




Dimanche 28 juillet à 17 h 45 sera décerné le titre de Reine de Cornouaille 2013 à la jeune fille ayant présenté un mémoire sur la culture bretonne qui aura retenu l'attention du jury.
Dimanche 28 juillet à 17 h 45 sera décerné le titre de Reine de Cornouaille 2013 à la jeune fille ayant présenté un mémoire sur la culture bretonne (titre entre parenthèses) qui aura retenu l\'attention du jury. La jeune fille ainsi que ses demoiselles d\'honneur représenteront le Festival de Cornouaille lors de manifestations festives et culturelles pendant un an.Sont prétendantes : Penhars : Amélie Brette (La transmission de la danse) ; Bannalec : Manon Debosscher (L\'évolution de la coiffe) ; Pluguffan : Justine Desmares (L\'amour dans les chants en Bretagne) ; Dañserien Kemper : Anaïs Ebrel (L\'Épée : un lieu emblématique de Quimper) ; Le Faou : Élodie Floch (Les carrières de l\'Hôpital-Camfrout) ; Saint-Évarzec : Justine Hamon (\"Amann\") ; Combrit : Mona Lagouche-Guéguen (La bigoudène... du costume au style) ; Rostrenen : Marion Le Bihan (L\'évolution de l\'accordéon dans le Centre-Bretagne) ; Mûr-de-Bretagne : Anaëlle Le Bris (Anne de Bretagne et la place de Nantes en Bretagne) ; Kerfeunteun : Aurélie Le Corre (De la fête des Reines au Cornouaille Quimper : histoire d\'une fête populaire bretonne) ; Elliant : Mélanie Le Meur (Guy Cotten, l\'homme qui a fait l\'entreprise) ; Pont-l\'Abbé : Anaïs Meur (La broderie bigoudène dans tous ses états) ; Landrévarzec : Manon Pennec (Les enfants, les futurs transmetteurs de la culture bretonne) ; Spézet : Romane Salaün (Émigration des Bretons en Amérique) ; Saint-Nicolas-du-Pélem : Marion Sànchez (Le cheval breton de son insertion à aujourd\'hui) ; Plougastel : Alizée Séguillon (Le costume masculin à Plougastel) ; Plomelin : Camille Trépos (\"Gwilhou Vihan\" Pierre Trépos 1913-1966) ; La Forêt-Fouesnant : Enora Tudal (Gouren, c\'est aussi un sport féminin) ; Beuzec-Cap-Sizun : Manon Velly (La Pointe du Raz). Source : penhars-infos
Commentaires (1)
Puis il y a eu exigence de la rigueur dans le costume et le port de la coiffe, fin des années 50.
Puis vint l’invention de quelques questions orales à ces demoiselles sur la Bretagne...
Il est vrai que dans la plupart des cercles et des bagadoù ce qui comptait pour les jeunes c'était danser et sonner... Je pense que c'est Bernard de Parades qui a commencé à être exigeant, pour la culture bretonne des reines.
Maintenant on en est au stade du mémoire, écrit !
Les sujets sont variés et intéressants. Le choix du jury sera difficile.
La reine aura vraiment de quoi être fière.
Komz un tammig brezhoneg a vo goulennet dezho ivez ?
Leur demandera-t-on aussi de parler un peu breton ?
Bravo le Festival !
Et si la même chose était demandée aux bagadoù des concours, en travail collectif... ?