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- Chronique -
France corrompue, Bretagne corrompue. Pourquoi ?
Why is France so corrupt? C’est le titre d’un article publié récemment par la revue Foreign Policy où l’on pouvait lire que : Selon l'indice 2016 de perception de la corruption (abus du pouvoir public pour un bénéfice privé) de Transparency International
Par Yves-François Le Coadic pour ABP le 16/02/17 18:46

Why is France so corrupt? C’est le titre d’un article publié récemment par la revue Foreign Policy (1) où l’on pouvait lire que :

Selon l'indice 2016 de «perception de la corruption» (abus du pouvoir public pour un bénéfice privé) de Transparency International (2), la France se classe au 23e rang parmi 176 pays, juste derrière l'Estonie et juste devant les Bahamas. Ce n'est pas, bien sûr, la Somalie ou le Soudan, pays les plus corrompus. Mais ce n’est pas malheureusement le Danemark ou la Nouvelle-Zélande, pays les moins corrompus. En Europe occidentale, la France ne dépasse que le Portugal, l'Italie et l'Espagne.

“Ce qui peut aggraver les choses, c'est que la corruption française est particulièrement importante à haut niveau : elle n’est pas le fait de policiers ou de douaniers demandant des pots-de-vin (bakchich) ou d’entreprises achetant des fonctionnaires. Mais, grâce au fait que le régime français de la Ve République s’apparente plus à une monarchie républicaine qu’à une république et le président à un monarque républicain, la corruption française se déroule et implique de vastes sommes aux plus hauts niveaux du gouvernement”, au niveau des élus mais aussi au niveau des partenaires de ces deux premiers niveaux (associations, universités, entreprises,...). Que ce soit le financement des campagnes électorales, le manque d’indépendance judiciaire, le népotisme, etc., les scandales ne cessent d’éclater. Le résultat de ces nombreux scandales, c’est que, comme l’a révélé un sondage réalisé par Transparency International à la fin de l'année dernière, les trois quarts des Français sont persuadés que leurs ministres, leurs parlementaires, leurs élus sont corrompus. Mais leur réticence à résoudre le problème de la corruption est bien connue. En France, il y a l'idée que frauder et gaspiller l'argent public n'est pas un problème trop grave tant qu'il n'y a pas de victimes directes.

Dans le secteur de l’éducation, la corruption a ses adeptes dans les enseignements primaire et secondaire (détournement de la sectorisation, népotisme du parent d’élève de la fédération des parents d’élèves) et dans l’enseignement supérieur (rapport de soutenance de complaisance, parachutage de responsables politiques sur des postes universitaires).

En France, comme vient de l’affirmer un candidat à l’élection présidentielle, le népotisme est légal et particulièrement important. C’est, rappelons-le, l’abus de certains personnes qui usent de leur autorité pour procurer des avantages aux gens de leur famille, à des protégés ou à des amis proches indépendamment de leur valeur. Les responsables politiques qui le font mettent en avant le fait que la collaboration avec la famille est plus une collaboration de confiance que de compétences. Ils s’étonnent après que cela suscite la défiance de la part des citoyens.

On pensait en 2013 que la Bretagne échappait à la corruption généralisée (3) et que, seule, elle ne serait pas au 25e rang mondial des pays les moins corrompus comme l'est la France mais probablement au 10e. Mais moulée dans le cadre français, la Bretagne est aussi corrompue, le népotisme est aussi légal.

Quelques exemples parmi les élus bretons (4) :

Untel (de droite française) emploie un de ses fils et “met en avant le lien de confiance”.

Un autre (de gauche française) avance une compétence Bac+6 pour son fils et le fait qu’il “pouvait prendre un mi-temps”.

Une autre (de gauche française) emploie sa fille avec “un contrat très très partiel que peu de personnes auraient pu accepter”. Est-ce à dire qu’il faut être bon(ne) pour faire les corvées et peut-être destiné à être exploité ? i.e. taillable et corvéable à merci.

Un autre (d’extrême-gauche française), plutôt que d’embaucher quelqu’un de son parti, ce que l’on aurait fort bien compris, a fait appel à sa fille. Elle “ partagerait sa façon de voir les choses et le lien de confiance est important”. Cache-t-elle la méfiance à l’égard des tiers, y compris de son propre camp ? A nouveau est évoquée la confiance : et la compétence ? Et de plus le partage familial n’est-il pas un peu monarchique ?

Longue tradition française, le ver de la corruption est dans le fruit breton. Et il semble qu’il sera difficile de l’éliminer.

Notes

(1) Online publication dedicated to providing critical analysis of U.S. foreign policy, Foreign Policy, the influential journal that is one of the establishment’s favored debating grounds on international politics, economics and diplomacy break recently with tradition and endorse a presidential candidate — Democrat Hillary Clinton : (voir le site)

(2)Transparency International donne la parole aux victimes et aux témoins de la corruption. L’organisation travaille en collaboration avec les gouvernements, les entreprises et les citoyens pour mettre fin aux abus de pouvoir, à la corruption et aux transactions secrètes : (voir le site)

Elle effectue tous les ans un classement des pays "en fonction de leurs niveaux de corruption perçus, déterminés par des évaluations d'experts et des sondages d'opinion".

(3) La Bretagne échappe à la corruption généralisée : (voir le site)

(4) Le Télégramme, 28 janvier 2017. Ces élus bretons qui emploient des proches : (voir le site)

Voir aussi sur le même sujet : corruption,népotisme
Cet article a fait l'objet de 1107 lectures.
Yves-François LE COADIC Youenn-Fañch AR C'HOADIG
[ Voir tous les articles de de Yves-François Le Coadic]
Vos 7 commentaires
Paul Chérel Le Samedi 18 février 2017 10:38
Je crois qu'avant de déclarer corrompu un individu ou un acte, il conviendrait de (re)préciser la définition du mot corruption. Selon un dictionnaire assez populaire et répandu, corruption signifie soudoyer quelqu'un en vue d'en titrer un bénéfice. Le paragraphe 4 de l'article en accuse un certain népotisme qui, pour le moins, est "légal" donc non condamnable. Les exemples donnés sont de nature familiale pour la plupart. Est-ce de la corruption ? Sont-ce légalement des détournements de fonds publics ? La France s'ensevelit sous un amoncellement de normes, de lois, règlements, tous tout aussi touffus et imprécis les uns que les autres. C'est la porte grand ouverte à des malversations. Le "bon sens" et la "morale" sont des mots obsolètes. Paul Chérel
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Léon-Paul Creton Le Samedi 18 février 2017 10:50
Abîme ? Vous avez dit : Abîme ?
C’est simple les pratiques primitives des nobles en général sous l’ancien régime, celles des rois, des empereurs a toujours été de "piller", voler et rançonner les peuples , et l’État du moment quand certains d’entre eux devenaient ministres au service des seconds, rois et empereurs.
La France est l’archétype de l’État colonial, disons depuis la chute de Rome, les peuples qui la compose peu à peu sous domination d’un groupe ethnique renforcé par des adhérents de tous horizons, de plus en plus nombreux qui par intérêt, laxisme, faiblesse ont abandonné leurs responsabilités envers les gens, et les territoires qui dépendaient d’eux.
Cet État colonial permanent, est le modèle par excellence de la mise en coupe réglée des populations , pour lesquelles ses dirigeants n’ont jamais eu de considération avant la révolution de 1789, et n’en a pas davantage après ! La colonisation permanente de la France est la règle, sous une forme ou une autre! C’est une forme étrange de civilisation avancée ! Aujourd’hui c’est en Europe la charge d’impôts la plus haute, la plus forte ! Le manque d’évolution flagrant à la base de ce système nocif figé depuis des siècles, génère aujourd’hui son pourrissement final. Doit-on prier pour que cela se fasse vite ? Qu’il n’en reste pas trop de pépins.
Les systèmes étatiques qui se disaient et se disent encore républicains, et qui se sont succédés depuis, n’ont appliqués que les mêmes méthodes de gouvernance, et dépendent des mêmes réflexes prédateurs que ceux (banalement humains alors ?) de l’ancien régime dans les plupart des domaines "régaliens", rien que ce mot si évocateur, ne nécessite pas de réflexion approfondie sur les "services" que demandent à l’État ceux se hissent aux postes les plus élevés. Mais tout se fait dorénavant derrière un paravent…un vrai pare-feu ! Subtils penseurs ? À peine car quand le Peuple est aveugle, le Royaume appartient aux borgnes, et leurs acolytes !
Ces paravents et pare-feux, qu’ils (la secte des Démocrates Autoproclamés à Démocratie Limitée) ont mis en place, sont des structures chargées de « légaliser » ( recycler, ce serait bon aussi) presque tout et n’importe quoi, afin de pouvoir légitimer et repousser toute contestation sur leurs pratiques, à la différence de ce qui se passait auparavant le Droit Divin un peti temps une certaine déesse Raison (joli nom!).
L’ancien régime ne justifiait aucunement d’une moralité ou une légalité « légale », mais officiait par ce Droit Divin, Déesse comprise, qui permettait tout, ou vieille comme le monde l'utilisation de la force pour spolier, déposséder et taxer les gens du/des peuple(s)! Les modes utilisés pour recouvrer les impôts, ne font pas un anus supplémentaire aujourd’hui…mais on en bave quand même !
Les Médicis, leurs poisons et leurs coucheries, les Louis XIV ce roi fou, les autres Louis moins et plus, les Napoléons mégalomanes, les Mazarini trafiquants et thésauriseurs sur les deniers de « l’état » pour leur pomme, les Law, les Fouché et Fouquet aux fortunes amassées et beaux châteaux à rendre jaloux les rois, les châteaux aujourd’hui sont souvent inscrits au patrimoine…, les Cahuzac, les Fillon, les Balkany, les Dassault, et les Touche-beaucoup et les Touche un peu, et les Touche-partout… Et j'en passe, et j'en passe!
Maintenant, parfois l’on parle de moralité pour souligner, « légèrement », que ce n’est pas bien …d’abuser ! Mais c’est "légal" !!!!! Ya des lois qu’ont été votées, certaines choses se font sans cela mais séparation des pouvoirs permet, oui votées par les divers représentants du peuple, qui ont été élus pour ça, et qui font bien davantage, et souvent pire que ce pourquoi, ils ont été élus. Mais ils sont les dépositaires, des "propriétaires " en somme. Mais ils sont et seront surtout responsables des effets de cette liberté anormale de légaliser, donc de légitimer. AL CAPONE est au pouvoir !!!
Vite ! Mais avec prudence, car il faut préparer le peuple, bien le malaxer, avant de pouvoir légaliser le cannabis, puis ensuite le LSD, puis l’héro, et puis … Ya du fric à se faire pour l’état, pour le producteur, le distributeur, un tas de lobbys en perspective. Et l’état c’est qui ? Non, non c’est pas nous !
Le fameux Peuple dans tout cela, je suis en train de réaliser qu’il n’existe pas, ou peu. J’ai peur que ce soit vrai, car autrement, ceux-là, ils n’auraient quand même pas osé concocter, autoriser tout... ce « merdier » !!!
Oui je rêve, allonger sous ma véranda en regardant mon petit jardin ouvrier, d’une nouvelle constitution « indépassable », « incontournable », « infalsifiable », qui règlerait et obligerait les mandats et leurs limites, définirait les émoluments et les obligations des élus et envers « leurs salariés », qui fixerait l’inéligibilité définitive en plus des sanctions appropriées…et tant d’autres choses encore…
Ne me pincez pas, que je ne me réveille pas surtout !
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yann menez Are Le Dimanche 19 février 2017 11:50
Alors tous pourris! Non franchement je n'y crois pas!
C'est du populisme à l'état brut! Et on sait qui cela renforce!
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Paul Chérrel Le Dimanche 19 février 2017 14:02
Le commentaire de Yann Menez est assez abrupt et plutôt orienté (politiquement) mais il mérite réflexion. C'est évidemment l'argent qui pourrit et le pouvoir qu'il donne. Que certains en abusent est indéniable. Que d'autres ne le font pas ou ne savent pas en profiter est pensable et admissible, même honorable. Reste à savoir si un système électoral, de type républicain ou autre, est capable d'aboutir à un gouvernement de compétences, de raison et de probité. Vaste sujet à base d'éducation ! Paul Chérel
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yann menez Are Le Lundi 20 février 2017 14:38
Mes propos seraient orientés???
Non, pas du tout, détrompez-vous!
Ce que je veux dire c'est que ce genre d'article jette l'opprobe sur l'intégralité de la classe politique, alors que la grande majorité est intègre, et je pense notamment à ces nombreux élus municipaux des petites communes.
Arrêtons la caricature, ce n'est pas parce que l'élite parisienne n'a plus les pieds sur terre qu'il faut généraliser!
Elevons un peu le débat politique! Faisons des propositions concrètes pour l'encadrement des attachés pârlementaires : cela doit être transprent. Je suis pour!
Mais de grâce, arrêtons ce genre d'article, qui je le répète ne contribue qu'à alimenter un populisme bon teint!
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Jacques Le Mardi 21 février 2017 14:56
Non, ce genre d'article ne jette pas l’opprobre, mais pose clairement la question de la société dans laquelle nous voulons vivre.
Par la force, la Bretagne a été privée de sa démocratie, de ses institutions pour intégrer la République.
La tradition française du totalitarisme n'existait pas en Bretagne.
En Bretagne, il n'y a pas d'histoire équivalente à celle de ce Clovis qui voulant un vase que la loi ne l'autorisait pas d'avoir à tuer celui qui avait le droit de cette possession.... Un concept que maintenant tous les enfants de Bretagne apprennent et qui nous expliques : "Qu'il existe des personnes (surtout les personnes disposants du pouvoir) qui on le droit d'être au dessus des lois du peuple...!"
En Bretagne on ne glorifiait aucun roi ou duc pour son despotisme (sa conduite dictatoriale contraire à l'intérêt du peuple), comme l'enseignement scolaire français le fait avec Louis XIV!
En Bretagne on n'évoquait pas le "coté positif" de coloniser les autres peuples au titre qu'ils seraient moins développé technique ou qu'ils vivraient différemment!
Nous en Bretagne, nous avons le roi Arthur qui mythe ou réalité a jeté la base des valeurs de la Chevalerie Européenne,
Nous avons Tristan et Iseul qui symbolise l'amour courtois de toute la littérature européenne du moyen-âge,
Nous avons l'exemple de Jean IV, démis de ses fonctions par le peuple en désaccord avec lui, mais aussi ce même peuple lui renouvelant sa confiance,
Nous avons les institutions de Bretagne, dont les plus anciens témoignages de décisions législatives par le vote remontent au 9ème,
En Bretagne, un roi ou un duc ne pouvait dire : "la loi c'est moi"... une phrase qui rempli de fierté le plus anti-monarchique des Républicains et qui vaut aux Bretons le mépris des historiens français affirmant qu'a ce titre la Bretagne n'aurait jamais disposé d'un "vrai" état...!
Une vérité que les gouverneurs (chef d'état de Bretagne imposé par le roi) se trouvaient tout étonné de devoir apprendre en constatant que leur "pouvoir" n'avait aucune légitimité face à nos lois issus du peuple!
Aujourd'hui les Bretons n'ont plus le droit de choir leur modèle de société. Le seul droit est de clamer religieusement le modèle qu'on leur impose!
Nos enfants n'ont officiellement pas les mêmes droits que les autres enfants d'Europe (la République se refusant de signer nombre de textes sur les Droits de l'Enfant) ce que les Bretons adultes préfèrent oublier ou avec grand courage évoquer leur ignorance de la chose pour fuir leurs responsabilités!
Nos élus bretons se refusent à la gratuité de l'école pour nos enfants, si leurs parents font le blasphème de se détourner de l'école de l'état pour qu'ils puissent apprendre leur langue de manière égale à tous les autres enfants d'Europe en refusant le concept de supériorité de la langue officielle imposé. Faire de nos enfants des sous-citoyens ou des citoyens de 2ème catégories est devenu pour nos élus une... valeur!
Combien d'élus "intègres" en Bretagne refusent le classement en sous-citoyens de nos enfants et demandent avec la combativité qui s'impose par l'honneur la ratification et l'application de l'ensemble des droits de l’enfant(*)????
*(C'est à dire le financement intégrale par l'état de la scolarisation dans les écoles en Breton, l'apprentissage de l'histoire de Bretagne à tous les enfants et la rédaction des programmes scolaires en Bretagne)
Dans les pays les plus démocratiques d'Europe (nord de l'Europe), les élus doivent la transparence sur l'ensemble de leur revenu, les salaires des fonctionnaires sont connus de tous, les syndicats sont financés par leurs adhérents, et ceux qui dérogent à l'éthique et au respect du peuple sont sommés par le peuple de quitter leur fonction sans possibilité de retour.
La Bretagne par sa culture et son histoire devrait faire parti de ces pays,... dont aujourd'hui leurs valeurs de démocraties et de respects du peuple nous apparaissent grotesques tant elles s'opposent aux idéologies marxismo-socialo-républicaines qu'on nous demande de vénérer!
Oui, Monsieur le Coadic a parfaitement raison de lancer ce débat!
Et tant pis pour ceux qui n’assument pas leur choix et préférerait le silence!
La Bretagne et la nation bretonne ne doivent pas être condamnées aux valeurs contraires à celles que nous choisirions si la Démocratie nous était autorisée!
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Léon-Paul Creton Le Dimanche 26 février 2017 11:47
Certainement Hors-sujet.
Ma prose n’a pas, je pense, du moins sous une certaine "forme" le don de plaire à certains éditeurs d’articles. Ce qui qui m’a inciter à insister, suivant mon humeur, sur une forme d’expression de modeste provocation… Et cela afin d’évaluer, de tester la "sensibilité" au déclenchement du « principe de réserve » que d’autre appellerai "de censure". ( Je pense à quel avenir, de quelle presse dans ...une Bretagne indépendante. Vous voyez je pense loin et médite "...obscur témoin" )(;0))
J’ai déjà exprimé deux ou trois petits commentaires là-dessus depuis quatre ou cinq ans. Notamment sur le fait que, parfois, "l’obligation de conditions religieuses" n’admettant pas d’utiliser un langage considéré pauvre voire indigent, une certaine "qualité" orthographique, sémantique et syntaxique, disqualifie "de facto", un grand contingent "populaire", qui dans ces conditions ne peut que se sentir rejeter ! Ils ne s’expriment que sur certains types de sites ou de réseaux. Et souvent agressivement...
Á moins qu’un malencontreux dysfonctionnement technique dont "les systèmes informatiques" sont coutumiers …Ou opportuns…Un dernier commentaire, justement un peu dans cet esprit de "testing", n’a pas été mis en ligne. Alors comment voulez-vous que je m’améliore? En fonctions de « normes » que je devrais adopter, m’adapter pour être politiquement correcte ? Consommable.
Bref Monsieur Y-F LE COADIC, je ne sais si ce petit commentaire sera mis en ligne, mais peu importe car je pense que vous le lirez tout de même, et prétentieusement je m’imagine qu’il retiendra un instant, votre réflexion sur le sujet…
Au-delà de mon bavardage qui s’est étendu un peu de façon incontrôlée, je voulais surtout émettre un dernier commentaire, poser une question qui me tarabuste en avalant toutes les émissions et interventions politiques effervescentes qui foisonnent actuellement sur TiVi French :
"Qui, portera la question régionale en France, question qui est totalement absente des débat ? Qui obligera les candidats de donner en eau trouble une réponse claire sur la régionalisation ou tentera de le faire ?"
Bien sûr en tant que Breton qui s’affirme comme tel je pense surtout à la BRETAGNE. Alors quels journaux demain?
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