Le contrepied du discours de Marseille ? C'était lundi.

Alors que Maryvonne Blondin supprime les subventions aux éditeurs de langue bretonne pour les adultes en Finistère, les prix littérature jeunesse en breton, alors que tous (ou presque) des élus de gauche veulent signer la charte, mais ne parlent plus de textes de lois, voici Jean-Yves le Drian qui dit qu'il "aime la France et qu'il est pour la ratification".

Son engagement auprès des autres élus bretons, politiques et associatifs, de tout bord politique prouve qu'il a réussi le pari d'installer les lycéens dans des locaux dignes de ce nom. Arrivera-t-il pour autant à convaincre ses collègues socialistes ?