ces souvenirs en parcourant le procès-verbal.
En préambule il est dit « Le groupe, à l’unanimité, vous demande ( Président) d’inscrire à l’ordre du jour l’organisation d’une consultation citoyenne en rapport avec la demande des pétitionnaires »
Longs débats sur ce sujet, les mots consultation et référendum reviennent souvent. Et le Voeu exprime le refus de la consultation. 
Cependant les dés étaient pipés d'avance : le Vœu pour un référendum était préparé. Dès le début il fut facile de comprendre le choix du Président et de son groupe majoritaire. Pour eux La fusion des 2 Régions est la solution. Et il fallait éviter la consultation locale qui pouvait relancer une action militante.
Il y a cependant des motifs d'espérer des changement d'élus locaux, ou des comportements nouveaux devant la nécessité d'une alliance avec EELV. Les présidentielles ne sont pas loin. Les mentalités évoluent. Des opportunités vont s'ouvrir.
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Lucien Le Mahre Le Lundi 21 décembre 2020 11:43
Combien vous dites ? C’est pas possible : 105 000 signatures ? Mais c’est du 10 % de l’électorat ! Hou là ! En plus, avec les participations qu’on a … Et puis toutes ces communes irrédentistes qui risquent de se propager comme le virus du Covid !
Il faut faire kêk chose !
Un drapeau hissé au fronton de la mairie, un voeu pieu, deux trois bricoles … Oui je sais, on est d’accord, mais que voulez-vous, ça ne mange pas de pain et ça les calmera un moment, faut espérer.
La confiance - enfin : le sentiment de confiance - cela s’organise, cela se travaille, cela se pétrit comme de la bonne pâte chez nos politiques. Les exemples ne manquent pas.
A Nantes on se souvient toujours de de Rugy n’est-ce pas ? Bel exemple du genre, tenez ! Au départ, le Bon Dieu sans confession. Tant qu’on est élu écolo du coin, on est pour le retour de la LA au bercail, pour la RE-U-NI-FI-CA-TION ! De la Bretagne bien sûr, cela parait évident mais il vaut mieux le souligner pour la suite.
Après : promotion, on passe au PS. Là, il vaut mieux la mettre en veilleuse.
D’ailleurs c’est en étant compréhensif qu’on obtient de l’avancement et en repassant toujours par pure conviction mais cette fois à LREM, bingo, les faveurs les plus insignes de la République : Président de l’AS, fonction ministérielle …
L’ascenseur social, et carrément boosté version TGV.
Jusqu’au homard. Qu’en plus il déteste, jure-t’il ! ( fait d’ailleurs rarissime qu’il importe de signaler au Guinness des records, mais allons au fait ).
Pour remonter la pente après la quarantaine de décontamination médiatique de rigueur, on accepte alors des missions plus sportives. La dernière en date étant de postuler comme tête de liste à la Présidence du Conseil des PdL., ce qu’on ne peut évidemment faire qu’en revenant sur son engagement d’origine en faveur de la Bretagne.
Reniement ? Avalement de cravate à sec ? Conversion miraculeuse ?
Non Monsieur, pas le moins du monde. Il a toujours été et il est toujours en faveur de la Réunification.
Avec un grand R. Combien de fois faudra-t’il le dire ? Cette fois c’est pour les PdL, c’est tout, mais le principe reste le même. Pourquoi se focaliser sur ce détail sinon pour nuire ?
C’est pas une vie possible : quoiqu’on fasse, on est toujours critiqué !
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Léon-Paul Creton Le Lundi 21 décembre 2020 12:27
BRETONS, BRETAGNE sont-ils encore?
Est-elle une COMMUNAUTÉ cette BRETAGNE d’aujourd’hui, avec ses « Bretons » ??? Encore ?
Sommes-nous susceptibles de réels combats menés en commun ? Comment percevons-nous nos relations, nos solidarités, nos projets d’avenir ? Si nous pouvons encore en penser construire dans un grand sentiment d’appartenance commune ? Sommes-nous inspirés par des attaches, des émotions, une Culture un culte et des données ethniques venues de tant de siècles dans passé ? De quelles capacités d’abnégation sommes-nous encore dépositaires , et/ou de volonté, de reconnaissance mutuelle des éléments constitutifs qui puissent définir notre bretonnité, afin de recréer Une NOUVELLE BRETAGNE pour un destin voulu et commun?
La langue ? À mon avis, mais je me trompe sans doute pour certains de ceux qui daigneront lire ce commentaire, aucune nation, aucune communauté ne s’est créée au fil de siècles et millénaires par une langue sortie de nulle part ! Au cinéma peut-être mais leur "sens et signifiance" est défini par une autre langue, en l’occurrence et principalement celle que l'on dit anglaise. Pas plus que l’on en reconstruit une (pour qui?) avec seulement une langue sortie de nulle part, pas plus l'on ne reconstruit une langue sur des réminiscences linguistiques peu utilisées, variables et/ou en partie plus oubliées de Peuples/populations anciens, colonisés déculturé et rendus ignorants de leurs passés comme le sont globalement les Bretons …de souche , sans une détermination politique farouche et une adhésion forte, nombreuse du peuple que l'on veut ré-instruire, ré-développer, ré-éduquer de son propre héritage! Mais il faut certainement suscité chez lui d'autres raisons d'être fier de cet héritage que celles dont on lui sert, le gave par médias interposés et qui font barrière et vident toujours davantage.
Aucune langue n’a jamais été suspendue et flottante, dans l’espace, dans l’éther, attendant une structure humaine qui s’en empare ! Les structurations et relations humaines, les œuvres plus ou moins élaborées par l’Homme sont impensables, sont impossibles sans une forme de communication, sans un langage, une langue !
Mais que reste-t-il alors d’une communauté bretonne contemporaine qui ne semble plus intéressé par sa langue antique et son évolution et apprentissage? Mais alors en quoi le Peuple Breton existe-t-il encore ? Conscient de solidaire de confraternel ?
Depuis longtemps personnellement je m’interroge sur les liens multiples nés de vies communes qui ont créé communautés et nations homogènes, d’entraide, de liens affectifs et sociaux, qui seraient partagés avec chaque compatriote « breton ». Avoir en soi, en commun,les sentiments d’appartenance de diverses sources structurant une COMMUNAUTÉ des BRETONS dans un monde où l'on s'échine, fait croire, trompe et qui sans doute ne sera jamais une grande « entité » homogène sur bien des plans, avant un très très très long temps, peut-être au terme de temps qui seront chargés de bien de drames, de guerres de toutes natures et de « tribulation …incessantes!
La langue donc, moribonde et délaissée, des croyances religieuses jetées à la poubelles, des mœurs uniformisés, et toujours que et quasiment seulement la langue bretonne (puisque que s’est la nôtre) qui est mise en avant ? Il me semble que les langues n’étant pas préexistantes, aux peuples qui les ont créées et développées, pour la faire renaître celle qu'on assassine, il faut donc faire renaître au préalable son peuple héritier !
Le Pavillon/Drapeau, la Bannière bretonne.
Se contenter de peu, vibrer davantage pour le seul Gwenn ha Du traînant sa petite existence depuis un siècle seulement, trimballé de stades en manifs souvent les pires, en plaques d’immatriculation des bagnoles, plutôt que pour le Kroazh Du ancestral donne beaucoup à réfléchir du sentiment breton et de la connaissance de l'Histoire de la BRETAGNE imprégnant le peuple. Au moins le pavillon ancien est préservé. Passer de ce « Croix Noire » au G ha D fusiller la « croix » était-ce la volonté, l’objectif de ceux qui ont réussi a relativement l’imposer comme bannière « nationale »? Pour quel projet ce G ha D? Effacer le passé? Honte de ce passé? Unifier sur un nouveau symbole? Est-ce une réussite pour un autre projet que ceux auxquels sert ce G ha D et qui n'a eu quasiment aucun "bon" effet, comme d'habitude?
L’hébreu est « re-né » parce que son « peuple substrat nourricier » était fort et toujours conscient de lui-même. Attitude millénaire due à la trame unificatrice, solide de sa religion particulière et de sa Bible religieuse et chroniqueuse historique qui ancre toujours ses solidarités, sa croyance, et ses convictions en son destin auquel il est fermement attaché! Qu’importe ou là ou ce peuple se trouvait séparé, divisé, disséminé, honni, massacré… mais aujourd’hui malgré les siècles Israël vit « LIBRE » et rayonne…au soleil. Pas la BRETAGNE !!!
Parler de la langue, du drapeau, de la politique bretonne et de « sa » police, , de « sa » culture, de « ses » cultes de son économie, nécessite des BRETONS pour la BRETAGNE ! Il faut faire renaître ce peuple avant tout autre discours, toute promesse et toute corne d’abondance des illusions !
Un Gwenn ha Du flottant sur la mairie de Nantes ne fera pas « un printemps breton » !!! Mais
Il rempli la fonction dans laquelle « on » l’a cantonné depuis sa confection, et est utilisé par des Bretons ainsi qu’opportunément, par Mme Rolland !
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Kerbarh Le Lundi 21 décembre 2020 21:34
L’identité républicaine française ne doit pas chasser ni tuer l’identité bretonne. C’est une question d’égalité.
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Anne Merrien Le Lundi 21 décembre 2020 21:51
Voici ce qui aurait dû se passer :
- Obligation légale : le CD44 aurait inscrit à son ordre du jour le motif exact de la pétition (organiser une consultation sur le 44 au sujet de la réunification B5), puis après débat, aurait voté non.
- Ensuite, le CD44 était libre d'ajouter une autre question à son ordre du jour (émettre le voeu d'un référendum sur le grand ouest).
Comment ne pas voir la grande différence entre les deux propositions?
organiser/demander l'organisation, consultation/référendum, 44 / B4+PdlL, réunification/fusion et légal/anticonstitutionnel
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Dan Le Mardi 22 décembre 2020 02:07
Beau texte  et une réflexion et un questionnement de fond. Qui pourrait faire l'objet d'un article à ABP. Je me permets d'en faire une piètre synthèse... A modifier certainement.
Un constat : le peuple de Bretagne : peuple colonisé, déculturé, rendu ignorant de son passé
Le questionnement : Comment être fier de son héritage qui est autre que celui dont on lui sert, le gave par médias interposés et qui font barrière et vident toujours davantage ?
Comment mener de Réels combats, en commun ? Pour avoir un sentiment d’appartenance commune. Pour Recréer Une NOUVELLE BRETAGNE pour un destin voulu et commun?
Comment faire renaître ce peuple avant tout autre discours, toute promesse et toute corne d’abondance des illusions !
Quelles solutions ? Parler de la langue, du drapeau, de la politique bretonne et de « sa » police, , de « sa » culture, de « ses » cultes de son économie : cela suffit-il ? Cela nécessite des BRETONS pour la BRETAGNE !
Est-ce se contenter de peu, de vibrer davantage pour le seul Gwenn ha Du traînant sa petite existence depuis un siècle seulement, plutôt que pour le Kroazh Du ancestral... Unifier sur un nouveau symbole?
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Kerbarh Le Dimanche 27 décembre 2020 15:24
L’identité républicaine française ne doit pas chasser ni tuer l’identité bretonne. C’est une question d’égalité.
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