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- Chronique -
Langue bretonne : l'effondrement du nombre de locuteurs
Seulement 2,7 % des habitants des cinq départements de la Bretagne historique déclarent parler très bien ou assez bien la langue, contre 5,7 % en 2018. Cela représente environ 107 000 personnes, soit une perte de 50 % en six ans.
Par Philippe Argouarch pour ABP le 21/01/25 13:19
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Photo DIWAN de St Herblain

Un recul majeur du nombre de locuteurs

L’étude commandée par la Région Bretagne et réalisée par l’institut TMO (voir le PDF en dessous) confirme un effondrement du nombre de locuteurs du breton et du gallo en Bretagne :

Une mutation du profil des locuteurs

Si la transmission familiale continue de s’effondrer, l’école devient le principal canal d’apprentissage du breton :

Une transmission familiale en chute libre

Cette tendance met en lumière un bouleversement profond : le breton n’est plus une langue transmise naturellement au sein des familles, mais devient une langue enseignée.

Perception de l’avenir du breton et du gallo

L’étude révèle un attachement fort au breton, mais aussi un pessimisme sur l’avenir des langues de Bretagne :

Des efforts régionaux face à des défis persistants

Face à ce constat préoccupant, la Région Bretagne met en place plusieurs mesures :

Un manque d’enseignants qui freine le développement du bilinguisme

Malgré la demande croissante pour les classes bilingues, un problème structurel persiste :

Diwan : un déficit financier qui menace l’avenir du réseau immersif

Le réseau Diwan, pilier de l’enseignement immersif en breton, fait face à une situation financière critique :

Une alerte maintes fois ignorée ?

Lors des élections régionales de 2021, plusieurs organisations, dont Bretagne Majeure, Breizh-ImPacte et Kevre Breizh, avaient alerté sur la situation préoccupante du breton. Le juriste Yvon Ollivier avait même proposé un "Plan Marshall" pour sauver la langue, mais ces appels sont restés sans suite.

Si le budget régional consacré aux langues de Bretagne a progressé, il reste encore très en deçà des besoins pour assurer une transmission durable. Le déficit de Diwan en est l’illustration la plus frappante.

Dans une interview accordée au linguiste et journaliste Michel Feltin-Palas et publiée dans L’Express, le musicien Alan Stivell résumait clairement la situation : « Pour sauver le breton, la Bretagne doit accéder à l’autonomie. »

Un avenir incertain malgré des efforts accrus

Si des efforts importants ont été engagés pour ralentir le déclin de la langue, la faible transmission familiale, le manque d’enseignants et les insuffisances budgétaires posent un défi majeur. L’avenir du breton et du gallo repose désormais sur la capacité des écoles bilingues et des nouveaux locuteurs à assurer une transmission durable.

Retrouvez l'intégralité de l'étude de TMO ici 

Document PDF Le communiqué en français. Source :La région Bretagne
Document PDF Le communiqué en breton. Source :La région Bretagne
Document PDF Le communiqué en gallo. Source :La région Bretagne
Voir aussi sur le même sujet : Langue bretonne
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logo Philippe Argouarch est un reporter multi-média ABP pour la Cornouaille. Il a lancé ABP en octobre 2003. Auparavant, il a été le webmaster de l'International Herald Tribune à Paris et avant ça, un des trois webmasters de la Wells Fargo Bank à San Francisco. Il a aussi travaillé dans des start-up et dans un laboratoire de recherche de l'université de Stanford.
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Vos 14 commentaires
Pcosquer Le Mardi 21 janvier 2025 16:55
Merci à vous de rendre hommage au breton, et de lever votre règle de politesse qui dit que sur APB..? , que dit-elle au fait? Est-elle encore valable cette règle, alors que nous sommes maintenant 100 000, doit on demander la permission encore et toujours de parler breton à ceux qui ne le comprennent pas? Ne pensez-vous pas que ces politesses sont celles des Rois, celles de ceux qui en ont les moyens? Moi, je n'ai plus les moyens de cette politesse... celle qui accentue plus gravement encore la disparition du breton.
Voici don en breton une réflexion parmi d'autres sur l'urgence du problème.
Bezañ lezet a-gostez an trede rummad bet paket fall en argerzh diskar ar brezhoneg a zo ur fazi bras ha drastus. An Emsav zo kaoz eus an afer fall-mañ abaoe an eil brezel bed : N'eo ket tout klask livañ ar vro gant ul liv politikel met ur yezh a zo liammet gant ur bopl hag ur bopl n'eo ket livet he fri gant ar roz pe gant ar c'hlaz... E-keñver ar rummad a zo kaoz ganin ez eus anv eus tud oadet etre 65 ha 75 vloaz hiziv. Ar re-se a gompren mat bzg o zud. Daoust d’an darn deusouto dic’houest da vrezhonegiñ int gouest, avat, da adpakañ ar brezhoneg war bep dachenn kehentiñ a zo… « Musik ar yezh » evel ma vez graet gant ar re gozh a zo ganto, ar gompreniezh ivez… int zo gouest da c’houzout hag eñ e vez komzet ur bzg mat pe get...Gant reiñ tuioù d’ar re a fell dezho deskiñ ar brezhoneg en dro e vo posupl cheñch an traoù. Ret eo en ober evit deur ar yaouankiz ; Gant ar re gozh-nevez-se e c’hallfe ar re yaouank kavout ur rummad gouest d’o sikour e plas ar re o vont d’an anaon... Ouzhpenn-se ar rummad-se a zo an hini nemetañ a oar diouzh an amzer gwechall hag hini a hiziv war an dro da lavarout eo, gouest da jaojañ ar gevredigezh ha degas un testenni mat d’ar re yaouank.
(3) 
Emglev An Tiegezhioù Le Mardi 21 janvier 2025 18:04
C'est une grave erreur depuis 50 ans de croire que l'enseignement peut perenniser une langue. Seules les familles bretonnantes le peuvent. C'est le but d'Emglev An Tiegezhioù depuis 1947
(5)  Envoyer un mail à Emglev An Tiegezhioù
Kerbarh Le Mardi 21 janvier 2025 21:28
Sous Franco en Espagne, ce sont les familles qui ont conservé la langue catalane malgré les interdictions .L’enseignement du catalan était interdit. La langue catalane est toujours vivante.
(4) 
Naon-e-dad Le Mercredi 22 janvier 2025 18:57
@Pcosquer (ha d'an holl ivez!)
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« ur bopl n'eo ket livet he fri gant ar roz pe gant ar c'hlaz »..- A-du on ganeoc'h penn-da-benn war ar poent-se.
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« « Musik ar yezh » .../… int zo gouest da c’houzout hag eñ e vez komzet ur bzg mat pe get. A-du on ganeoc’h war ar poent-se, ivez. Muzik ar yezh pe ar fonologiezh, pegen pouezus eo ha a-wechoù e c’heller klevout un tamm fonologiezh gall, siwazh, e penn ar vrezhonegerien nevez. Rak ar galleg ha na zigor ket an divskouarn ledan a-walc’h (evit an holl gallegerien)? Rak ar c’helenn brezhonek ha n’a bouez ket a-walc’h war boent al lusk ha muzik ar yezh, dreist holl evit an deraouidi ? Gwir eo an daou boent-se, an div abeg-se, a soñj din...
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Ur wech c’hoazh : pegoulz e vo digemeret ar brezhoneg e-barzh ar sistemoù GPS (evit an otoioù pe an dud a z’a war droad) ?
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Petra d’ober ? Diaes eo lakaat ar re gozh e-barzh ar jeu. Betek-henn. Dre vraz, a-benn dek vloazh a-c’hann ne chomo nemet rummadoù desket ar yezh gante dre ar skol pe ar stummadurioù a-bep-seurt...
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Ezhomm e deus ar yezh kavout skrivagnerien nevez, dezhe ur yezh vrav. Ha ivez kavout reoù a breg (a gomz) brezhoneg a-feson, e-touez ar vrezhonegerien mod-nevez.
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Hirio, d’am menno, ez eo ret da Yann Brezhoneger mont da glask brezhonegerien all. Ezhomm hon eus eus lec’hioù aes (kafedi ha me oar...) evit kejañ gant an dud all. E kerioù bras, e bourc’h zo... Internet (ar rouedad) zo mat, al levrioù pe ar gazetennoù ivez, hag ar mediaoù all – skingomz (radio), skinwell (tele) - ivez. Sur a-walc’h. Met an emgav war-eeun, den e-tal den, ne c’heller ket ober heptañ. Sur-sur eo ivez.
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Din-me, n’eo ket echu ar brezhoneg, ken plijus, simpl, talvoudus, ha dedennus eo. Mes souten an dud bolitikel (rannvro, kerioù braz pe bihan) a zo ret evit ma gendalc’ho ar yezh.
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Le breton est encore là. Mais il a aussi besoin de lieux de rencontre impromptus et faciles d’accès (café breton) où l’on peut faire la causette sans autre raison que de parler, pour le plaisir de la langue. Il a aussi besoin du soutien et de la bienveillance des acteurs politiques à tous les niveaux (région, grande agglomération ou villes de taille modeste). Par vocation, une langue est inter-générationnelle et trans-partisane. Elle présente, de ce fait, un aspect universel et fédérateur. Étonnamment, une langue minoritaire et historique, et originale, participe à construire la société.
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Contrairement à ce que disent certains esprits étriqués (ou formattés par la doxa du politiquement correct ou l’ignorance ou les préjugés), une langue régionale n’a rien à voir avec un quelconque et hypothétique repli sur soi. C’est un canal d’enracinement et d’épanouissement en plus. C’est un vecteur de confiance dans le futur.
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Bref, à tous ces points de vue, le breton reste un vrai miracle. War an holl poenchoù-se e chom ar brezhoneg ur gwir burzud !
(1) 
Rafig 44 e Breizh Le Jeudi 23 janvier 2025 13:18
" Allez, faut encore tenir bon ! "
Comme le disent les académiciens qui vont voir les différents ministres de l'Éducation Nationale pour les dissuader d'officialiser les langues "régionales".
Tenir encore un peu le genou Républicain sur la carotide bretonne pour finir de l'étouffer comme George Floyd.
"ne c'hallan ket analañ !"
(1) 
Reun Allan Le Jeudi 23 janvier 2025 18:00
Pour la reconquête de la langue bretonne on en revient toujours à l’institution scolaire, la Région et l’Etat. L’enseignement est évidemment un maillon indispensable mais encore faut-il que le citoyen breton s’y sente aussi un peu impliqué pour donner l’exemple d’une volonté d’acquérir un minimum de connaissances. En premier lieu, il y aurait tous ces personnels qui en vivent par un emploi dans les médias. Plus particulièrement les journalistes de FR3 Bretagne dont personne à Rennes n’est capable de prononcer correctement le prénom breton du jour qui s’affiche à l’écran. A Brest ou Quimper, il y a les animateurs patentés mais ce sont toujours les mêmes laissant penser que s’ils devaient être mutés ou partis en retraite ils n’auraient plus de successeurs. FR3 Bretagne est à ma connaissance financée sur fonds publics, on ne comprend pas pourquoi, les personnels auraient l’excuse de ne pas s’y impliquer bénévolement ou professionnellement quand on la chance de vivre et travailler au pays. J’ai vécu la période du renouveau celtique des années 70 en région parisienne, il y avait un engouement pour la culture bretonne et la langue. Nos cours avaient lieu le Samedi, jour de repos ( Temps de transports harassants et pas encore les 35h hebdomadaires). Il y avait en plus des conversations du samedi, les « Kentelioù dre lizher » (cours par correspondance) par inscription à Skol Ober et les « poelladennoù » (devoirs écrits) à envoyer à nos correcteurs (qui étaient des correctrices bienveillantes, Anna, Vefa, Riwanon, …). J’ai le sentiment qu’on se sent parfois plus impliqué si on aime son pays quand on y vit à l’extérieur. Mon gendre vivant en Allemagne, non breton d’origine mais marié a une bretonne et à la Bretagne a acquis la maîtrise de la langue par Assimil et s’adresse à ses enfants en breton. L’excuse de ne pas apprendre le breton parce qu’on ne serait pas né en pays « bretonnant » n’est pas une excuse valable. Combien de journalistes bretons font ce travail et surtout combien donnent un minimum d’exemplarité dans l’exercice de leur profession ?
(3)  Envoyer un mail à Reun Allan
KLT Le Jeudi 23 janvier 2025 18:16
L'enseignement ne peut pas tout (très clairement = l'enjeu est d'abord la famille), mais surtout quelle politique d'éducation alors que la langue bretonne n'a même pas un cadre territorial ?
En Navarre, le basque a un statut, et il est le seul à avoir un statut (les espaniolistes du secteur ont eu la décence de ne pas inventer une pseudo langue "navarraise", sorte de castillan local). Mais ce statut compte-tenu du fait que le basque était minoritaire dans la période contemporaine, est protégé juridiquement sur des territoires définis et délimités.
(3) 
Kristen Le Vendredi 24 janvier 2025 22:52
Cette chute vertigineuse de 50% en 6 ans interroge lourdement sur l'efficacité de la politique menée concernant la langue bretonne.
De même, la méthodologie suivie par l'institut d'enquête reste à préciser. Les chiffres de 2018 méritant peut-être un examen plus approfondi pour comprendre cette évolution surprenante.
Ainsi, que signifie exactement être ''locuteur''', ''parler'' une langue pour le sondé ?
(questions ouvertes, à items ou fermées ?, etc ...)
Si des statisticiens indépendants pouvaient s'y consacrer ...
(1)  Envoyer un mail à Kristen
Kerbarh Le Samedi 25 janvier 2025 09:33
Que font les wokistes pour la langue bretonne, eux qui sont favorables aux politiques inclusives pour toute les minorités ???
Que fait le PS ,LFI et le PC pour défendre une culture en voie d’extinction, eux qui se revendiquent d’aider les plus faibles ?
Ils sont comme les autres , ils ne regardent que leurs intérêts et ne pensent qu’à conserver leurs confortables places d’élus.
Pathétique tout cela..,,
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De Pcosquer à Kerbarh Le Samedi 25 janvier 2025 13:16
"Que fait le PS, LFI et le PC pour défendre une culture en voie d’extinction, eux qui se revendiquent d’aider les plus faibles ?" Reiñ mel d'an dud gant al loa vras 'nag eo! Donner du miel avec la grande cuillère... c'est cela qui est! Attirer pour embrigader en quelques sortes... En Bretagne c'est juste avant la première guerre mondiale que cela s'installe. Il est évident que le malheur des Bretons comme des petites gens est constamment exploité et ici, elle l' par l'idée de progrès si séduisante. Le problème est que l'idéologie première de ces gens là est celle de la révolution française: construire l' "homme nouveau". Pour cela, il ne doit plus avoir de culture propre, pour devenir cet homme nouveau dont le wokisme est probablement une forme d'aboutissement construite à la hâte pour proposer encore et toujours un progressisme qui finalement ne s'arrêterait pas.... En réalité, ce n'est pas l'intérêt de ces gens là de protéger les cultures des peuples. C'est contraire à l"'homme nouveau". Yves Person décrit bien la schizophrénie des Français. C'est une réalité évidente quand on observe bien ce qui s'y passe. Il y a certainement beaucoup de naïfs chez les gens de gauche dont l'idéologie de leurs partis est finalement bien trop éloignée de la réalité du genre humain. La capacité de se reconnaître dans une communauté de culture par exemple ne peux pas aller avec le Mondialisme/Universaliste. Les comportements paternalistes de ces gens là, soit disant tolérant est un mensonge humain ni plus ni moins. Cela ne veux pas dire que les autres partis n'ont pas non plus de très lourdes casseroles... Un peuple n'a pas de couleur politique...ha mat pell 'zo! C'est le principe de base...pour reconstruire.
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De Pcosquer à Kerbarh Le Samedi 25 janvier 2025 17:27
"Que fait le PS, LFI et le PC pour défendre une culture en voie d’extinction, eux qui se revendiquent d’aider les plus faibles ?" "Reiñ mel d'an dud gant al loa vras 'nag eo!" "Donner du miel avec la grande cuillère... c'est ça!" Attirer pour embrigader en quelques sortes... Un darn eus ar Vretoned o doa e lonket... En Bretagne, c'est juste avant la première guerre mondiale que cela s'installe. Il est évident que le malheur des Bretons comme des petites gens est constamment exploité et ici, elle l' est par l'idée de progrès, si séduisante. Le problème est que l'idéologie première de ces gens là est celle de la révolution française: construire l' "homme nouveau". Pour cela, il ne doit plus avoir de culture propre, pour devenir cet homme nouveau dont le "wokisme" est probablement une forme d'aboutissement construite à la hâte pour proposer encore et toujours un progressisme qui finalement ne s'arrêterait pas.... En réalité, ce n'est pas l'intérêt de ces gens là de protéger les cultures des peuples. C'est contraire à l"'homme nouveau". En fait le discours est; "on va vous sortir de la misère mais vous comprenez, vous ne pouvez pas conserver votre identité!" Les Bretons cela n'existe pas! Yves Person décrit bien la schizophrénie des Français. C'est une réalité évidente quand on observe bien ce qui s'y passe. Il y a certainement beaucoup de naïfs chez les gens de gauche dont l'idéologie de leurs partis respectifs est finalement bien trop éloignée de la réalité du genre humain. ( ici la condition humaine ) La capacité de se reconnaître dans une communauté de culture par exemple ne peux pas aller avec le Mondialisme/Universaliste. Les langues sont des obstacles redoutables... Les comportements paternalistes de ces gens là, soit disant tolérant est un mensonge, ni plus ni moins. Cela ne veux pas dire que les autres partis n'ont pas non plus de très lourdes casseroles... Un peuple n'a pas de couleur politique...ha mat pell 'zo! C'est le principe de base...pour Construire un peuple ou même le reconstruire.
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Léon-Paul Creton Le Samedi 25 janvier 2025 13:36
Kerbarh! Mais tous nous considèrent comme des "assimilés" définitifs! C'est pas faux ! comme dirait Ségolène!
Contester mollement, la contestation bretonne au niveau où elle se situe, erratique, cela ne les dérange absolument pas, vu que ce qui se manifeste ne remet pas en question leur diagnostique! NI "l'Ordre"...permanent!
(0)  Envoyer un mail à Léon-Paul Creton
TY JEAN Le Samedi 25 janvier 2025 14:21
Que dit une récente enquête parue dans plusieurs médias,ces temps derniers
( je ne retrouve pas le lien ) ?
l'un des causes annexes de la fermeture de classes, en Bretagne, ( bilingues ou non )
est due ausssi à l'arrivée en Bretagne d'une population n'étant plus en âge d'avoir des enfants ( résidences principales et secondaires).le pourcentage élevé de cette classe d'âge est particulièrement significatif et inquiétant, dans certaines communes au détriment de jeunes couples bretons n'ayant pas accès à des logements abordables
( inflation,prix exhorbitants ).
Lorsque je lis qu'un couple de retraités,non breton, se vante dans les médias d'avoir acheté une maison sur une île morbihannaise,alors que bien des bretons galèrent pour trouver une location,je ne puis qu'être révolté.
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Kerbarh Le Samedi 25 janvier 2025 16:22
Que font les wokistes pour la langue bretonne, eux qui sont favorables aux politiques inclusives pour toute les minorités ???
Que fait le PS ,LFI et le PC pour défendre une culture en voie d’extinction, eux qui se revendiquent d’aider les plus faibles ?
Ils sont comme les autres , ils ne regardent que leurs intérêts et ne pensent qu’à conserver leurs confortables places d’élus.
Pathétique tout cela..,,
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