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- Dépêche -
La reconquête de l'eau des rias par les éleveurs de bovins
Grâce à un travail en commun mené par agriculteurs et élus, les choses avancent
Fanny Chauffin pour ABP le 14/07/12 10:21
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Réalisation :

Grâce à un travail en commun mené par agriculteurs et élus, les choses avancent

Loeiz Berre a expérimenté un nouveau système pour abreuver son troupeau : des abreuvoirs automatiques qui permettent de donner un demi-litre d'eau à chaque fois qu'une vache pousse avec son museau la petite machine installée. Grâce à cela, plus de déjection dans la rivière et une eau plus propre. Quand on sait que les huîtres de Belon sont en danger et les ostréiculteurs extrêmement inquiets, on ne peut que féliciter ce genre d'entreprise et le travail mené par la communauté de communes (la COCOPAQ) pour informer ses lecteurs par des vidéos explicatives (voir film).

Voir aussi :
Youtubeuse, docteure d'Etat en breton-celtique à l'Université Rennes 2 / Haute Bretagne, enseignante, militante des droits humains à Cent pour un toit Pays de Quimperlé, des langues de Bretagne avec Diwan, Aita, GBB, ...., féministe, enseignante, vidéaste, réalisatrice, conteuse, chanteuse, comédienne amateure, responsable depuis vingt ans du concours de haikus de Taol Kurun, des prix littéraires Priz ar Vugale et Priz ar Yaouankiz, ...
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Vos 1 commentaires
Naon-e-dad Le Lundi 16 juillet 2012 19:23

Les explications ci-dessus ont dû laisser perplexe plus d'un lecteur.
La clef de l'assainissement réside dans la suppression des points d’accès au cours d'eau par le bétail.
C’est alors que les abreuvoirs automatiques rentrent en jeu, à condition qu’ils soient placés suffisamment loin des rives du réseau hydrographique naturel. Le but est d’éviter que les bouses bovines ne polluent directement les cours d’eau. Tout cela est bien expliqué dans l’interview de M. Jambou (pdf téléchargeable sur le site de la COCOPAQ : www.cocopaq.com/Environnement/Milieux-naturels/Aven-Belon-Merrien)
Remarque : de petits modèles d’abreuvoir utilisant ce principe fonctionnent depuis des lustres dans les étables bretonnes, quand les troupeaux sont à l’étable en hiver. Où l’on voit qu’il faut parfois du temps, un espace d’écoute et de rencontre, et aussi une incitation financière, pour étendre le champ d’application d’une idée déjà opérationnelle dans un autre contexte.
Evit echuiñ, spi braz am eus ne ran ket gant “galleg-saout” ! Spi brazoc’h am befe d’ober gant “brezhoneg flour”! Evit gwir, lâret e vez ar c’hontrol-mik en hon yezh: galleg-flour ha brezhoneg-saout, hervez kont. Labour zo d’ober c’hoazh evit ma cheñcho spered an dud…! / J’espère que mon français est de qualité, j’aimerais aussi que mon breton le soit tout autant. Pour les non-bretonnants, je fais ici allusion à deux expressions typiquement bretonnes.
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