- Appel -
Appel à une manifestation régionale à Nantes contre la répression
Au vu de l'actualité, suite à la rencontre de divers comités de soutien et antirépressifs de Bretagne et à leur initiative, trois réunions ont eu lieu à Saint-Nazaire et Nantes
Par Jonathan Guillaume pour 44=Breizh le 14/04/09 7:02
Au vu de l'actualité, suite à la rencontre de divers comités de soutien et antirépressifs de Bretagne et à leur initiative, trois réunions ont eu lieu à Saint-Nazaire et Nantes pour lancer un appel unitaire contre toutes les répressions.
Nous invitons le plus grand nombre, malgré nos divergences, à signer et à se joindre à cet appel pour contrer, dans l'unité, la répression politique et sociale qui s'exerce de plus en plus fortement contre nombre d'entre nous.
Nous vous invitons à la prochaine réunion autour de cet appel le mardi 21 avril 19 heures à B17, 17 rue Paul Bellamy à Nantes, à participer et à appeler à la manifestation régionale antirépressive du samedi 25 avril à Nantes, à échanger avec nous les informations que chacun peut avoir sur l'actualité de la répression politique et sociale.
Manifestation régionale antirépression du samedi 25 avril à Nantes, à 14 heures place Bretagne
Ci-joint l'appel unitaire contre toutes les répressions.
Jonathan Guillaume, chargé de la diffusion de l'appel
06 12 30 67 15
44=Breizh est un collectif de jeunes militants pour la Réunification de la Bretagne et contre la propagande assimilatrice de la Région Pays de la Loire.
44=Breizh, c’est parce que la propagande « Pays de la Loire » qui inonde notre vie quotidienne, nos lycées, nos lieux de formation, mérite une réponse.
44=Breizh, c’est parce la politique d’acculturation « ligérienne » est inadmissible.
44=Breizh, c’est parce que depuis trop longtemps le peuple breton réclame son unité territoriale, avec beaucoup de promesses et d’espoirs, mais jamais d’actes.
Constitué depuis début 2008, le collectif 44=Breizh vise à regrouper la jeunesse bretonne qui dit non à la partition et à la région « PdL ». Malgré 37 ans de « PdL » et de séparation, nous, jeunes de 15 à 30 ans, réclamons fortement