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La France viole la Convention Internationale des Droits des Enfants
La France viole la Convention Internationale des Droits des Enfants
- Communiqué de presse -
La mort dans l'âme
En moins de trois ans, trois jeunes hommes ont commis dans ce coin de l’Europe des meurtres atroces, meurtres que la presse et le monde judiciaire ont aussitôt catalogué comme
Par Pascal Dazin pour alphabet du respect des enfants le 5/06/14 17:51

En moins de trois ans, trois jeunes hommes ont commis dans ce coin de l'Europe des meurtres atroces, meurtres que la presse et le monde judiciaire ont aussitôt catalogué comme étant des « crimes racistes, antisémites, nazis et terroristes intégristes, perpétrés par des loups solitaires » . Fermez le ban, et cherchez l'ennemi à l'autre bout du monde ou dans le passé d'avant la défaite objective et définitive du national socialisme allemand.

Juillet 2011 : Anders Behring Breivik a assassiné et blessé plus de deux cents jeunes victimes membres d'un parti de gauche en Norvège.

Mars 2012 :Mohamed Mehra s'est défoulé à Toulouse et Montauban sur des enfants juifs et des militaires.

Mai 2014 : Mehdi Nemmouche a assassiné autant de gens qu'il a pu dans un musée juif en Belgique.

Le point commun de ces pervers déjantés assoiffés de vengeance symbolique contre des bouc-émissaires n'est pourtant pas seulement leur haine, nostalgie d'un passé révolu, leur fascination de type « Taxi Driver » pour la violence armée, leur rupture avec les valeurs fondamentales de la vie civilisée. Il convient d'ailleurs de noter la faiblesse absolue, l'incohérence, de leurs argumentaires qu'ils construisent artificiellement pour se donner une apparence cohérente : c'est le mécanisme du grand pervers, c'est le fonctionnement de tous les grands criminels.

Le point qui les relie historiquement, qui explique la lente déstructuration de leur limites morales aboutissant à ce viol théâtralisé et insupportable, c'est leur enfance, dont personne ne parle, et pour cause, puisque dès lors, ce ne serait plus les Syriens ou le fantôme d'Hitler qu'il faudrait mettre en examen, mais nos institutions dévoyées, intrusives, manipulatrices, non civilisées et d'ailleurs non constitutionnelles en France.

Le premier de ces grands salauds a été « mono parentalisé » très tôt, son père allant »refaire sa vie » dans le sud de la France après avoir été discriminé judiciairement. Quand son fils a commis ses crimes, la presse communiqua qu'il le reniait et que le procureur local avait ordonné qu'il soit protégé, on ne sait trop pourquoi, d'ailleurs…

Le second a été élevé « par la DDASS » , comme on pourrait dire « sous la mère » dans un élevage. Il a parfaitement intégré le mécanisme de fonctionnement des psys agréés, des avocats, des juges pour enfants puis de correctionnelle. Il a appris très tôt à manipuler ces institutions et à collaborer avec elles. Ce n'est pas dans un pays lointain qu'il est devenu tueur : il a entièrement construit sa personnalité en France.

Le troisième, enfant lui aussi sans père, faisait son droit, ainsi que le rappelle une avocate antérieure qui le défendait quand il était gentil, c'est-à-dire quand il commettait des braquages. Ce serait en prison qu'il se serait « radicalisé » comme ils disent, et en Syrie que l'on plaide dans les lieux de communication qu''il aurait reçu l'illumination de sa nature perverse…Il avait lui aussi, tout comme Mehra, fréquenté les « éducs-spés » , les avocats et les juges depuis son adolescence, mais tout se passe pour nos communicants comme si sa vie avait commencé vers 20 ans. Black-out sur le passé, négationnisme grossier de ce qui fait qu'un homme se construit dans son enfance, négationnisme total sur l'amputation familiale et les ersatz institutionnels ( typiquement français, pas du tout nazis ni syriens ni intégristes du bout du monde !)

La grossièreté d'analyse de la montée des comportements hétéro-agressifs de garçons frustrés est tout-à-fait symptomatique de notre obscurantisme idéologique actuel. Outre que l'on ne parle pas de la grande détresse des garçons dont la nature les porte à souffrir plus qu'à faire souffrir quand leur famille est décomposée normalement par l'appareil judiciaire illégal français dont le principal des revenus es à présent issu de l'exploitation familiale, on nous fait croire que ces jeunes n'ont pas eu d'enfance, et plus précisément qu'il n'y avait rien à voir ni à considérer durant leur enfance qui peut expliquer leurs itinéraires criminels !

Ce ne serait donc pas en France qu'il faudrait chercher pourquoi des jeunes français deviennent des bêtes à tuer, mais en Syrie d'aujourd'hui ou en Allemagne d'avant-hier ? La faute aux autres, en quelque sorte, comme dans toute démarche perverse paranoïde et mégalomane…Exactement comme le font ces tueurs déjantés !

Il ne faut pas dire que les jeunes n'ont plus aucun idéal en France, ont été meurtris par nos propres fanatismes judiciarisés, et peuvent dès lors se réfugier derrière l'alibi de tout fanatisme alternatif. Il ne faut pas le dire parce que ce serait mettre les pieds dans le plat, remettre la parole des procureurs, des juges et des avocats autant en question ici que celle des ayatollahs là-bas, ne serait-ce que par cette fameuse « équité » qu'on invoque à tous propos sauf celui-ci.

Il ne faut pas dire qu'il y a des centaines de milliers de jeunes hommes français qui ont eu une enfance brisée par violences institutionnelles après capture parentale judiciaire aussi cynique qu'illégale, qui ont été humiliés parce que leurs pères l'étaient, la majorité de ces enfants souffrant en silence en conservant des séquelles, et une minorité , loin d'être cependant négligeable, étant rendue furieuse comme entre autres ces trois criminels. En effet, faisant écho deux décennies après le même type de catastrophe identitaire infantile programmée par nos institutions devenues passionnelles et perverses, c'est au cas par cas, dans l'isolement, dans la rupture des solidarités les plus fondamentales, que se sont sournoisement formées un peuple de jeunes hommes névrosés, se méprisant eux-mêmes, et que des milliers d'autres, souvent désinhibés par des années de conditionnement psycho judiciaire et psychothérapeutique à la française, ont cultivé leur haine, au risque pourtant médicalement très connu de déboucher sur ce type d'explosions de narcissisme pervers à coup de pseudo bouffées délirantes criminelles.

Il ne faut pas dire que le pire est à venir, quelles que seront les lois répressives qui seront imaginées par celles et ceux qui ont précisément construit ici même et pas au bout du monde cette nouvelle boite de Pandore.

La montée du nazisme s'explique entre autres par la frustration des allemands dans les années 1920. C e sont les pires d'entre eux, y compris le führer Adolph Hitler, qui inventèrent de bric et de broc les thèses nazies, incohérentes en diable, mais qui s'enracinèrent suffisamment dans une population au narcissisme blessé pour produire un courant politique quant à lui très organisé et féconder le ventre de la Bête humaine.

A ce jour, le nazisme est mort, bel et bien mort. Alors vive le légazisme, cette perversité institutionnelle transcendant les partis politiques pour mieux se cacher, mais ayant comme but de donner de la chair à affaires aux exploitants judiciaires, qui s'attaquant à l'intime de l'homme sous prétexte de droits. Aussi méthodiquement qu' immoralement, au coup par coup à des millions d'exemples normalisés par la jurisprudence, on a pris le risque de construire de nouveaux monstres, tous isolés cette fois-ci, mais tous aliénés, puisqu' ayant tous subi plus qu'analysée la même barbarie judiciaire française. Ces blessés graves, ces enfants de la néo-exploitation de l'homme par l'homme sous prétexte de droits, se réfugient forcément eux aussi derrière des pseudo-doctrines pour tenter de s'expliquer à eux-mêmes l'explosion de haine antisociale qu'ils incarnent, dont ils accouchent dans le sang des autres, celle qui les habite en dénominateur-détonateur commun depuis leurs enfances traumatisantes respectives.

Faut-il que notre siècle soit sombre pour qu'on n'entende ce type de considérations si simplement logiques dans aucun média, faut il qu'il soit étouffant pour qu'aucun psy « agréé » ou pas ne lève le petit doigt pour avancer que le vécu dans l'enfance compte peut-être un tout petit peu pour expliquer les comportements adultes, pour qu'aucun juge pourtant mouillé jusqu'au haut de sa robe dans toutes ces histoires d'enfances exploitées par la DDASS et les cabinets d'avocats ne se rappelle qu'il avait rencontré cinq fois, dix fois, cent fois les enfants meurtris devenus des taureaux tueurs , et qu'aucun journaliste n'ose déplaire à son pool juridique en reconnaissant que nous avez instillé, par fanatisme judiciaire typiquement occidental, la mort dans l'âme de gamins privés congénitaux d'identité et de morale civilisées.

Pascal Dazin, président de l'Alphabet du Respect des Enfants

Voir aussi :
pas de code
Vos 5 commentaires
CHAPALAIN Bernard Le Jeudi 5 juin 2014 20:12
Oui l'enfance conditionne nos comportements d'adultes, c'est écrit dans de nombreux ouvrages de psychologie. C'est dans cette période que les n½uds que l'on tente de dénouer se font. Alors combien d'enfants souffrent en silence des conséquences des séparations parentales mal gérées. Lorsqu'on passe devant un juge aux affaires familiales, qui sot disant s'intéresse à l'intérêt majeur des enfants, personne ne parle des enfants. Qui sont-ils ? Comment voient-ils les choses ? Ni le juge, ni les avocats ne s'en occupent. Ces derniers ne faisant qu'opposer les parents pour assurer le fait qu'on ait recours à eux. D'ailleurs, dans le corps des ordonnances il y a toujours cette phrase : »à défaut de meilleur accord ». Ce meilleur accord devrait être recherché tous ensembles, un accord, même moyen est toujours meilleur qu'un désaccord.
Or c'est très souvent contre la volonté, le souhait d'un parent (majoritairement le père) que la décision est prise. Partant, quelle vie pour les enfants ? Qui plus est pour un garçon voyant son papa disqualifié, discriminé par les institutions. Alors il y a ces quelques cas dramatiques de jeunes hommes remplis de haine et de violence, mais ne cachent-ils pas d'innombrables autres cas moins graves de violence ?
A mon avis, bien sûr que si. Personne ne parle de la capture judiciaire des séparations, comme le dit M.Dazin, ni les psys (qui doivent bien le savoir, mais qui vivent aussi des problèmes des gens), ni les journalistes dont c'est le métier.
Pourtant, on le voit bien, il est grand temps que l'on se penche sur les séparations parentales qui sont de plus en plus courantes, que l'on trouve un moyen de les pacifier sans le recours à la justice qui ne peut produire qu'un gagnant et un perdant. Au final, on est tous perdant…
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Pascal Dazin Le Vendredi 6 juin 2014 11:01
Tous perdants sauf ceux qui en vivent, Bernard Chapalain, et qui ne diront jamais à quel point leur commerce est morbide, qui ne reconnairont jamais que les séparations parentales judiciarisées sont aussi paupérisantes que la crise économique et surtout que cette exploitation parentale abusive mine l'avenir de nos enfants bien plus profondément que de seuls soucis d'argent, en discriminant les parents de façon caricaturalement sexiste au mépris de l'éducation civilisée.
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Alain GUILLOU Le Vendredi 6 juin 2014 16:45
Tout aussi coupables que ces monstres qui tirent froidement sur des innocents sont ceux qui dans l'ombre des tribunaux les ont fabriqué de toute pièce ... sous prétexte de droit, mais pour faire du fric et pour assouvir un pouvoir qui ne dit pas son nom, les tribunaux de ce pays et leurs robes noires ne sont qu'une usine à produire des enfants sans pères et sans repères .... on en arriverait presque à souhaiter que ces derniers se retournent contre eux au lieu de s'en prendre à des innocents.... mais ce n'est pas le cours de l'histoire pour le moment...
Dans l'état actuel des choses ont ne peut qu'espérer voir un jour les Nations Unies dénoncer ce crime contre la civilisation commis tous les jours dans les tribunaux aux affaires familiales.
Directement à cause d'eux, attendez vous à subir un déferlement de violence sur ce pays dans les mois à venir.
Pour le moment, derrière les chiffres annoncés et trafiqués par des services de propagande asservis, n'apparaît qu'une infime partie de la face visible d'un iceberg monstrueux !
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Pascal Dazin Le Samedi 7 juin 2014 12:18
La partie non visible de l'iceberg dont on ne discerne effectivement que ces crimes commis par des déjantés cherchant stupidement une cause à la con, crimes dont on occulte la genèse pour ne s'intéresser qu'à la surface des choses, ce sont ces milliers centaines de milliers d'enfants mal élevés, déprimés infantiles, potentiellement délinquants, bref mal élevés, mal aimés, mal éduqués. Ce sont ces familles monoparentalisées et paupérisées, ces "familles multi-décomposées et recomposées",ces hommes qui sombrent dans des réactions violentes auto ou héréro agressives qu'une certaine psychiatrique devenue hélas dominante fait mine de ne pas comprendre, avec un négationnisme pseudo-médical typique quant à leur passé déchiré et exploité judiciairement qui explique leurs désarrois présents, qui se noient dans la spirale des désinsertions sociales. Mais il faut positiver: cette misère noire fait le fond de commerce des gens dont la robe est de même couleur, qui se frottent les mains à chaque procès où il y a trois perdants, le père, la mère et leurs enfants, et trois gagnants: leurs avocats.
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Michel Willekens Le Lundi 9 juin 2014 16:03
"Des millions d'enfants, privés de pères et de repères, ont été construits avec le profil de pervers et/ou de manipulateurs-destructeurs... comment sera-t-elle la société, demain, aux mains de ces ''monstres''
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