Les États de Bretagne Provisoires s’étonnent du montant de la dette française : deux mille milliards d’euros ! A quel projet breton les impôts prélevés illégalement ont-ils servis ?
L’acte d’union de la Bretagne à la France, du 4 août 1532, toujours valide, précisait bien que les impôts ne pouvaient pas être prélevés en Bretagne sans l’accord des Bretons. Les États de Bretagne provisoires n’apprécieraient pas du tout que ces impôts soient engloutis par ce déficit et les frais qu’il engendre.
L’incompétence du gouvernement français démontre une fois de plus que les Bretons sont considérés actuellement comme fournisseurs d’euros en attendant de servir, sans doute, comme leurs grands-parents, de chair à canon dans le prochain conflit qui suit logiquement toute déroute financière.
Pour les États de Bretagne provisoires, Herve Le Bévillon