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- Communiqué de presse -
La journée de la Diaspora Economique Bretonne : un accélérateur inédit pour développer ses affaires à l'international
Avec l'Acadie à l'honneur pour cette troisième édition, qui a eu lieu au club K, ce lundi 6 août, la journée de la Diaspora Economique Bretonne (DEB) a réuni aux
Par Alain Glon pour Institut de Locarn le 9/08/12 14:46

Avec l'Acadie à l'honneur pour cette troisième édition, qui a eu lieu au club K, ce lundi 6 août, la journée de la Diaspora Economique Bretonne (DEB) a réuni aux alentours de 200 participants. Plus d'une vingtaine d'expatriés ont fait spécialement le déplacement depuis Boston, Dublin, Varsovie, Dresde, Luxembourg ou encore Pékin, afin de participer à cette journée exceptionnelle où les décideurs économiques bretons ont créé du lien, confirmé des contacts ou commencé à échanger sur des sujets internationaux abordés l'an passé.

"Le réseau de la DEB organise gratuitement, à la demande, des mises en relations entre professionnels via son site web pour trouver des compétences sur le pays visé, s'imprégner de la culture ou des modes de fonctionnement. Cette journée de la DEB vient ajouter une dimension humaine à des échanges virtuels, puisque les personnes se rencontrent physiquement, et ce pour faire du business, ou pour apprendre à se connaître," explique Sandrine Mercy, entrepreneure et co-organisatrice de cet événement international.

"De plus, le concours ETREVROADEL, qui signifie international en breton, que nous avons créé spécialement pour cette occasion, récompense les expatriés bretons, ajoute un engouement certain à cette journée unique en son genre en Bretagne," ajoute la dirigeante lorientaise. Et de préciser que c'est la seule initiative de ce type à récompenser les efforts que réalisent les entreprises, les associations à l'international, qui deviennent, en développant des relations économiques, de vrais ambassadeurs de la Bretagne.

Cette année, le concours ETREVROADEL récompense trois catégories : 1- le prix de l'entreprise à l'international; 2- le prix de l'ambassadeur breton à l'international et 3- le prix de l'association donnant le meilleur écho de la Bretagne à l'international.

Les lauréats du concours ETREVROADEL sont :

Catégorie entreprise :

1ER : Mesuris (www.mesuris.com)

2EME : Huîtres de Prat Ar Coum (www.prat-ar-coum.fr)

3EME : Vipamat (www.vipamat.com)

Catégorie Ambassadeur Economique de Bretagne :

1ER : Michel GUILLAUME (Vietnam)

2EME : Marie LANDEL (Etats-Unis)

3EME : Laurent PAVEC (Chili)

Catégorie Association :

1ER : Zhongbreizh (Pékin, Chine) www.bretonspekin.org

2EME : Bretons du Québec (Québec, Canada) (voir le site)

3EME : Breizheire (Irlande) www.breizheire.ie

Coup de cœur du jury : naissance de la cité Bretagne-un programme pour les Bretons avec l'appui et le soutien du gouvernement chinois.

L'Acadie au cœur de la journée

Tout comme le Festival Interceltique de Lorient (FIL) la journée de la DEB s'est tournée vers l'Acadie et a eu l'immense privilège d'accueillir deux conférenciers hors pair : l'Honorable Paul Robichaud, Vice Premier Ministre du Nouveau Brunswick et Ministre du Développement Economique, qui est intervenu lors de la conférence sur l'Acadie économique, sur les opportunités économiques du Nouveau Brunswick et aux liens économiques avec la Bretagne. Quant à Maurice Basque, historien, chevalier des Palmes Académiques et chevalier des Arts et des Lettres a exposé comment les diasporas bretonne et acadienne se rejoignent depuis le 18ème siècle.

Suite à la journée de la DEB de l'an dernier, intitulée "Le futur de la Diaspora : les jeunes, la Bretagne et l'international", une formation innovante a vu le jour à destination des étudiants (minimum bac+3) et souhaitant faire une carrière à l'international. Intitulée "Le parcours Guillaume LEJEAN", ce cursus a pour but de former les futurs leaders de la DEB. Cette nouvelle promotion, composée de 18 jeunes Bretons a été présentée à l'occasion de cette journée internationale.

Cette journée de rencontres économiques internationales au cœur du FIL « s'ancre » durablement dans le paysage économique breton, puisque le FIL, Produit en Bretagne et la Diaspora Economique Bretonne ont décidé de reconduire ce partenariat. Par conséquent, le prochain rendez-vous de la journée de la Diaspora Economique Bretonne aura lieu le lundi 5 août 2013, au Club K.

La Diaspora Economique Bretonne est une création originale de l'Institut de Locarn, le centre de prospective économique au service du développement économique de la Bretagne. La DEB, fondée en 2002, compte plus d'un millier de contacts dans plus de 50 pays.

Pour plus d'informations : (voir le site)

Contact presse de la DEB :

Sandrine Mercy

Tel : +33 (0)6 68 54 95 98

e-mail : sandrinemercy [at] horizons-international-exploration.com

L'Institut de Locarn est le résultat de la nécessité ressentie face aux enjeux considérables de l'époque nouvelle. Ce nouveau monde est, en particulier, synonyme d'unification de l'Europe. Toutefois la concentration du pouvoir à l'échelon européen a été corrigée au traité de Maastricht par l'introduction du principe de subsidiarité : tout ce qui n'est pas délégué par les États à l'Europe reste de la compétence de ceux-ci. Le même principe doit être appliqué dans les relations entre la France et ses Régions. L'échelon national ne doit traiter que ce qui ne peut être mieux réalisé au niveau régional. La remontée de certains pouvoirs à l'échelon européen sur un vaste territoire doit obligatoirement s'accompagner d'une politique de décentralisation et de proximité au niveau des régions. Dan
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Vos 15 commentaires
Vincent Le Floc'h Le Vendredi 10 août 2012 10:05
Je trouve que le Lokarn verse dans le "surtout pas s'occuper de l'intérieur"... de la Bretagne ! On attendait un lobbying concernant le cas de Doux. Netra.
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eugène Le Tollec Le Vendredi 10 août 2012 17:48
Une seule question à LOCARN
Soit, tout est parfait
mais est ce que Locarn demande à tous la culture "à l'export" qui manque à presque tout le système économique breton.
Cette culture "à l'export" est toute une philosophie économique battante ,de gagneurs ,tout est un challenge!
c'est parfois un dépassement de soi.
Mais en terme de pure Bretagne ,où est l'application en vecteur politique sous aucune obédience!
L'export ,oui,mais avec une considération locale en base de force de frappe économique!
La puissance économique doit se mouiller pour la réunification.
La puissance économique Bretonne ne doit pas se refermer,la base de l'élan "export" est là,en nous et non en France,si nous sommes "out" nous sommes aussi "in",en plénitude, nous sommes dans nos présents;
MAIS BRAVO POUR L'ACTION.
Autre suggestion
Création d'ambassade économique,dans les pays "clés",préparant l'action ,la logistique des nouveaux points d'appui.
J'ai dit ,un jour ,on peut vendre des artichauts en mongolie extérieure,y faire du troc!
à l'export tout est possible!
Il suffit de vouloir et d'y mettre l'intelligence!
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eugène Le Tollec Le Vendredi 10 août 2012 18:34
Lorsque je parle d'ambassade économique ,je parle de locaux ,d'un ambassadeur et de son staff économique
Tout ce monde est payé par la Bretagne et un différetiel venant des entrepreneurs bretons.
Il y a de quoi faire!
Les directives de prospection et de tête de pont venant de Bretagne .
Ces ambassades seraient dans les objectifs régaliens des fonctions économiques de l'ambassade française.
Le rendez compte étant direct sur les entreprises ,la région.
Rapport de cohérence vers l'état français
Une action ciblée devient une priorité de premier niveau région et état français si nécessaire.
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eugène Le Tollec Le Samedi 11 août 2012 09:36
Toutes les actions probantes ,ayant des chances de résultat local (bretagne ,autre)du fait du réseau ,doivent être travaillées même au plus bas dans le réseau.
Le travail de la tête de pont est au départ un travail en meute!
L'ensemble doit être dans un logique de guerre économique,vis à vis de la concurrence.
Ces stratégies de "comptoirs économiques" est vitale.
N'est ce pas ,vous les décideurs économiques de Locarn!et des bretons du monde!
Toute cette structure "à l'export"doit être dans une finalité de résultat.
Il y a une forte préparation du terrain avant toute action"commando" puis apparait la meute ou le loup solitaire!
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Pierre CAMARET Le Samedi 11 août 2012 11:32
Eugene LE TOLLEC .
Vous savez lorsque j'etais en activite en ASIE , j étais aussi "l' íntelligence " de la MIRCEB .Il y avait dans cette organisation du BON un peu , du MAUVAIS ,beaucoup .Je faisais cela pour la Bretagne .J'ai donc ete en rapport avec de grandes firmes bretonnes... un peu decu , par le peu de suivi . J'etais le Commando ( information) j'attends encore la meute ou le loup solitaire .
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eugène Le Tollec Le Samedi 11 août 2012 12:22
pierre camaret
voilà le pourquoi de mes propos
without comments
Trois fois hélas.
Cette stratégie \"à l\'export\" devrait être enseignée à ST Cyr, polytechnique ,toutes écoles de commerce.....
sinon nous ne serons que des \"hexagonaux\" et pire en Bretagne que des bretons FRILEUX(là, je vais encore fâcher quelques uns et pourtant un de mes directeurs \"chef\",un breton ,me disait aussi \"secoues moi ces jeunes\",cela me rappelait le panier de crabes de mon \"tacoz\" homme plein d\'intelligence et de vécu.
Je pense,quand même ,qu\'il y a un excellent travail effectué par la Diaspora (vous en êtes).
D\'autres m\'ont parlé de Chine, du Vietnam.
La puissance économique doit en tout premier lieu s\'intéresser aux assises de ses points de départ.
La bretagne ne pourra rien sans ce socle économique activiste.
C\'est pourquoi ,j\'interpelle ,bien maladroitement des cercles de réflexion (je me dis passeur!).
Je maintiens ,que l\'export doit être en réseau serré,la moindre PME a toujours quelque chose à offrir!
( ne serait ce qu\'un technicien)
Il n\'y a pas que le carnet d\'adresses(il doit faire parti du réseau)
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eugène Le Tollec Le Samedi 11 août 2012 16:23
ce que je dis
Cela doit aller dans le sens d'une étude "à l'export"
"....
1.3 LE RATAGE ECONOMIQUE
1.3.1 Economie des régions
Le ratage régional est aussi d’ordre économique par manque de moyens financiers « à disposition » pour les structures de base (de la commune à la région).
L’ensemble de la décision économique est toujours « parisienne ».
Ce centralisme ne sait pas ou ne veut pas faire appliquer les théories modernes d’économie mondialisée (exemple : culture à l’exportation – réseaux – responsabilisation des délégations de tâches- engagements économiques à l’étranger).
Paris n’est pas un ordinateur « régisseur ».
Paris ne peut plus être le bureau directorial
Problème économique
Nous constatons la permanence des problèmes économiques de la France où le déséquilibre de la balance commerciale est souvent intolérable comme par exemple en fin 2004 où le déficit entre les importations et les exportations est de quelques 2068 millions d’euros, alors que dans le même temps l’Allemagne a dégagé des bonus de l’ordre de 133 milliards d’Euros et que la France plafonne aux environs de quelques 5, 3 milliards d’euros.
Le fondement de cet illogisme est que la France n’a pas de culture d’entreprise généralisée « à l’exportation »
La France a-t-elle encore une volonté industrielle tournée vers le Monde.
Notre système du management de l’économie à l’exportation, à l’internationalisation est encore dans les anciens principes (2/3 de nos exportations sont sur l’Europe sécurisante, connue, sans risques commerciaux).
66, 6 % Union Européenne
7,9 % Asie et Océanie
7,4 % Amérique du Nord
5,9 % Europe
5,5 % Afrique
4,3 % Proche et Moyen-Orient
1,8 % Amérique latine
0,5 % Divers
Ces quelques chiffres montrent que l’efficacité de notre économie ne peut plus venir d’une politique économique centraliste.
L’effort aurait du porter sur cette plage de 0,5% à 7,9 %, ces indicateurs sont à ce niveau de faiblesse depuis très longtemps !
Ces situations furent en partie dues à une mauvaise prise en compte des stratégies et politiques commerciales évolutives et modernes, l’enseignement de nos décideurs économiques « d’état » n’a pas su prendre et mettre en application les théories du combat économique qui se préparait hors de nos frontières.
Le « Colbertisme » est fini.
La mondialisation a tout détruit.
La planification centralisatrice a été instituée en France par le décret du 03 janvier 1946 depuis cette époque des priorités et des objectifs précis ont fixé les orientations et cadré les programmes d’investissements de
L’Etat et du privé à partir du socle jacobin ; le 8ième plan de 1985 (jamais voté) prévoyait l’application de grandes volontés.
Ces volontés  se sont diluées :
Dans une société ne générant qu’une culture de conflit et une recherche effrénée de droits hors de tout devoir (« credo de la lutte des classes » omniprésent dans une pensée obsolète d'une exception française..
Dans un carriérisme généralisé des couches de décision.
Dans un manque évident d’une culture « à l’exportation »
Parmi tous les indicateurs, deux permettent d’analyser l’inadaptation de notre économie.
L’import / export et son ratio.
Ces indicateurs montrent la santé économique d’un espace économique, d’un territoire de vie.
Des mesures ont été prises mais les temps de réponse sont encore trop longs, il ne faut pas attendre des dizaines d’années pour émerger dans l’efficacité et la compétitivité.
La planification d’état est nécessaire, mais en terme d’objectifs à atteindre et non de diktats.
Cette planification ne doit être qu’un cadre régalien qui permet aux régions
de retrouver leurs économies.
....."
Ces propos sont valables pour la Bretagne et pour sa force économique.
La Bretagne doit être présente dans l'espace des 7,9% à 0,5 %,là est le domaine "export".
l'Europe n'est déjà plus à nous.
J'insiste sur ce champ de bataille économique,messieurs de la Région, et des cercles de réflexion.
Pensez à nos forces vives!
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Pierre CAMARET Le Dimanche 12 août 2012 02:56
Eugene Le Tollec.
La MIRCEB , a disparu donc on peut en dire du mal .L'idee, qui a ete" reprise "etait excellente .... mais trop de politique a la MIRCEB ( ca c'est francais ).Des missions , des actions etaient entreprises surtout pour le bien etre de quelques uns et non pour la Bretagne dans son ensemble .Aucun bilan de depart ( analyses ) aucun bilan d'arrivee . Disons simplement que la gestion laissait a desirer( gestion commerciale , j'entends )Le Directeur de cette institution , n'etait pas breton .Il faisait surtout du relationnel pour lui meme ... il fallait survivre dans sa bonne position donc surtout plaire aux personnalites influentes ...... mais cela c'est humain et francais .
L'hexagone evolue maintenant dans le bonsens . Dans les ecoles d'Íngenieurs on commence a apprendre que concevoir ... c'est fait pour vendre et non pour se faire plaisir a soi meme .Les dirigeants doivent etre des tetes chercheuses et sans cesse innover , car ce qui se vend aujourdhui , ne se vendra peut etre plus demain . C'est un metier..... passionnant .... c'est pour cela que je cherche a me maintenir.
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eugène Le Tollec Le Dimanche 12 août 2012 11:36
Pierre CAMARET
exact,la culture \"à l\'export\" doit s\'apprendre partout ,dans toutes les disciplines \"économique\",cela doit devenir des mécanismes intellectuelles.
J\'espère qu\'en \"énarchie\" il y a un cursus dédié.
Moi Pierre ,je ne suis qu\'un passeur d\'idées,le stress m\'a eu,mais qu\'importe \"être battant\" cela ne s\'invente pas.
Cela doit être dans les gènes,alors j\'essaie de continuer en me révoltant de temps en temps (même sur le \"peanut\"de certaines situations)
\"hauts les coeurs\" et \"au dessus des basses contingences\".
Un point
Vous parlez de missions.
Un des problèmes que nous avons ,en France et ailleurs est la politique \"de la mission\" suivi ,dans l\'hexagone ou ailleurs de la création de commission(l\'art et la manière de placer des gens)
Il en résulte des missions mal construites ,mal planifiées (il manque toujours un spécialiste pointu à mettre devant le client fin connaisseur et expert dans le sujet ( jai vu des capotages de mauvais effets)...
qu\'à cela ne tienne ,on fait venir une noria \"comme il faut\".
Cela doit disparaître par un processus \"ambassade économique et comptoir économique\" de la région ou d\'un groupe de régions dont lélément \"unité\" ne peut pas agir seul) avec forte préparation du terrain.
(Le travail en Chine est dans ce droit fil).
La Bretagne doit devenir cette base arrière de projection économique (la diaspora est là,enthousiaste,qui ne demande qu\'à y aller).
Nous sommes une DIASPORA!
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Pierre CAMARET Le Dimanche 12 août 2012 12:03
Je reviens a l'organisme que je citais dans un autre message . C'etait les copains d'abord .
Un elu de Bretagne ,dont le fils avait echoue au bac (il y a qq annees ), avait obtenu de cet organisme une mission en Australie - 2 mois -,pour son fils , avant le repechage de Septembre . Ce jeune brillant jeune homme ( un peu l'histoire de Jean SARKOZY pour la Defense ) parlait tres mal l'anglais , ne savait pas de quoi se composait cette mission , ne savait pas composer un programme etc.... la Totale quoi . Comme je m'én etonnais,pres du Directeur de cet Organisme , reponse ,Oui bien sur , mais son Pere vote mon budget au Conseil Regional . Voila egalement le cercle dans lequel nous sommes renfermes .La aussi , il faut du changement .
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eugène Le Tollec Le Dimanche 12 août 2012 12:43
ENCORE EXACT
Avant (je ne sais pas si cela existe toujours,il y avait dans les ambassades des postes réservés aux diplômés de grandes écoles ou d'université,c'était un service "civil".
le jeune était de la sorte parfaitement formaté"terrain" (nous en avons eu "chez nous"....ces jeunes ont fait par la suite d'excellentes carrières avec un esprit cablé "export".)
L'esprit "export" a un coté de battant;
J'avais un directeur,dès que je le branchais,partait dans ses souvenirs de combat
"Tu te souviens,eugène...Je n'avais pas interêt à contredire,non c'était ici et non là ..",le lendemain mon N+ me disait "qu'est ce que tu as fait ,au vieux,tu nous l'a dématté"
Non ce n'était que de l'historique de vieux briscard!tout comme l'historique des vieux marins!
Une abnégation!
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Pierre CAMARET Le Jeudi 16 août 2012 08:09
Eugene LETOLLEC .
Les Postes d'expansion economique . Cela dependait de la personne en charge . Ils en avaient de tres tres bien , mais d'autres ....... ils cherchaient avant tout les Gros Contrats : un TGV , des Airbus , contrats TECHNIP .etc......... mais de s'occuper des PME-PMI ne les interessait pas dutout .Ils n'etaient pas juges a BERCY meme sur 100 contrats de PME/PMI, mais sur les gros contracts .Lamentable.Beaucoup de ces responsables des Postes d'expansion,de mon temps, sont a la retraite . Je garde des relations avec quelques uns . Donc la MIRCEB devait remplacer cette carence d'ínterets pour les PME/PMI .... mais la MIRCEB se passionnait avant tout sur l'influence politique des patrons PME/PMI , et si un "grand "patron de PME bretonne, au Conseil Regional exprimait une mission a faire quelque part ,c'etait Oui de suite sur le Budget de cet Organisation .
Une anecdote , avant hier ai dejeune avec deux fonctionnaires francais de Noumea , de passage a Brisbane . Le plus age avait ete fonctionnaire en Bretagne sous MARCELLIN ( ce n'etait pas hier ). Nous parlions de decentralisation , il n'etait pas pour ........ a cause de la gestion financiere des Regions . Elles ont eu disait il beaucoup d'argent ces Regions , qui a ete gaspille , par exemple dans la Construction d'Hotels de Region ????? voir celui des PDL Region Fantoche ,qui affirmait son existence par la Construction d'un Hotel de Region superluxueux ????Je ne sais pas , quelqu'un aurait -il des chiffres. Nous sommes tombes d'accord sur le fait qu'il y a en Hexagone , assez de batiments anciens de grand style ( Chateaux , couvents etc.... ) qui auraient pu etre renoves , modernises en gardant son caractere , a moindre prix qu'un Batiment nouveau.. Il trouvait que les Regions "n'etaient pas serieuses"avec l'argent de leur contribuables, depenses de prestige , depenses de personnel ( il faut placer tous les copains , pour cela les Socialos sont les meilleurs , les autres un tout petit peu , mieux ).Ah1 le mal francais ,avec lequel nous devons malgre notre gre , composer .
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eugène Le Tollec Le Jeudi 16 août 2012 10:40
pierre Camaret
j\'espèree que quelques uns lisent les propos sur ces thèmes économiques
Les postes d\'expansion économique
Soit
Mais comme vous le notez ,incomplet , tout le panel économique français et régional doit être perçu!,c\'est pourquoi ,je parle d\'ambassade économique d\'une région ou d\'un groupement de régions ,organisme à objectifs de résultats descendant grâce au réseau serré jusqu\'à la PMI/PME sur premiere et deuxième couche d\'un polycentrisme maillé \"à taille humaine\",la troisième couche étant le tissu de base.
Ces organismes régionaux extérieurs ne doivent surtout pas parler de politique.
Les gros contrats sont de l\'ordre et de la fonction de l\'état et de son associé la région et son industriel.
Toute mission d\'approche doit être préparée par le staff de l\'ambassade économique région aidée si nécessaire par la section économique de l\'ambassade d\'état.
Un decideur régional n\'a pas \"à courir\" sur place,sauf élément contraire!
Toute action demande une forte préparation de terrain.
Un grand patron ne mouille sa chemise que dans le dernier élan!
Pierre vous parlez des régions ,des hôtels de région ,rajoutons les hôtels de communautés d\'agglos,effectivement la france a un patrimoine de bâtiments anciens (voir Lorient ,où l\'amirauté aurait pu servir à cela),mais il fallait un bâtiment \"en verr\",ailleurs ce n\'est pas mieux(casernes désaffectées,l\'armée vend ses biens!,la banque de FRANCE DEVRAIT LE FAIRE
Il y a là des dépenses excessives et gaspillages honteux (l\'état doit y mettre un bon ordre républicain!
Cela fait partie de \"l\'exception française\",l\'art de la dépense sans profit et pour certains l\'art de faire de l\'électeur.
Un hôtel de région somptueux classe son homme ,un hôtel de communauté urbaine ou d\'agglos classe son parti( c\'est l\'essence de base!)
Parfois la mairie et l\'hôtel arrive à s\'osmoser!
Ainsi va l\'apothéose!
Je reviens sur la chasse aux gros contrats ,cela est l\'affaire de gros trusts français ou bretons soit
Mais le tissu économique français est toute cette couche d\'artisans et PME/PMI qu\'il faut faire tourner \"à l\'export\",certaines y arrivent,cela devient une mission fondamentale qui doit s\'appuyer sur la structure régionale et d\'état!
Quel est le rôle d\'un Conseil économique et sociale dans ces prospectives?
Y-a-t-il un organisme régional \"à l\'export\", à ma connaissance ,non,chacun semble avoir un petit morceau!
d\'un tout qui ne devrait être qu\'unité!
J\'ai dit ,le terrain est dans les 0,5 à 7,9% non travaillé ou mal travaillé \"à l\'export\"
Et pourtant ,il y a des prêcheurs dans le désert.
ELT
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Pierre CAMARET Le Jeudi 16 août 2012 12:33
Eugene LETOLLEC .
Je l'espere aussi . Mais cela les interesse t-il j'en doute ???Plus passionnes par des petits problemes , de tres bas niveaux quelquefois , ou j'ai beaucoup de difficultes a me reconnaitre . L'economie , c'est la cle de la prosperite ,du rayonnement , de la progression . Enfin , cela les peuples nordiques le comprennent beaucoup mieux .Il faut vendre ce qui se vend , et non vendre ce que l'on croit etre bon .
Postes d'expansion economique par Region .. tres bien , mais si on les limite aux Regions , il faut les ouvrir non pas partout , mais dans les pays ou il y a un potentiel.
Bien preparee une mission : En France/Bretagne on improvise, rien n'est vraiment etudie.
Les gros contracts oui bien sur , mais le pays acheteur veut maintenant de plus en plus d'integration locale ... aussi moins d'equipements exportes. Des industriels profitent d'un gros contrat pour s'ínstaller dans le pays du Gros Contrat , fabriquer en JV avec un local et donc devenir fabriquant local( malgre tout 50 % doit etre importe : les etudes et quelques pieces tres speciales ).
Les gaspillages francais une histoire sans fin : de droite de gauche . Que voulez vous la France est une monarchie et chaque monarque veut marquer son epoque : Mitterand et sa Bibiotheque et... et....
Enfin le commerce exterieur hexagonal est toujours dans le rouge . Le commerce exterieur allemand , lui est positif.???
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eugène Le Tollec Le Jeudi 16 août 2012 21:04
Il faut casser la spirale , l'éconmie export à partir d'une région peut exister.
Poste d'expansion économique ,effectivement dans les pays ou zone "à fort potentiel";
Bien sur les pays acheteurs veulent faire de la fabrication "chez eux",nous avons eu de tels contrats.le problème est que nous devons touours avoir le pas d'avance (le temps que l'utilisateur absorbe le premier produit (quelques années, un autre produit apparaît(c'est le produit " pas d'avance et d'innovation".)
Cela veut dire que notre économie est dans un vaste dilemme,celui de quelques années d'avance.
Nous sommes donc voués à de la haute technicité.
Un autre aspect est de s'investir totalement sur un pays quitte à perdre au départ (investissement sur un produit qui ne se fait pas en France )
Cet investissement doit se faire sur des pays où il n'y a rien!
cela nécessitera toute la logistique ,la formation locale,les outils,etc
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