Après des échanges constructifs entre les nombreuses personnes présentes, il a été décidé que le format "revue d'études" serait adopté avec une parution trimestrielle.
Le 19 octobre 2024, une Assemblée Générale Extraordinaire de l'entreprise E.B.B., responsable de la publication de L'Avenir de la Bretagne, a eu lieu à Guingamp. L'objet principal de cette assemblée était d'envisager une refonte complète de notre journal pour garantir sa pérennité. Il convient de rappeler que ce périodique a été créé en 1958 dans le but précis de défendre et promouvoir les intérêts et les aspirations du peuple breton au sein du contexte européen, en suivant une philosophie fédéraliste, c'est-à-dire axée principalement sur la démocratie locale.
Après des échanges constructifs entre les nombreuses personnes présentes, il a été décidé que le format "revue d'études" serait adopté avec une parution trimestrielle. Chaque numéro se concentrera sur un thème particulier. En plus d'une nouvelle mise en page et d'un nouveau design, une équipe élargie a également été mise en place. Le but est de faire de cette revue un espace d'échange et de débat qui répond davantage aux préoccupations actuelles et aux aspirations futures de nos compatriotes, sans jamais renoncer à ses racines historiques. A noter également qu'un effort particulier sera porté sur l'inclusion d'articles en langue bretonne.
Pour que le journal continue à prospérer, votre contribution est indispensable. Nous vous invitons donc à nous envoyer vos articles ou idées, en breton ou en français, par email à idbe.gwp at gmail point com
Le thème de notre première publication nouvelle formule sera : "La démocratie de proximité". Pour le second trimestre, nous aborderons "La langue bretonne", tandis que le numéro du troisième trimestre se concentrera sur "Le monde maritime, infrastructure" et enfin, pour le dernier numéro de l'année, nous traiterons du "logement et l'habitat en Bretagne".
Votre journal existe grâce à votre soutien depuis 1958. Il est crucial de ne pas oublier de vous abonner et d'offrir des abonnements comme cadeaux à vos proches. Nous vous proposons quatre formules d'abonnement : Abonnement bienfaiteur (50€ ou plus), Abonnement diffusion* (3ex pour 30€), Abonnement normal (20€) et Abonnement numérique (12€).
Pour souscrire à un abonnement, veuillez envoyer vos noms, prénoms, adresses postale et mail sur papier libre ainsi qu'un chèque ou virement (nous contacter pour les détails) à L'Avenir de la Bretagne, 16, rue de la Madeleine 22200 Guingamp tél : 0681875463. Merci.
*Un abonnement diffusion est une excellente manière de faire connaître le journal à vos amis. Vous recevrez trois exemplaires à chaque parution, un pour vous et deux pour offrir.
Le comité de rédaction
Documents liés
-
71413-articlepresse
IDBE
Commentaires (12)
( 1 ) - La proportionnelle, et ses tares, existe déjà pour les élections régionales. Elle va à deux tours. Mais elle est immédiatement torpillée. La liste arrivée en tête obtient la moitié des sièges ! L'autre moitié est proportionnellement répartie. Sauf qu'il n'y a là rien de démocratique, on obtient, paraît-il, ainsi une stabilité des Majorités. Elle serait aisément obtenue avec un scrutin à un seul tour offrant un choix clair aux électeurs.
( 2 ) - Le referendum qui, en principe, nie le jeu normal des Majorités élues dans les institutions, par démagogie fait voter voter les gens non sur la question posée - quelle enjeu formulé comment et quand ? - mais sur celui qui la pose. C'est ce que démontre la Science politique. Il s'agit le plus souvent d'une manipulation politicienne.
( 3 ) - L'État doit, en principe, être représenté par un haut personnage dans des régions autonomes. Faire le geste symbolique de les remplacer par une "commission mixte" accorderait encore au plus puissant le moyen d'imposer ses choix et, parfois, les caprices d'un gouvernement. Plus cohérente serait la suppression des co-financements consécutive à l'instauration des indispensables autonomies.
AV
Dans leur essence et modalités, les referenda réalisés là où vous dites n'ont rien de commun avec ceux qui sont effectués en France. "Votations" base de la démocratie directe et "referenda" sont hétérogènes.
Le 49-3 n'est pas la dictature mais permet de répondre à la question de savoir si une autre Majorité existerait pour soutenir un autre gouvernement menant une autre politique.
Avant d'évoquer "la VIe république", encore faudrait-il commencer à correctement faire fonctionner la Ve ! Avant l'instauration de l'élection du Pt au suffrage universel direct (par et pour De Gaulle), elle était parlementaire. C'est ici qu'est le vrai mal français. Il confond abusivement État et gouvernement qui "détermine et conduit la politique de la nation", soutenu par une Majorité parlementaire.
AV
Ce résultat ne plaisait pas aux petits hommes gris qui se sont permis d'alerter un tribunal administratif afin d'éliminer ce vote car - soi-disant - le périmètre 44 n'était pas suffisant. C'était Paris qui avait décidé pourtant.
S'il y avait eu 55 % de non à NDDL, il n'y aurait eu de recours à un tribunal administratif...
Je fais partie des 105 000 signataires à l'initiative de Bretagne Réunie. Aurons- nous un référendum dans le pays nantais ? Heureux Suisses avec leurs votations. Rien ne vaut le contact local et la discussion avec les candidats de notre circonscription. Par expérience, les partis extrêmes sont indécrottables.
Reste deux inconvénients: le renforcement du poids des partis et l'absence de représentation des territoires. Le système législatif allemand semble avoir résolu ces problèmes.
Les scrutins de listes ,y compris pour les plus petites communes me parait dangereux aussi pour cela et pour cliver les électeurs.
La parité si elle est une bonne idée ,va compliquer les prochaines élections..déjà que motiver des candidats maires sera difficile.
Cela ouvre la porte à la surpuissance des préfets ,sous préfets.
financièrement, je ne peux soutenir toutes les publications car je soutiens des financements de tracts ou flyer localement à Saint Nazaire et le film documentaire les Gamins de Saint Nazaire 454/62.
Soit dit en passant, c'est usant de lire que Napoléon a créé les lycées, les préfectures, etc. Pour les lycées, il lui a fallu choisir entrre le modèle des collèges oratoriens et celui des collèges jésuites : nos lycées ont plaqué le modèle des jésuites ! Quant aux préfets de région et préfets tout court, ce sont les héritiers directs des intendants et de leurs subdélégués...