Vingt-cinq ans de travail acharné pour faire d'un manoir du XVe siècle en ruines un haut lieu de la culture bretonne, du chant, de l'accueil de bretonnants (stages cours, centres de vacances ...)
Yann Puillandre, le maître des lieux est écoeuré : il lui faudrait 200 000 euros pour remonter la pente, et la liquidation devrait s'opérer lors du procès du 2 septembre. Ti Kendalc'h a disparu, est-ce le tour de Kan an Douar d'être mis en vente ?dans un cadre exceptionnel.