(voir le site) " alt="24174245_385039611935690_274717003991419915_n - Copie" width="1028" height="771" /> Le Contrat Territorial Emploi-Formation (CTEF) de Ploërmel-Pontivy-Loudéac réunit nombre d’acteurs afin de travailler sur les problématiques économiques du territoire. L’idée ? Répondre aux enjeux actuels, notamment celle du manque de main-d’œuvre dans le domaine de l’agriculture et de l”agroalimentaire ; mais également d’avenir, en misant sur les projets de biotechnologie. Lutter contre le chômage est une priorité. Aussi, au regard de cet enjeu de taille, toutes les initiatives sont bonnes à prendre. Comme celle prise par l’Etat et la Région Bretagne de faire tomber les frontières entre les départements du Morbihan et des Cotes d’Armor, grâce à la création du Contrat Territorial Emploi-Formation (CTEF) de Pontivy-Ploërmel-Loudéac, aevec, à la clef, la mise en place d’un service public de l’emploi de proximité. Articuler les politiques entre les différents acteurs Grâce à ce contrat territorial emploi-formation (CTEF) interdépartemental, l’Etat et la Région Bretagne souhaitent développer une nouvelle approche de ses politiques d’emploi et de formation. Conduite en partenariat avec les partenaires sociaux, la démarche a pour but d’articuler les politiques de formation, de développement économique et de développement du territoire ; mais également d’agir en proximité des publics et des entreprises pour mieux répondre aux problématiques de qualification et de recrutement. Un besoin de main d’œuvre dans le domaine de l’agriculture et de l’agroalimentaire Ensemble, les différents acteurs, qui se sont réunis récemment réunis à Loudéac, ont identifié une problématique commune aux trois territoires : celle d’un besoin de main d’œuvre dans le domaine de l’agriculture (porchers, vachers…) et de l’agroalimentaire (conducteurs de lignes, opérateurs…). C’est pourquoi les différents acteurs, que sont l’Etat, la Région, Pôle emploi, les Missions locales ou encore les Chambres consulaires concentreront leurs efforts sur la réinsertion et la formation professionnelle. Miser sur les projets de biotechnologie Un autre sujet, également très présent lors des échanges : la nécessité d’anticiper et de préparer les secteurs d’activités de demain, notamment en privilégiant les projets de biotechnologie. L’idée ? Imaginer la synthèse de nouveaux produits, plus écologiques puisque d’origine végétale ou animale, afin de trouver des solutions alternatives à l’emploi de produits issus de l’industrie pétrochimique. (voir le site) " alt="24232014_385041691935482_5552693929595556465_n - Copie" width="416" height="234" /> (voir le site) " alt="24232064_385039595269025_6477494836243695682_n - Copie" width="310" height="233" />