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- Communiqué de presse -
Pics de pollution dans les grandes villes… et si on essayait un autre aménagement du territoire ?

Circulation alternée, circulation différenciée, interdiction aux véhicules d’avant 1997 de circuler, limitation de la vitesse à 70 ou 90 km/h sur les voies express… les grandes villes se mettent depuis

Christian Troadec pour Christian Troadec le 23/01/17 11:51

Circulation alternée, circulation différenciée, interdiction aux véhicules d’avant 1997 de circuler, limitation de la vitesse à 70 ou 90 km/h sur les voies express… les grandes villes se mettent depuis plusieurs mois à tester différents dispositifs pour éviter d’amplifier encore un peu plus la pollution urbaine… Paris, Lyon, Grenoble, mais aussi Rennes connaissent régulièrement des pics de pollution. Il n’est pas inutile de se poser la question de savoir comment nous en sommes arrivés là ? La réponse est évidente : c’est la conséquence d’une métropolisation à outrance du territoire, avec des villes de plus en plus grandes, où tout – populations, industries, services, pouvoirs – est concentré. Avec comme facteur induit la montée en puissance des pollutions de toutes sortes.

Parmi tous les dispositifs testés, il y en a pourtant un qui réglerait en grande partie toutes ces difficultés mais que les pouvoirs successifs, droite et PS, refusent de mettre en oeuvre ! C’est-à-dire un autre aménagement du territoire avec une décentralisation qui équilibrerait les choses, où les emplois trouveraient leur place et où les populations gagneraient en qualité de vie … Une solution qui limiterait les dégâts à l’environnement et les coûts. Est-ce raisonnable d’agrandir encore les périphériques routiers des métropoles au lieu de déconcentrer les richesses là où on en a le plus besoin ? C’est une question de bon sens…

Christian Troadec

Maire de Carhaix

Conseiller départemental régionaliste du Finistère

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Vos 11 commentaires
  Naon-e-dad
  le Mardi 24 janvier 2017 11:10
Profitons en pour alerter et enfoncer le clou, sur quelque points :
.A 2x2 voies sud-Bretagne à l’arrivée à Nantes : goulot d’étranglement obligatoire (une seule voie ! ) lors du raccordement sur le périphérique nantais. Or, tout le trafic routier (voiture et camion) sortant de Bretagne vers Aquitaine, Pyrénées et péninsule ibérique passe par cette étroiture. C’est un point de fragilité. Qui s’en soucie ?
.B liaisons interurbaines Nantes-Rennes et Nantes Vannes. Par la route, sinon rien ! Je parle pour les professionnels. Ceux qui s’étonneraient de cette remarque peuvent tenter de relier ces villes en train (horaires, temps de correspondance, temps de parcours, coût), ils comprendront vite. Pas vraiment adapté aux besoins des personnels d’entreprise.
.C et pour finir, NDDL. Il est facile d’imaginer la pagaille dantesque et permanente que semerait sur le périphérique nantais, déjà saturé à de nombreux moments de la journée (et cela ne fait qu’empirer au fil des ans), la construction (éventuelle) d’un deuxième aéroport nantais.
Bref, Nantes, prend avec plusieurs décennies de retard et à son échelle, le chemin de l’apoplexie parisienne. Pas vraiment encourageant. Pas vraiment le modèle à suivre.
Alors oui - je suis d’accord avec Christian Troadec . A-du on gant Kristian Troadeg, Ao Maer Karaez -, il est pertinent, dans le débat pré-électoral du moment, de s’interroger sur le projet de société future. Et donc, sur l’organisation du territoire (découpage des régions, ET équilibrage des territoires). CQFD.
Est-ce que nos politiques nationaux vont enfin se réveiller un jour ? Dav eo d’ar botilitkourien dihuniñ ha n’eo ket lavarout gaou !
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  Reun Allain
  le Mardi 24 janvier 2017 19:01
Je ne peux que faire ce même constat de déséquilibre considérable entre cette métropolisation à outrance et l’organisations des déserts humains en dehors des « grands pôles urbains » (ne soyons pas vulgaires) J’ai vécu en région parisienne, il m’arrive d’y retourner pour raison familiale en IdF ou à Francfort et je ne peux que plaindre mes enfants qui y vivent (mal) quand nous bénéficions nous, en Bretagne dans une commune du Pays de Guémené/Scorff d’une qualité de vie que nous n’avions jamais connu même pas pendant une dizaine d’années au soleil méditerranéen de la région de Montpellier.
Tout serait parfait pour nous si la tendance au grand écart n’allait pas en s’accentuant et notamment la fracture numérique. Il y a le programme breton de câblage en fibre optique qui va arriver assez tôt pour certains en ville, les plus grandes, mais à la campagne on attendra 2030. Une solution transitoire moins coûteuse aurait été l’internet mobile en 4G mais dans notre commune nous n’avons même pas la 3G et les agents de l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) qui est un organisme d’état s’arrange pour éviter de déclarer officiellement des zones blanches en 3G pour éviter à l’état se substituer aux opérateurs quand ceux-ci sont défaillants. Le protocole est très permissif en faveur des opérateurs, pour ne pas être déclaré défaillant il suffit de recevoir un opérateur dans la rue et quand ils font une campagne de mesure, ils la font en janvier en l’absence d’obstacles à la propagation des ondes par les feuillus. Situation non représentative de la végétation sur l’année.
Qui est responsable de cette fracture ? D’abord l’état français avec la complicité de ses hauts fonctionnaires mais aussi les élus locaux. Combien de maires se battent en associant leurs administrés à la résistance contre l’inertie organisée de l’administration (préfectures en tête). L’esprit « Bonnets Rouges » est loin, la population peut se battre sur ces sujets sans risquer de poursuite. Pire dans la circonscription, il y a un député « frondeur » (c’est lui qui le dit) mis en face de ses devoirs, fournit comme seule réponse que lui non plus dans sa résidence ne reçoit pas la téléphonie mobile. Ce mépris d’élu (local / national) est une insulte. Puisque les lois sont permissives en faveur des opérateurs et des obligations de l’état, le rôle de ces parlementaires est de déposer des amendements pour mettre fin à ces ségrégations entre villes et campagnes, entre bobos et ouvriers et qu’ils ne viennent pas dire qu’ils ne pouvaient rien ils avaient tous les pouvoirs mais leurs urgences furent des lois sociétales pour des minorités influentes des grandes métropoles pendant qu’on licenciait à tour de bras dans nos abattoirs bretons. Après ça ils s’étonnent de la montée des populismes.
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  Naon-e-dad
  le Mercredi 25 janvier 2017 10:36
@Reun Allain
Merci pour votre témoignage sur ce point absolument capital pour le maintien ou le retour de l'activité sur l'ensemble du territoire.
Je pensais la péninsule bretonne plutôt avantageusement dotée, ou en voie de l'être dans les toutes prochaines années (2020 et non pas 2030).
Ailleurs, dans le Finistère, j'ai recueilli récemment un témoignage affligeant qui pointe la responsabilité d'un maire rural n'ayant manifestement pas compris l'impact de l'internet, comme pré-requis pour toute activité économique aujourd'hui. En conséquence de quoi, celui-ci 'aurait pas pris les dispositions budgétaires (en terme de priorité) qui lui revenaient. Je me demande encore comment un tel décalage de mentalité est possible.
A galon deoc'h
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  Gwenael Kaodan
  le Mercredi 25 janvier 2017 10:40
Il y a de l'ironie dans ces histoires de pollution. Pour me rendre à mon travail chaque jour j'utilise le vélo. Ces derniers jours avec les alertes à la pollution et aux particules fines, les efforts physiques sont déconseillés (ex-asthmatique). Je prends donc la voiture, augmentant ainsi la pollution, creation d'une boucle réaction positive du phénomène en d'autres mots une accélération dans l'accélération.
Petite remarque sur la 3G ou la 4G, Reun a raison de dénoncer la fracture numérique mais transporter des données par ondes électromagnétiques demandent 3 à 4 fois plus d'énergie que par fil ou fibre donc 3 à 4 fois plus de pollution...
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  Reun Allain
  le Jeudi 26 janvier 2017 09:44
@Gwenael. Je n'ai pas trouvé de chiffres précis pour situer un ordre de grandeur des puissances d'antennes 3 ou 4G, j'ai lu des chiffres entre 10 et 60 watts pour certaines mais quoi qu'il en soit, les consommations d'internet mobile mêmes plus élevée en hertzien qu'en câblé resteront négligeables par rapport au moindre éclairage public d'un petit bourg rural. Nos smartphones eux mêmes fonctionnent dans le sens "montant" avec des puissance inférieures à 1W. Nous sommes dans des petits ordres de grandeur.
A terme il n'y a pas de raison que les communes rurales ne soient pas couvertes comme les villes en téléphonie mobile 4G. C'est une exigence de justice territoriale comme pour les routes, l'eau, l'électricité. les réseaux conventionnels téléphonique câblés.
Résoudre les problèmes de téléphonie mobile en 4G pour les communes rurales et hameaux isolés permettrait d'attendre plus sereinement l'achèvement du plan Megalis Bretagne à l'horizon 2030.
Hélas quand on voit les tergiversations et les prétextes que j'estime malhonnêtes de la part des autorités de régulation, des services de l'état et de certains élus pour reconnaître l'absence de service en 3G, j'avoue que suis assez pessimiste pour l'avenir économique du Centre-Bretagne si les Bretons ne se manifestent pas plus.
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  Paul Chérel
  le Vendredi 27 janvier 2017 13:57
J'ai lu et relu cet article signé Troadec ainsi que les commentaires. Je me demandais s'il fallait ou non faire un commentaire. En fait, la question posée repose sur un postulat, l'existence ou non de pollution et ses causes. CT, sans bien se baser sur des chiffres et des conséquences avérées, en tire UNE conclusion que je rejoins en grande partie. Mais , pour moi, la solution est tout autre car il faut essayer de résoudre le problème de la surpopulation de l'espèce humaine. Certains suggèrent des solutions radicales, qu'évidemment je ne partage pas. Laissons la nature faire "les choses". Par contre, il existe une solution dont les Français ont une sainte horreur atavique. C'est la construction des villes "attirantes" par les activités qu'elles monopolisent, EN HAUTEUR, comme cela s'est fait aux USA et se fait maintenant un peu partout même dans des zones désertiques impropres aux cultures. Le raccourcissement de trajets et de temps passés entre lieux d'habitation et lieux de travail est une nécessité. Il faut y songer sérieusement et non "à la française". Savoir construire des buildings, les aménager en mêlant bureaux, commerces et habitat, savoir construire des batteries d'ascenseurs efficaces, performants et entretenus régulièrement, etc. Oh ! cachez ce sein que je ne saurais voir ! Paul Chérel
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  Naon-e-dad
  le Vendredi 27 janvier 2017 15:07
J'entends la proposition de Paul Chérel comme une invitation à construire des tours élevées pour l'ensemble des moments de vie: travail, habitat, commerce,...Est-ce exact?
Qu'on me permette de faire part de mon expérience de citadin.
. dans la ville, j'ai réalisé un jour à force de passer devant des écoles primaires et maternelles que les tout jeune savaient bien de la chance d'avoir les pieds sur terre. Un privilège partagé par ceux qui fréquentent les églises, et les cafés. Désolé de le dire ainsi, mais c'est la réalité. Pour l'essentiel de la vie adulte, c'est sous terre ou en l'air (comprendre dans l'air conditionné et aux néons),
. un jour, je me suis vraiment dit qu'il n'était pas normal de voir le ciel seulement lors des présentations météo TV. Ce jour-là, j'ai décidé que je partirai.
Bien sûr, il y a de quelques belles tours (elles sont rares, ma préférée est l'oeuvre d'une entreprises industrielle hardie, souvent je me suis dit que les banques manquaient d'audace et d'esprit d'innovation en ce domaine).
Qu'on me permette aussi de rappeler quelques évidences:
. les médecins savent que dans les étages des tours les enfants présentent un état de santé plus fragile. La raison: ils ne peuvent pas bouger ou courir comme il le faudrait.
. dans les hautes tours, souvent, les cantines inter-entreprises sont situées au rez-de-chaussée. Normal : pour défatiguer et déstresser ceux qui vivent en hauteur, on les ramène au sol le temps de la coupure de midi. La démarche est exactement inverse de celle des restaurants panoramiques touristiques.
. quant aux économies d'énergie, avec des ascenseurs (efficaces ou pas), il faut oublier! Comme le dit la maxime: l'énergie la moins chère et la moins polluante est celle que l'on ne dépense pas. J'avais pour habitude d'éviter les escalators, ce qui est une attitude atypique et peu courante.
. rendement au m2. Prenons un exemple : la tour Montparnasse (Paris). Les urbanistes aujourd’hui, et le public, la plupart pensent qu’il s’agit d’une monumentale (c’est le mot qui convient) erreur… Un autre exemple ? La Grande Arche de la Défense (Paris). Certes très esthétique – elle constitue un marqueur incontestable et contribue à structurer le paysage urbain -, mais difficile à utiliser et coûteuse. Son intérêt visuel est inséparable de son caractère unique. Au passage, elle n’est donc pas un modèle reproductible.
Alors que faire ? Je suis convaincu qu’une relative proximité avec le sol et le contact visuel avec des arbres, le ciel, ou de l’eau (fleuve ou autre),… sont importants. Nécessaires. En matière d’immeubles, ma préférence va clairement vers des immeubles de faille hauteur (ce qui est le cas à Nantes/Naoned, agglomération dans laquelle l’intensité de l’effort de construction actuel est impressionnant). Cela suppose aussi que la pression démographique ne soit pas trop forte. Ou que les choix urbanistiques soient « raisonnés » (comme on le dit de l’agriculture).
Ceux qui ont pour ambition de concevoir ou édifier une quelconque Jérusalem terrestre, seraient bien inspirés de regarder vers la Jérusalem céleste (question de culture). Ce qui veut dire penser aux habitants en priorité, et pas seulement aux profits escomptés. Parfois avec une avidité trop visible.
Evidon-me, gwall-bouezhus eo al liamm gant an douar, kement hag hini gant an Neñv !
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  Gwenael Kaodan
  le Vendredi 27 janvier 2017 15:38
Ne serait-ce pas une façon d'augmenter le phénomène de métropolisation de construire ce genre de ville ? Une tertiarisation des emplois entraîne des besoins plus important en énergie.
Des métropôles boboisées et des périphéries réduites en quasi esclavage pour alimenter la machine.
Dans "L'effondrement des sociétés complexes" Joseph A. Tainter nous montre comment l'empire romain s'est écroulé par la dette, les grandes cités par leur impôt de plus plus plus important ont fait que les ruraux de l'époque ont accueilli favorablement l'arrivée des barbares.
Présenté comme un déclin, cette époque a été un essort pour le monde de la paysannerie. Les cités se sont vidées, les riches ont rejoint leur propriété en campagne avec eux tout leur personnel. Rome est passée de 1 200 000 habitants à 30 000 habitants au moyen age. Bien sur ce n'est pas les seuls paramètres, élite en complète décadence, fonctionnant uniquement sur l'idéologie sans ancrage dans la réalité en est un autre.
Toute ressemblance avec la situation actuelle ne serait que fortuite et involontaire.
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  Paul Chérel
  le Vendredi 27 janvier 2017 17:40
@Naon-e-dad et Gwenael. Je m'attendais évidemment à ce type de réactions. Je pourrais même les réciter par cœur. Un jour, le Français comprendra. Les deux exemples parisiens cités par Naon-e-dad sont précisément ce QU'IL NE FAUT PAS FAIRE. A quelle distance de ces tours, les gens qui y travaillent habitent-ils en moyenne ? Ce ne sont pas dans leurs déplacements, de leurs embouteillages qu'ils produisent de la pollution ? Je leur conseille quelques voyages à New-York ou Montreal, surtout s'il y a justement un gratte-ciel (building ) en construction à ce moment-là. Ils pourront comparer avec le travail de nos architectes, les méthodes et la façon de faire de nos entreprises de construction. Mais je les laisse évidemment libres de penser, et affirmer, qu'ils ont raison. La France d'ailleurs va bientôt connaitre la même fin que la Rome Antique décrite par Gwenael.
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  Loïc. L
  le Samedi 28 janvier 2017 23:49
De l'aménagement du territoire et de l'importance des villes: les échanges (nombre de déplacements) entre une métropole et les villes alentours evoluent en fonction du carré de la distance, exactement la même formule que pour la gravité. Ce qui signifie que la dépense énergétique est tout aussi importante et dépendante. Mais tant que les transports en commun ne sont dédié qu'aux métropole et leur centre et rien pour l'environnement au delà des banlieues, alors la solution sera de faire des immeubles hauts, chers, pour encore accroître l'importance des metropoles, et les gens ayant les moyens auront une maison au vert, à l'écart. Le lieu du pouvoir étant la métropole qui controle le reste ( l'analogie avec Paaaris et la proviiiinnnce est frappante)
Une solution ( je ne pense pas qu'il y en ai qu'une) serait de développer les moyens d'échange entre une métropole et les villes alentours ( genre 50km par ex). Et améliorer la sécurité des transports en commun (je n'ai jamais entendu parler d'agression dans un aéroport, mais dans les gares ou métro c'est malheureusement légion).
J'habite à 20km de mon travail = 1h15 en transport en commun (= je peux prendre un cheval (breton...)c'est pareil). Voiture 35min.
La Bretagne à une chance, celle d'avoir de nombreuses villes de taille moyenne. Elle est la région qui en a le plus. Je suis sûr que la dépense énergétique est moindre. Les entreprises se.concentrant moins, et donc la possibilité de diminuer son trajet est meilleure.
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  Naon-e-dad
  le Dimanche 29 janvier 2017 19:58
@Paul Cherel
Ca alors. Y aurait-il une incompréhension entre nous. Je vais faire simple: la vie en ville est très difficile. Ceux qui n'en ont pas l'expérience peinent à l'imaginer. Je présente juste un avis-utilisateur sur la durée, pas un rapide regard touristique. Vous vous placez peut-être du point de vue des entreprises de BTP, dont la responsabilité se limite généralement à un chantier, et pas à la ville dans sa globalité…
La ville présente certains avantages mais les inconvénients sont tels qu'il m'apparait politiquement et sociologiquement irresponsable de faire la promotion de giga-mégapoles, dans la lignée de ce que l'on connait déjà. Du moins si l’on est un peu sensible à l’espace, et que l’on souhaite respirer un peu. Je remarque d’ailleurs que NY bénéficie de la proximité de l’océan, ce qui n’est pas le cas de Paris.
Après, vous pouvez être d'un avis différent. Et nous aurons peut-être l'occasion d'échanger sur d'autres articles.
A galon / Cordialement
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