1er mai 2012 : nous sommes tous des travailleurs !

- Communiqué de presse -

"Le 1er mai, nous allons organiser la fête du travail, mais la fête du vrai travail, de ceux qui travaillent dur, de ceux qui sont exposés, qui souffrent, et

Nil Caouissin pour Union Démocratique Bretonne / Unvaniezh Demokratel Breizh le 26/04/12 18:45

"Le 1er mai, nous allons organiser la fête du travail, mais la fête du vrai travail, de ceux qui travaillent dur, de ceux qui sont exposés, qui souffrent, et qui ne veulent plus que quand on ne travaille pas on puisse gagner plus que quand on travaille", a osé déclarer le président-candidat Nicolas Sarkozy , celui-là même dont les politiques ont augmenté le nombre des chômeurs de plus d' 1 million, celui qui refuse de revaloriser le SMIC alors que le coût de la vie ne cesse d'augmenter, celui qui a détricoté méthodiquement les acquis sociaux . Celui-là même qui devrait être le garant de la cohésion sociale déclare la guerre aux travailleurs, aux retraités, aux chômeurs, aux étudiants, aux intermittents du spectacles, aux RMistes.

L'UDB dit stop au mépris et à la démagogie. Il n'y a pas d'un côté les "vrais travailleurs" et de l'autre des "sous citoyens profiteurs". Par contre, il y a plus de 4 millions de chômeurs ou travailleurs précaires, 150.000 jeunes qui quittent l'école chaque année sans diplôme et sans formation, des seniors de plus de 50 ans usés ou jugés trop vieux, des personnes handicapées ou malades qui ne peuvent pas ou ne peuvent plus travailler... Cette situation sociale dramatique demande une action politique volontariste et le 6 mai un changement de président de la République.

Le 1er Mai 2012, l'UDB appelle à la mobilisation dans l'unité pour la défense de nos droits sociaux, pour montrer que nous refusons le jeu de division et de haine de Sarkozy, pour affirmer tous ensemble que nous voulons une République solidaire et fraternelle.

Pour l'UDB,

la porte-parole Mona BRAS

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Vos 4 commentaires :

JBB Le Jeudi 26 avril 2012 20:08

A propos de "sous citoyens profiteurs", n'oublions pas leur "Dieu" qui a fait augmenter son "salaire" de manière éhontée dés sa prise de fonction !!!

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Pierre CAMARET Le Vendredi 27 avril 2012 06:39

Et vous Madame MONA BRAS , vous etes une "TRAVAILLEUSE" ??????
C'est vrai que pour la demagogie pas mal dutout .

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Nonnot Le Vendredi 27 avril 2012 11:35

Le parasitisme social est favorisé par le système français, modèle d\'incitation à l\'incivisme, qui permet les collusions à tous les échelons administratifs : cooptation des élites à Paris au sein de l\'ENA, de clubs discrets qui unissent patrons, syndicalistes, financiers et administratifs de tous bords (comme le SIECLE dont Jean Bothorel a révélé les dessous, les Loges FM si fraternelles, etc.), lobbies divers qui pompent les subventions publiques (gay, islamique, etc.), maffia de l\'édition et de la distribution, du show-biz et du journalisme officiel, mafias de la \"Culture\"). Malheur au citoyen lambda qui n\'appartient à aucun groupe de pression et d\'intérêt, qui n\'a pas d\'\"amis\" politiques, qui n\'habite pas le triangle sacré où tout se décide (St-Germain-des-Près - Odéon - Concorde). La Bretagne, dernier cercle de la périphérie française, connaît aussi ce \"système intégré\" dont \"les travailleurs\" ne profitent pas tandis que les copinages, dont les plus solides sont les réseaux socialistes et apparentés, marchent à fond. La Gauche dirige la France des régions et sait fort bien jusqu\'où ne pas aller pour remettre en cause un système qui lui convient parfaitement. Dans le déclin de l\'Ecole des illettrés, la Gauche a une lourde responsabilité idéologique, comme la Droite en a la responsabilité administrative et comptable. De même en matière d\'immigration (donc de mise au pas des travailleurs bretons), d\'urbanisation démentielle, etc.
Le mal français c\'est une fonction publique pléthorique, la tyrannie de Bercy et surtout la parfaite connivence entre la Gauche et la Droite, qui sont les deux faces d\'un même projet : le Marché. L\'UDB se range objectivement avec l\'aile gauche de ce système de destruction du peuple.
La Suisse s\'en tirera peut-être, pas la France, et surtout pas la France de Hollande-Gambetta.
Quant à la Bretagne, elle suivra les directives du Centre, avec dix ou trente ans de retard, comme d\'habitude. Ca tient de la religion.
Reviens, Mitterrand ! reviens Jack lang, reviens Strauss-Kahn, reviens Pierre Berger, reviens Chevènement. Ayrault vous attend, Mélanchon vous convoite, \"les travailleurs\" vous pardonnent d\'avance, Amen.

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Arzh-bihan Le Vendredi 27 avril 2012 13:38

Communiqué particulièrement franco-français, le nom cité en \"source\" pouvant être remplacé par n\'importe quel nom de parti d\'opposition de l\'hexagone !
Deux ou trois chiffres bretons, c\'est quand même pas grand chose ...
Quant-au fond, la comédie électorale passée, la carte des menus présentée par les deux cuistots sera la même dans les deux auberges .
Ayant les mêmes fournisseurs, seuls les noms de plats changeront ...
Le premier pizzaiolo venu y verrait plus clair que nos grands chefs bretons.

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