Les États généraux de l'alimentation ont permis le constat unanime du manque de rémunération paysanne. La nécessité de création et surtout de répartition de valeur sont réelles. Or, les entreprises laitières, assises sur une situation plutôt confortable, ne souhaitent pas, sans surprise, changer leurs habitudes. Ainsi, les discussions interprofessionnelles patinent et nous sommes loin d'un changement de paradigme dans la construction du prix. Alors que le conseil d'administration du ...Ce communiqué est paru sur Confédération paysanne (voir le site)