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- Communiqué de presse -
Pas d’avenir en mangeant dans la gamelle des partis français
Suite à l'issue du 2ème tour des élections législatives, des Bretons jubilent. Donnons-leur rendez-vous dans 5 ans ! Il n'y aura aucune avancée pour l'avenir de chacune et de chacun
Bertrand Deleon pour En avant Bretagne le 17/06/12 23:38
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Manifestation de Quimper le 31 mars 2012 lors de laquelle le PS faisait campagne politique.

Suite à l'issue du 2e tour des élections législatives, des Bretons jubilent. Donnons-leur rendez-vous dans 5 ans ! Il n'y aura aucune avancée pour l'avenir de chacune et de chacun en Bretagne, soyons-en certains. Nous aurons tout juste perdu un temps précieux pour sauver notre âme.

- Plutôt que voter majoritairement à chaque fois pour l'un des deux partis monopolisant les médias, en jouant ainsi à un éternel ping-pong politique ;

- Plutôt que se plaindre de la politique en place et, pourtant, plébisciter toujours les mêmes !

- Plutôt que choisir un candidat se targuant de ses relations parisiennes, en vérité contre nos intérêts ;

- Plutôt que de penser que tel ou tel candidat lié à l'un des partis français portera la voix de l'emploi, du pouvoir d'achat, de nos retraites, etc. Et sur ce point, portons plus encore notre regard critique sur les candidats proches de l'UDB qui, mangeant dans la gamelle du PS pour être élus, se tairont définitivement). Ces partis français franciliens sont responsables de notre agonie en pompant nos forces, notre fiscalité et nos richesses, en faisant taire nos valeurs ;

- Plutôt que mettre en avant l'affairisme contre l'honnêteté (l'UMP et le PS ont un lourd passé en ce domaine, et cet héritage leur permet de se maintenir !) ;

- Plutôt que choisir une formation politique qui nous empêche de voir au-delà des mers ;

- Plutôt qu'abandonner la Bretagne à la spéculation immobilière, à la colonisation française ;

- Plutôt qu'encourager l'action de l'ensemble des partis politiques freinant ici toute initiative ;

Arrêtons de croire des foutaises et n'espérons pas plus du PS que d'autres partis. Le passé n'a toujours pas servi de leçon.

Choisir la voix de la Bretagne est la seule voie pour l'avenir de tous sur les 5 départements bretons, le reste n'est que tromperie.

Glenmor disait “si Bretagne se bat, la Liberté est au bout !”. Or, il est encore temps pour que chacun de vous relève la tête.


Bertrand Deléon, candidat En Avant Bretagne, 2e circonscription.

Voir aussi :
Cet article a fait l'objet de 1165 lectures.
Vos 20 commentaires :
Alwenn Le Lundi 18 juin 2012 11:17
Il faudra bien finir par comprendre que ce genre de rhétorique ne mène à rien sinon au 1% aux élections, et encore !
Faire de la politique "sérieusement" suppose de savoir comment fonctionne la politique.
Je trouve mal venu de faire des procès d'intention par avance. On verra effectivement le résultat dans cinq ans.
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Jacques Abbou Le Lundi 18 juin 2012 11:31
Les 1 % sont dus en la confiance ou la soumission aveugle que beaucoup de bretons vouent à nos ennemis. Car, ce sont nos ennemis ces partis politiques. On perd un temps précieux, arrêtez de croire au Père Noël, il faut grandir !
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Ar Vran Le Lundi 18 juin 2012 12:27
M. Deléon, même si je partage votre déception, il ne faut pas être si pessimiste.
Vous écrivez qu\'\"Il n\'y aura aucune avancée pour l\'avenir de chacune et de chacun en Bretagne, soyons-en certains. Nous aurons tout juste perdu un temps précieux pour sauver notre âme.\"
Oui si on se place uniquement dans la thématique \"Bretagne seule contre tous, purifiée des influences extérieures de la France depuis plus de 500 ans\"
Non, si on considère que c\'est quand les forces politiques de Bretagne se réunissent que la Bretagne avance (cf. l\'exemple du CELIB dans les années 50-60). Pour cela il faut faire ce front breton avec toutes les forces pro-Bretagne en y associant les politiques bretons encartés à des partis hexagonaux à la condition qu\'ils défendent d\'abord la Bretagne et non pas les intérêts de leur parti ou de la France au dépend de la Bretagne.
En conséquence, tout en préparant ce front breton pour les élections de 2014, il faut mettre la pression sur les députés élus pour qu\'ils s\'engagent durant leur mandat à oeuvrer pour la Bretagne; et le leur rappeler régulièrement...
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Jacques Abbou Le Lundi 18 juin 2012 13:05
On ne peut comparer le CELIB, mouvement économique de survie, à une stratégie politique actuelle.
Bertrand Deléon fait réfléchir : qu'a t'on gagné si ce n'est par lobbyisme ?
- les voies express ? CELIB (lobby non électoraliste) et FLB ;
- les panneaux en breton ? Stourm Ar Brezhoneg ;
- les avancées culturelles ? FLB, lobby divers et proposition de la droite giscardienne.
Je ne pense pas que dans cet article il y ait de la déception, je ressens plutôt un appel.
L'UDB fait 3 % en plus de 40 ans à séduire la gauche française (PS, les Verts et même le MDC, Front de Gauche...). Quel message retient la population de Bretagne ?
Avec 3 % sans compromis, on serait bien plus efficace quelque part. Le front modéré peut être sans compromissions préjudiciables à la question bretonne.
Enfin, il faut parler simple : comment voulez-vous que des satellites locaux du PS et des représentants PS puissent faire avancer un dossier comme celui de la réunification ? Simple exemple.
La confiance des Bretons vis-à-vis des partis politiques parisiens est effectivement un véritable cancer. Il s'agit bien d'agonie lente, je partage l'avis donné dans l'article même s'il y a 1 an de cela, j'aurai vu ces propos comme excessifs. C'est un discours nouveau, il faut l'entendre.
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Ach Tung Le Lundi 18 juin 2012 13:56
M. Jacques Abbou fait de grandes phrases. De grands actes sont maintenant attendus.
Et il a l'obligation de réussir mieux que ceux qu'il dénonce. Évidemment.
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Ar Vran Le Lundi 18 juin 2012 14:00
@Jacques Abbou
Je vous invite à lire mon intervention sur Molac (http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=26371)
Même si je suis d'accord avec votre constat, le problème est que l'immense majorité des bretons sont encore "drogués à la politique française" et donc ne comprennent pas encore l'intérêt à ce qu'il y ait des candidatures spécifiquement (ou uniquement) bretonne à des élections dites "nationales" .
Pour moi, il ne s'agit pas d'une lente agonie car de tout temps il en a été comme cela en Bretagne. En revanche, il faut faire bouger les lignes (en attendant que ce front breton soit prêt) en faisant du bruit et en "poussant" les députés bretons nouvellement élus pour qu'ils oeuvrent d'abord pour la Bretagne.! Vous verrez que si cette stratégie est couronnée de succès, il y aura fort à parier que pour les élections locales de 2014, le front breton sera gagnant car tous les Bretons y auront inconsciemment été préparés!
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eugène Le Tollec Le Lundi 18 juin 2012 16:08
@Ar Vran
C'est effectivement la seule issue et dès maintenant commencer à mettre en place des listes "aux municipales" sous l'étiquette union bretagne(mixage des partis bretons hors extrêmes et partis français)?JE RAPPELLE QUE CES LISTES D'UNION DEVRONT ËTRE COMPOSEES DE COMPETENCES(dans les domaines municipaux,ces listes d'union seront appelée à manager,comprendre et décider.
Nous devons nous affranchir des mensonges et tromperie;
Je demande aussi à tous les députés élus de se positionner en un groupe breton,à l'assemblée ,il leur faut afficher la pensée bretonne et revendiquer la volonté d'un peuple.
Voilà donc la feuille de route "anti jacobine".
Nous pouvons,nous devons le faire.
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Bertrand Deléon Le Lundi 18 juin 2012 18:20
Je vous invite à lire la réponse de Stefan Bian, concise et complète à la fois. Il n\'y a rien à espérer du PS, c\'est désolant de devoir encore le démontrer. Et encore, le mot est faible, c\'est affligeant.
Rendez-vous dans 5 ans, mais cette fois promettez que ce soit la dernière !
En espérant que vous vous réveillerez avant, qu\'on puisse sauver quelques meubles...
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Christine Viard Le Lundi 18 juin 2012 21:06
Cette fois la gauche n\'aura aucune excuse pour la langue bretonne et je pense d\'abord à l\'enseignement qui n\'est pas suffisant mais qui est le minimum pour lui assurer des locuteurs c\'est à dire un avenir : l\'enseignement devra devenir un droit opposable pour les familles et Diwan doit obtenir au plus tôt des écoles sous contrat dès la création comme au Paus Basque. Ces 2 points déjà changeraient beaucoup de choses pour l\'enseignement. Nous pouvons penser à la demande de la région pour que les routes nationales deviennent bilingues... Et combien encore. Si nous sommes toujours au même point dans quelques mois, arretons de nous leurrer. Il est clair que ces quelques années sont cruciales pour le breton.
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Stefan Bian Le Mardi 19 juin 2012 13:26
Comment ça \\\"cette fois la gauche n\\\'aura aucune excuse\\\" ?
La gauche - française - a déjà eu toute latitude pour faire avancer les \\\"dossiers bretons\\\".
Croyez-vous vraiment qu\\\'un président qui place Ayrault comme premier ministre a des intentions honnêtes vis-à-vis de la Bretagne ?
Les Bretons, qui méconnaissent leur Histoire, sont diront-on d\\\'une naïveté indécrottable ...
Pourtant, les ouvrages honnêtes relatant l\\\'histoire de la révolution des parisiens sous l\\\'angle Breton ne manquent pas !!
La Bretagne jusqu\\\'alors était encore considérée comme un peuple (\\\"Je veux que mes Peuples vivent en Harmonie\\\", Louis XVI).
Sans avoir à être royaliste, ni sans être un Hisorien chevronné, il est force de constater que, de cette révolution, sont nées deux tendances lourdes que nous subissont encore.
Naquit ainsi la \\\"droite française\\\", issue des intérêts des bourgeois parisiens (à bien y regarder, les choses ont-elles bougé ? le schéma n\\\'est-il pas toujours le même ? l\\\'argent de la sueur des provinces (pro-vincia : nations vaincues !!!) ne continue-t-il pas à engraisser l\\\'industrie, l\\\'emploi et la puissance économique et financière de la région centrale française ?)
Naquit du même coup la \\\"gauche française\\\", éprise de ses propres libertés (parlez-en aux adeptes de la libre-pensée ...), et, par sa naissance dans la terreur de l\\\'autre, d\\\'emblée liberticide pour tout \\\"autre\\\" différent, bretons inclus. Sauf à ce que ceux-ci se dissolvent totalement dans l\\\'identité française! Cette gauche-là est totalement engoncée dans ses principes, retranchée dans l\\\'absurdité de se prétendre ouverte et de se fermer à tous ceux qui diffèrent d\\\'elle.
Aujourd\\\'hui, tous les partis politiques français sont nationnalistes, et tous les français continuent de croire en l\\\'ennemi intérieur, principe fondamental (là aussi) de la révolution des parisiens : fédérer tout une nation dans la peur de l\\\'autre.
L\\\'ennemi intérieur des politiciens français, c\\\'est le breton (s\\\'il s\\\'affirme comme tel) autant que le marocain (s\\\'il refuse de renoncer à sa propre identité).
Qu\\\'attendre alors de ces partis qui, de droite, prônent à tout va la supériorité de la civilisation française, et, de gauche, crient encore \\\"aux armes\\\" en s\\\'accrochant à la mythologie de l\\\'unicté universelle d\\\'un état-nation qui ne respecte qu\\\'une frange de sa population (ceux qui veulent bien se dissoudre dans cette unicité).
Nous avons toujours attendu quelque chose, une miette, an aluzenn, me ho ped hag hoc\\\'h asped, de notre bon maître, et n\\\'avons jamais rien reçu.
Quel fait nouveau justifie que cela change ?
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Stefan Bian Le Mardi 19 juin 2012 13:38
(La réponse concise relatée par Bertrand Deléon est en fait une réaction à l'article de ABP concernant l'élection de M Molac, présentement en tête des articles, mais le thème et la question posée ne sont-ils pas exactement les mêmes ?)
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Ar Vran Le Mardi 19 juin 2012 15:05
M. Bian
vous avez raison sauf que vous oubliez un point : la Bretagne n'a pas été seulement colonisée par le grand voisin de l'Est mais le pire c'est que ce sont ses habitants qui le sont devenus entièrement. C'est le syndrome du gallo-romain.
Allez dire aux Bretons actuels qu'ils sont colonisés et qu'il faut qu'ils se battent pour rester Bretons, vous risquez d'être plus que déçu. Actuellement, les Bretons dans leur immense majorité se complaisent dans cette situation. C'est à nous de faire en sorte que cela ne soit plus le cas. Pour cela, il est nécessaire de parvenir à rallumer (certes à la mesure de nos moyens) le sentiment breton dans chacun de nos concitoyens et parvenir progressivement à faire comprendre aux Bretons que ce ne sont pas simplement des Français. Je sais que cela est difficile mais c'est la seule solution qui nous reste ... Il ne faut surtout pas attendre car rien ne viendra de la France et de ses valets, c'est à nous Bretons de se bouger...
Quant aux élections législatives, cela ne sert à rien de les bouder en prétextant que ce sont des élections pour les Français (etc...) car la majorité des Bretons en tant que citoyens français (hélas) s'y sont déplacés pour aller voter.
Au contraire il faut pouvoir retourner les armes de l’ennemi contre lui-même. Cela signifie qu'il faut imposer aux députés bretons nouvellement élus qu'ils se comportent d'abord en Breton avant toute chose et le leur rappeler régulièrement en leur mettant la pression le cas échéant.
Comme cela pour la France, soit disant "haut représentante de l'espèce humaine sur toute la terre" va ressembler de plus en plus à un fruit pourri mangé de l'intérieur par un buzug !!!!
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argoad Le Mercredi 20 juin 2012 11:10
Un bon article, je suis d'accord sur la situation décrite par Beltram Deléon.
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Le Bacon Gael Le Samedi 16 mars 2013 12:00
Ce serait un miracle si en mangeant dans la gamelle de l'UDB, on obtenait qque chose pour la Bretagne et le breton !... RLB
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Patrig Chevin Le Samedi 16 mars 2013 12:29
"Red vo dastum, Bretoned, tohed ar brezel / Eost du ar re vo daoned eo treh Breiz Izel" (Glenmor)>
Brovreizpaysbreton.forummparfait.com
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eugène Le Tollec Le Samedi 16 mars 2013 12:45
Ar Vran
come tout est exact .mais une chose que le breton ne doit ps admettre c'est l'invasion de l'émigration en Bretagne (toutes nos villes sont submergées l'une après l'autre (parmi eux ,il y en a de normaux mais il y a surtout du parasite "à la recherche constante des bienfaits de notre couverture sociale ..et cmme en Bretagne ,il fait bon vivre ,c'est cocagne!( je suis effrayé de voir nos marchés le samedi ou le dimanche ,ça devient pire que le sud de la France ou d'AFN.
Bretons allez faire un tour dans les villes de "chez nous";Cela n'est pas de l'intégration ,c'est tout simplement "je m'impose",j'ai des droits et peu de devoirs.
Il n'y a pas de travail...comment vivent ces gens?
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eugène Le Tollec Le Samedi 16 mars 2013 16:55
Je dis cette émigration là,nous est imposée,elle n'est pas voulue par les bretons.
Nous subissons comme le reste.
Le travail de nos jeunes leur est offert AINSI QUE TOUS LES AVANTAGES SOCIAUX(CMU - RMI- Retraite pour leurs vieux ,etc);Certains quartiers de nos villes deviennent des zones de non droit de type région parisienne ou autre.
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Pierre CAMARET Le Samedi 16 mars 2013 19:41
Excellent.Si enfin nous prenons conscience que de manger dans la gamelle des Partis Francais n' apportait rien ( lecon a l' UDB , dont la strategie , etait de crignoter des strapontins par son alliance avec le PS).
Nous devons compter que sur nos propres forces , disait MAO TSE TOUNG ........alors organisons nos propres forces?????
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Ar Vran Le Samedi 16 mars 2013 23:11
Pour continuer...
Que grâce à la nullité du gouvernement actuel, la France continue de s'enfoncer...
Cela veut dire clairement que pour les Bretons, il n'y a plus d'excuse dorénavant.
On a essayé avant la droite française, icela n'a rien donné; on essaye maintenant la gauche française et on est en train de s'aperçevoir que cela ne sera pas meilleur pour la Bretagne,
Reste maintenant ( enfin diront certains) le choix breton.
Qu ' à l'issue de cela, il existe encore des Bretons qui votent pour des partis hexagonaux, cela est du domaine de l'idiotie, de la naïvetè ou pire de la psychiatrie.
Il n' y a plus d'excuse maintenant !
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Pierre CAMARET Le Samedi 16 mars 2013 23:24
Dans 5 ans ?? disons dans 4 ans maintenant .
Rien ne changera , si NOUS ne changeons pas .
SARKO nous meprisait legerement (comme le personnage luimeme)
HOLLANDE , nous ignore .
L'Alsace est un bon exemple , on pourrait (si le Oui l'emporte ,ce que je crois d'apres ma famille) faire la meme chose .L'objectif :d' avoir un Pouvoir Breton .Ne demandons pas l' impossible au.....debut .Comme les Americains , prenons ce que l' on nous offre, et ensuite ameliorons la situation
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