L'association loi de 1901 « l'Alphabet du Respect des Enfants de A à F» (ARE, Association Bretonne pour la Convention des Droits des Enfants) a pour buts :
-de promouvoir le respect des besoins civilisés des enfants, en particulier tels qu'ils sont décrits dans la CONVENTION INTERNATIONALE RELATIVE AUX DROITS DES ENFANTS, et plus spécialement dans ses articles 2, 9, 16, 18 et 29, convention violée chaque jour dans les tribunaux français depuis sa ratification,
-de promouvoir l'égalité de respect dû aux parents, même désunis, et tendre à faciliter leur liberté d'aimer et d'éduquer leurs enfants, sans immixtion administrative ou juridique inutile et/ou arbitraire, et dans la volonté de négocier sur la base des responsabilités parentales, privilégiant forcément les devoirs aux droits ;
-de prévenir les désunions parentales hâtives, de « déjudiciariser » cette problématique illégalement capturée d'emblée par la machine judiciaire dans son seul intérêt et sous prétexte de « droits », et de promouvoir des outils sociaux alternatifs, neutres et bienveillants, respectueux des lois de ce pays qui se plaide grossièrement être une République.
Pourquoi un abécédaire de l'Alphabet du Respect des Enfants ?
Parce que « Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement » (Nicolas Boileau)
Et parce que « A mal nommer les choses on aggrave le malheur du monde » (attribué à Albert Camus)
Les nouveaux maux sociétaux nous imposent de promouvoir de nouveaux mots pour les décrire, pour les voir en les nommant, pour en dénoncer les responsables, et pour sortir de cet étouffement managérial illégal en France, hyper autoritaire et pervers, subi par les parents sous prétexte de discriminer leurs « droits » selon l'appartenance sexuelle et sous prétexte qu'ils se désunissent. Sans nullement changer ou « progresser », notre société s'est transformée de façon si pernicieuse que l'usage des anciens mots et concepts ne permet plus de décrire la pollution que les parents subissent jour après jour dans les tribunaux français violant de façon organisée la morale civilisée, la CIDE ratifiée, la Constitution française (depuis 1990), les responsabilités parentales et les besoins fondamentaux des enfants.
Quelques néologismes en phase avec la néo-colonisation des parents par l'appareil judiciaire et plus largement les tas ou l'état de droits permettront d'éclairer le truquage pseudo-légal organisé par le marketing judiciaire qui explique que dans le silence et la peur :
- tant de mères sont instrumentalisées par flatterie typiquement commerciale avec des bénéfices dans le seul court terme,
-tant de pères sont cassés dans une spirale des désinsertions jusqu'à la déchéance totale, l'amnésie programmée, les troubles dits « bipolaires », le suicide ou les formes hétéro agressives de passages à l'acte dans la rue, ou au travail ;
-tant d'enfants-prétexte errent sans repères, sont aliénés à la « vérité judiciaire » qu'on leur impose directement ou par l'interposition d'un parent mi- manipulé mi- acheté dans des cabinets d'avocats et des chambres familiales asservies, étant conditionnés dès l'enfance à la dépression ou à la violence.
1) Ajustice : parler « d'injustice » est insensé et politiquement erroné. Le mot « ajustice » décrit cet appareil d'état amoral, qui fait mine de juger selon les règles républicaines, alors qu'il normalise, broie, privilégie, exploite, manipule et tue tous les jours dans le seul intérêt de la corporation judiciaire et parajudiciaire. L'ajustice ne commet jamais d'erreur. Elle manage la société sous prétexte parental. Nous ne pouvons plus croire qu'elle se trompe ou manque de moyens. Elle nous trompe et se sert de nous comme moyens de faire la fortune des cabinets d'avocats totalement irresponsables.
IL FAUT CROIRE EN L'AJUSTICE DE NOTRE PAYS, mais ne plus croire en la justice de notre pays.
Etouffoir : à l'instar de « l'Assommoir » décrit par Zola pour parler de la condition ouvrière et des mineurs, « l'Etouffoir » parle de cette décadence programmée de nos valeurs morales, dans le déni des trois pouvoirs républicains théoriques, terrassés par le pouvoir judiciaire, dans l'abandon progressif des médias sous contrôle judiciaire (et notamment de « Radio-France », qui n'est plus que le hautparleur des robes noires, invitant quotidiennement des avocats, des juges et des procureurs comme on aurait jadis invité des hommes de valeur et des scientifiques crédibles, à seule fin de travestir la vérité sociale en vérité judiciaire et de maquiller l'énorme responsabilité de l'appareil répressif dans la dérive sociétale actuelle). L'étouffoir actuel assomme méthodiquement, « un par une », toutes celles et tous ceux qui résistent, qui prouvent que leur vie familiale a été sabotée de façon normalisée pour que leur cas passe à la moulinette procédurière convenue par le management judiciaire. S'ils engagent un avocat, celui-ci a toutes facilités pour dénaturer leur histoire, pour les faire entrer de gré ou de force dans l'e moule de l'aliénation juudiciaire. S'il se suicide, la presse évoquera sa maladie mentale. S'il devient violent, le procureur gestionnaire le déclarera « forcené » grâce à cette même presse servile et le plus souvent post-mortem. L'appareil judiciaire n'a pas supprimé la peine de mort au détriment d'assassins : il l'a démultiplié au détriment d'innocents qui voulaient rester pères.
Juristocratie : Nous ne sommes plus dans une aristocratie ou une démocratie. Les juristocrates tiennent le peuple en aliénation judiciaire illégale. Leur coup de force néocolonial sur la population civile a commencé par la maîtrise des parents sous prétexte de droits, en flattant les mères afin de les fidéliser, du moins tant que leurs enfants sont jeunes. Et tels les anciens nobles que leurs ancêtres décapitèrent durant la Terreur, les robes noires contemporaines ne sont jamais comptables des malheurs si lourds que leurs agissements irresponsables entrainent chaque jour. L'armée des robes noires est bien plus efficace que celle des soldats d'antan pour asservir la population sous prétexte de droits de l'Homme et en l'occurrence de privilèges féministes pervers.
Légazisme : dans le passé, à partir de 1933, le nazisme a contaminé les démocraties. A ce jour terrassé, sauf dans le souvenir passionnel de nostalgiques pro ou anti nazis qui n'ont d'ailleurs ni combattu ni servi cette horrible idéologie, le légazisme lui a succédé. Cette idéologie perverse viole notre Constitution, transcende tous les clivages politiciens. Tous les partis actuels sont légazistes, c'est-à-dire au service d'un pouvoir judiciaire déjanté, devenu maitre des deux autres pouvoirs républicains dans un état cul par-dessus tête, ayant abandonné l'idéal social préventif du CNR (Conseil Supérieur de la Résistance) pour vendre la population aux à l'idéologie répressive, à savoir aux spéculations judiciaires de nos nouveaux maitres et saigneurs postféodaux : les avocats « divorcistes » et leurs confrères profitant ensuite des suites pénales que leurs des violences institutionnelles vont entrainer, dans le déni de toute vraie déontologie.
Zombries : Bien après « l'Armée des Ombres » s'opposant au nazisme et si bien illustrée par le réalisateur Melville, se lève une armée des « zombries », ces encore vivants ayant survécu au légazisme familial mais n'ayant -malheureusement pas pour lui- perdu la raison, le courage et la mémoire.
Le droit familial ne sert plus le peuple, mais les juristes. RESISTER AU LEGAZISME EST UN DEVOIR.