
Les députés bretons ont brillé par leur absence lors du vote de la Loi Molac en faveur des langues régionales
Le projet de loi de Paul Molac a été adopté en première lecture par l'Assemblée nationale, jeudi 13 février. Même si des articles importants ont été rejetés, des avances sont à noter pour la signalisation bilingue, l'entrée de lettres d'alphabets de langues régionales dans l'état-civil ou la protection des langues régionales ajoutée à la loi Toubon de 1994 en faveur de la langue française.
Aussi sur ABP…La loi Molac en faveur des langues régionales adoptée en première lecture
Le jeudi 13 février, la loi sur les langues régionales, dite loi Molac, du nom du député breton qui l'a présentée, a été adoptée en première lecture par 46 voix sur 49 députés présents.
Les sept députés bretons qui ont voté la loi sont Paul MOLAC, Marc LE FUR, Yannick KERLOGOT, Erwan BALANANT, Thierry BENOÎT, Liliane TANGUY, Gilles LURTON
Les trente députés qui se moquent de la langue bretonne :
AMADOU Aude
BACHELIER Florian
BERVILLE Hervé
BOTHOREL Éric
BRUNET Anne France
CLOAREC-LE NABOUR Christine
DANIEL Yves
DE RUGIS François
DUFEU-SCHUBERT Audrey
EL HAÏRY Sarah
ERRANTE Sophie
FERRAND Richard
HAURY Yannick
JACQUES Jean Michel
JONCOUR Bruno
JOSSO Sandrine
LAABID Mustapha
LARSONNEUR Jean Charles
LE BOHEC Gaël
LE FEUR Sandrine
LE GAC Didier
LE MEUR Annaïg
LE PEIH Nicole
MAILLART-MÉHAIGNERIE Laurence
MELCHIOR Graziella
OPPELT Valérie
PAHUN Jimmy
PELLOIS Hervé
ROUAUX Claudia
ROUILLARD Gwendal
ABP sera là lors du vote des sénateurs et lors du vote final à l'Assemblée nationale.
Commentaires (14)
Peseurt tu politikel zo da bep hini anezhe?
Les Breton(ne)s confient leur pouvoir délégataire à des gens qui ont peu de convictions dans biens des domaines hélas .Par contre , ils monteront sur les estrades politiques pour conserver l'assemblée régionale de Bretagne administrative la main sur le coeur pour défendre les intérets bretons avec " le mouvement des progressistes bretons " . Il suffira de déplacer Jn -Y le Drian et que la presse fasse le travail .... et hop réélection , Chesnay - Girard accordera 2, 23 euro à chaque Breton(ne)s pour sauver la langue bretonne comme il le fait actuellement ....
Il nous faut penser autrement et financer ce plan sans rien attendre de Paris .
Sinon, ils recommenceront !
ET vous, responsables d'association, l'avez-vous fait ?
Il ne faudra pas se plaindre ensuite si rien ne bouge, si nous, associations de Bretagne, ne sommes pas capables d'envoyer 1000 lettres de protestation (sur 100 000 adhérents , ou plus, d'associations bretonne), cela fait 1% des adhérents.....
L'avenir de notre langue menacée de disparition, est sous notre responsabilité à tous.
Se décider et déterminer un grand projet, déterminées, des actions fortes, les faire connaître et les proposer à la réflexion longtemps à l’avance, informer, et éveiller en se donnant les moyens efficaces la plus grande part possible des Bretons ! Puis organiser, être opérationnelles pour la révolutions dans les urnes, rêvée, lors « élections » venues et re-re-revenues ; et bien ce ne sera une fois de plus, pas pour cette fois-ci !
Vu le temps nécessaire et les moyens pour que la confiance dans un projet bien défendu pénètre, intéresse et convainc le Peuple Breton l’on peut, avec toute la connaissance de l’historique des échecs accumulés, parier sur le prochain qui n’aura rien à envier à tous les autres ! Il n’y a aucune magie réelle, ni de transformation par magie chez et par les illusionnistes!
Dans cet article, tous ces élus qui ne cachent plus, ouvertement, leurs désintérêts d’une Bretagne autre que comme une colonie française inerte, utile et soumise à leur service et pour leurs carrières, et d’autres qu i ne se privent pas d’une opportunité que quelques pourcents les réinstallent dans le fauteuil!
Alors qu’attendre de ceux qui sans doute deviendront plus nombreux dans ce pauvre pays breton, et qui ont des noms et prénoms qui évoquent d’autres racines, d’autres intérêts égoïstes dont les aboutissements les épanouissements ne peuvent que se réaliser dans le renforcement du centralo-jacobinisme parisien ! ? Pas dans le vide des Bretons!
comme président de l'assemblée jacobine française et comme ministre.
Nous l'avions dit c'était "un mirage...."
Bizarre l'absence de Sandrine Josso ....