La dernière expertise réalisée sur le Bugaled Breizh permettrait de mettre en évidence des traces de titane sur l’un des câbles du navire.
Un laboratoire français spécialisé a démontré l’usure effectuée sur l’une des torsions. Ce labo met en exergue des traces de titane, (alliage et peinture très utilisés dans la marine, aéronautique…).
À savoir que le chalutier bigouden travaillait à l’époque sur une zone de manœuvre de l’OTAN. La mise en cause du sous-marin « Dolphin » de la marine hollandaise, reste à ce jour la piste la plus probable. L'enquête définitive devrait avoir lieu dans les prochaines semaines à Quimper
ABP/MLT