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C'est le romancier Stéphane Hoffmann qui vient de se voir attribuer le Prix Breizh (Bretagne) décerné chaque année par un jury présidé par Patrick Poivre d'Arvor et dans lequel on trouve Stéphanie Janicot, Annaïg Renault, Jean Picollec, Gilles Martin-Chauffier, Jean Bothorel, Georges Guitton, Jean-François Coatmeur, Yann Queffélec, Érik Orsenna, Patrick Mahé, Hervé Jaouen, Georges-Olivier Châteaureynaud et Philippe Le Guillou.
Ce prix, créé en 2001 à l'initiative de Gwenn-Aël Bolloré (1925-2001), a succédé au Prix Bretagne qui avait été fondé en 1961 par l'association bretonne de Paris : Ar Pilhaouer.
Il a été attribué :
— en 2001 à Marie Le Drian pour La Cabane d'Hippolyte (Julliard) et à Mikaëla Kerdraon pour Xavier Grall, une sacrée gueule de Breton ;
— en 2002 à Jean-Luc Coatalem pour Je suis dans les mers du sud sur les traces de Gauguin (Grasset) ;
— en 2003 à Yann Queffélec pour Boris après l'amour (Fayard) ;
— en 2004 à Michel Chaillou pour 1945 (Seuil) ;
— en 2005 à Charles Le Quintrec pour l'ensemble de son œuvre ;
— en 2006 à Kenneth White pour La Maison des marées;
— et en 2007 à Jean-Paul Kaufman pour La maison du retour.
Cette année il est décerné à Stéphane Hoffmann pour son roman Des filles qui dansent (Albin Michel), dont l'intrigue a pour cadre principal la station balnéaire de La Baule.
Ce prix sera remis à Stéphane Hoffmann le jeudi 22 mai dans les nouveaux locaux de la Maison de la Bretagne à Paris, 8 rue de l'Arrivée.
Né à Saint-Nazaire le 6 mars 1958 , Stéphane Hoffmann a obtenu à l'Université de Nantes une licence d'histoire en 1980, puis une maîtrise de droit privé en 1883. Il a travaillé dans les relations publiques et la communication à partir de 1986 et il est devenu chroniqueur dans divers journaux, dont Le Quotidien de Paris, disparu en 1996, et Le Figaro Magazine. Il a publié déjà une douzaine de livres, dont
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