Fermeture d'usines, plans de licenciements, filières agricoles menacées, éco-taxe… : Mobilisons-nous le samedi 2 novembre à Quimper Grande Manifestation pour l'emploi et la Bretagne ! Salariés de l'agroalimentaire, agriculteurs, marins, élus,
Fermeture d'usines, plans de licenciements, filières agricoles menacées, éco-taxe… :
Mobilisons-nous le samedi 2 novembre à Quimper
Grande Manifestation pour l'emploi et la Bretagne !
Salariés de l'agroalimentaire, agriculteurs, marins, élus, syndicats, commerçants, artisans, transporteurs… toutes les populations touchées d'une manière ou d'une autre par la crise sans précédent qui touche l'économie bretonne sont invitées à se rassembler pour dire non au déclin de la Bretagne le samedi 2 novembre à 15 h à Quimper !
Le comité pour le maintien de l'emploi créé, vendredi dernier, à Carhaix, par plus de 600 personnes, et qui s'oppose à la fermeture de l'usine Marine Harvest à Poullaouen, invite en effet l'ensemble des Bretonnes et des Bretons à une grande manifestation.
Ce rassemblement se tiendra place de la Résistance. Il entend fédérer tous les acteurs de l'économie : agriculteurs, marins, salariés de l'agroalimentaire, commerçants, artisans, syndicats, transporteurs, élus, l'ensemble des populations à se mobiliser pour l'emploi en Finistère et en Bretagne. Cette manifestation aura aussi pour but de dire non à l'éco-taxe en Bretagne au moment même où des pans entiers de l'économie bretonne sont touchés ou menacés.
Commentaires (3)
Depuis deux ou trois ans, la DIRO essaie de transférer aux communes l'entretien des ponts surplombant les voies express. La plupart des ponts va atteindre 40 ans, age de maturité pour ces ouvrages d'art.
Voir par exemple à Rédéné (Pays Vannetais) :
http://www.ouest-france.fr/actu/actualite-video_-Histoire-de-ponts_40821-2212796--------63319_actu.Htm
Outre la question sociale actuelle, il faut que l'état français sente que les Bretons souhaitent assumer leur indépendance. Mais il faut aussi que les Bretons sachent que l'indépendance de la Bretagne nécessitera des investissements autres que ceux que la France a décidés pour eux. Il faudrait que la crise dure jusqu'aux élections municipales, afin que la capacité financière des collectivités locales devienne un enjeu du scrutin.