Le cinéma breton a bien changé depuis 1980, une époque où, selon Nicole Le Garrec, "il fallait monter à Paris pour chaque étape de la production d'un film" alors qu'aujourd'hui on peut "faire en Bretagne un film de A à Z sur le territoire, du travail d’écriture, du scénario jusqu’à la distribution".
Par Philippe Argouarch pour ABP le 20/09/19 10:53
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Des Pierres contre des Fusils présenté au Festival de Cannes
Philippe Argouarch est un reporter multi-média ABP pour la Cornouaille. Il a lancé ABP en octobre 2003. Auparavant, il a été le webmaster de l'International Herald Tribune à Paris et avant ça, un des trois webmasters de la Wells Fargo Bank à San Francisco. Il a aussi travaillé dans des start-up et dans un laboratoire de recherche de l'université de Stanford.
Jakez Lhéritier Le Vendredi 20 septembre 2019 19:09
Vendredi 13 septembre Nicole le Garrec et la fille de René Vautier présentaient cette version au cinéma Le Tati à St Nazer. la salle était comble.Peu d'anciens "combattants" .Du comité Plogoff de St Nazer j'étais le seul. Les oreilles des politiciens d'aujourd'hui ont du siffler pourtant,car il a été rappelé les oppositions des partis Français de l'époque et leur arrogance et moquerie lorsque l'on proposait d'autres solutions. Voir les sites créateurs d'énergie aujourd'hui et ressortir les brevets qui dorment,étouffés par les lobbies pétrolier et nucléaire. Comme pour les luttes syndicales sur St Nazer, ce sont des luttes violentes,de résistance, qui ont gagné,comme à Plogoff.,au Carnet,l'ecotaxe,etc.. La réunification poussée par de grandes manifestations pacifiques,gentilles,les pétitions gentilles n'avance pas?