Green peace [pdf1] aurait réussi à se poser avec un ULM à proximité du site (en construction) de la centrale nucléaire de Flamanville dans le Cotentin, prouvant par là, que pour le moment un commando d'islamistes pourrait débarquer par surprise en ULM et saisir la salle de contrôle du réacteur. Une fois au contrôle, il serait alors possible, selon l'avancement des travaux, de provoquer un meltdown similaire à celui de Tchernobyl, voir une explosion nucléaire.
Pour rappel, le 16 mai dernier, Stéphane Lhomme, porte-parole du réseau Sortir du nucléaire, était placé en garde à vue par la DST pendant plus de quatorze heures, son domicile perquisitionné, ses ordinateurs et son téléphone portable saisis, pour détention d’un document « Confidentiel Défense » sur l’EPR [document2]. Le document adressait jsutement le sujet de la vulnérabilité des centrales nucléaires face au terrorisme.
ABP/PFA
Philippe Argouarch