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- Reportage -
Bécassine ou l'émigration bretonne vers Paris

Dans cette vidéo, le youtubeur Nicolas Graignic reprend les principaux chiffres sur l'émigration bretonne vers Paris entre 1850 et 1950.

La rédaction pour ABP le 8/06/18 8:46
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Réalisation :

Dans cette vidéo, le youtubeur Nicolas Graignic reprend les principaux chiffres et rappelle quelques éléments sur l'émigration bretonne vers Paris entre 1850 et 1950.

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Vos 4 commentaires
Léon-Paul Creton Le Vendredi 8 juin 2018 09:40
Showgirls de Paul Verhoeven. Synopsis.
"Sans famille, sans amis et sans argent, Nomi Malone débarque à Las Vegas pour réaliser son rêve : devenir danseuse. A peine arrivée, elle se fait voler sa valise par l'homme qui l'a prise en stop. Perdue dans la ville, Nomi doit son salut à Molly Abrams, costumière au «Cheetah», un cabaret réputé de la ville. Molly lui trouve un job de stripteaseuse dans une boîte où elle fait elle-même quelques extras. Cristal Connors, la vedette du «Cheetah», très attirée par Nomi, la fait engager dans son show où elle gravit rapidement les échelons. Dans les coulisses impitoyables de Vegas, Nomi devient très vite une rivale gênante."
Dans SHOWGIRLS, film américain, sorti en 1996, de Paul Verhoeven, cette jeune femme est originaire d’une petite ville du fin fond d’un état considéré par les américains comme habité par des « Ploucs », le Montana ou l’Arizona, mais elle se dit née à New YorK !....
Nomi Malone d'origine irlandaise évidente,à un passage du film refuse de se plier aux certaines exigences réclamées par les exploiteurs de cette boîte, et des jeunes femmes. Celles-ci veulent par leurs « atouts » se sortir, et de leur condition et du lieu de leur naissance, éléments stigmatisés et donc stigmatisants. Nomi rejette l’attitude du directeur ou proprio du bouge et s’en va en colère, et il lui jette : « Ciao, Bécassine ! » (41 ième minute)
Par deux fois dans ce film, la traduction française va utiliser le mot « bécassine »,
Avec entre autres remarques : « T’es sur une scène pas à la campagne ! » Á l’une des jeunes femmes...
Puis à la 51ième minute, ce même directeur balance à la cantonade , dans son bureau en regardant Nomi s’avancer, très belle: « Un jour elle ressemble à Bécassine, le lendemain à…disons Lolita ! »
Le nom « Bécassine » a donc bien une résonance imprégnée, semble imposer un « réflexe » bien installé dans les cerveaux des français, concernant sa signification et ce qu’il désigne …Que ce monde du cinéma entretient parfaitement et régulièrement! La Preuve par les Traducteurs de films ! Et producteurs, et metteurs en scène, et l'état français qui finance partiellement. Et l'État c'est qui ?...
Aux USA le plouc, le dégénéré, la Côte Est et plus largement les connards US, le nomme : « Redneck» ! Voir aussi :
http://www.musiclodge.fr/article-les-nouveaux-moralistes-vs-killer-joe-117724353.html
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Jean Albert Le Vendredi 8 juin 2018 12:07
Parisien tête de chien, Parigot tête de veau ... combien de fois l'avez vous dit à vos propres cousins venus vacances chez la grand-mère en Bretagne ??? Sans oublier le Rosbif adressé au touriste ...
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P. Argouarch Le Vendredi 8 juin 2018 15:17
@Creton : Quel était le mot anglais d'origine que le traducteur français a traduit par Bécassine ?25
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Léon-Paul Creton Le Vendredi 8 juin 2018 20:34
Philippe, je ne connais pas l'expression ou le mot utilisé dans la version originale des dialogues, qui s'est retrouvé traduit en version française, par "Bécassine".
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