a-zehou. être de droite, le point de vue breton.

Ce modeste document que vous présente Kelc'h Studi Breudeuriezh Vreizh se veut une réflexion politique, une ébauche idéologique et une analyse rigoureuse des deux grandes philosophies politiques actuelles. Vingt pages

Ce modeste document que vous présente Kelc'h Studi Breudeuriezh Vreizh se veut une réflexion politique, une ébauche idéologique et une analyse rigoureuse des deux grandes philosophies politiques actuelles. Vingt pages seulement pour proposer aux Bretons la nécessité d'une véritable élaboration doctrinale, une réflexion politique cohérente, une justification convaincante et un discours abordable par tous. Certains verront dans les analyses présentées un impitoyable réquisitoire contre la gauche. Réquisitoire, oui, sans aucun doute. Impitoyable, non, simplement la dénonciation d'un schéma caduc, d'une gigantesque imposture, d'une escroquerie intellectuelle ! C'est mettre, enfin, un terme au viol des consciences pratiqué à l'égard des plus démunis, des plus faibles et refuser la confusion faite entre « égalité des chances » et égalitarisme qui pénalise les plus méritants. Nous devons nous affirmer pour ce que nous sommes : des femmes et des hommes de droite, en pesant nos mots, certes, mais avec fermeté. Un discours contre nature par rapport à nos convictions politiques est au contraire de nature à faire fuir les bonnes volontés. Une véritable Droite bretonne, populaire, sociale et nationale, une Droite bretonne rétablissant l'ordre et le droit, mettant ainsi l'autorité au service de la Liberté.

Cercle d'Etudes de la Fraternité Bretonne.

Prix : 6 € port compris.

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3 leurenn al Landrel

35200 Roazhon

Commentaires (4)

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P. Argouarch Mercredi 2 mars 2011 15:17 #

Ce livret est en total contradiction avec ce qu'a affirmé Pierre Le Moine à Ségal samedi dernier quand il a dit "Breton d'abord". On peut être de gauche ou de droite comme dans toutes les démocraties modernes mais dans le cas de la Bretagne, tout ça doit être mis en veilleuse tant que la Bretagne n'a pas acquis les institutions qui lui permettront justement d'avoir des élus de gauche et de droite et de débattre. Pour reprendre l'expression de Le Moine "se diviser sur le sujet est un suicide" et fait bien rire nos adversaires qui n'en demandent pas tant. Le bon sens dit: "Ne pas mettre la charrue avant les boeufs".

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Padrig Montauzier Mercredi 2 mars 2011 17:26 #

Non mon cher Philippe Argouarc’h il n’y a aucune contradiction avec les propos tenus par mon vieil ami Per Lemoine lors du dernier Congrès d’Adsav. Je tiens à représenter un courant politique à l’intérieur de l’Emsav, courant tout aussi respectable qu’un autre. Il en est de même à l’intérieur du Parti du Peuple Breton où les sensibilités se côtoient sans aucun problème. On peut ainsi dire que nous savons faire l’Union dans notre propre parti. Je partage tout à fait ton propos sur la conduite à adopter dans le cadre d’une lutte de libération nationale. Malheureusement certains rejettent depuis toujours une telle Union.
Toutes mes amitiés nationalistes bretonnes.

Padrig Montauzier Mercredi 2 mars 2011 17:38 #

Afin de complèter les précisions précédentes je me permets de citer la conclusion de la brochure :
Ensemble aimons la Bretagne, pensons la Bretagne, bâtissons la Bretagne. Avançons sciemment et avec
conviction sur la voie que nous nous sommes tracés
entre tradition, innovation et modernité. Rassemblons
une majorité du peuple breton autour de nos valeurs,
conformes à nos principes républicains et fidèles aux
plus anciennes traditions des peuples européens.
Ensemble, hommes et femmes de Bretagne, édifions
la République bretonne. C’est notre futur chantier si
nous voulons sortir des griefs de la désespérance.

Paul Chérel Jeudi 3 mars 2011 17:33 #

A t’on vraiment besoin de dire qu’on est “de droite” pour dire que l’on ne partage pas les idées populistes et démagogiques, à caractère purement électoraliste, des gens qui se proclament “de gauche”et qui ne se font pas faute de cataloguer “de droite” tous ceux qui n’adhèrent pas à leur point de vue. Le débat gauche/droite est typiquement français et n’a pas sa place en Bretagne. Il n’est que le signe d’une vacuité intellectuelle, une pâle copie des idées étroites des dirigeants hexagonaux et de leurs porte-parole médiatiques. Paul Chérel

a-zehou. être de droite, le point de vue breton.

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