Outre la suppression de l’Ecotaxe et la démission du Premier ministre de l’Etat français, c’est un remaniement, non pas ministériel, mais institutionnel que nous devons réclamer nombreux à Karaez le
Outre la suppression de l'Ecotaxe et la démission du Premier ministre de l'Etat français, c'est un remaniement, non pas ministériel, mais institutionnel que nous devons réclamer nombreux à Karaez le 30 novembre. Il est grand temps que la France jacobine « une et indivisible » se mette enfin à la page en emboîtant le pas à la Grande-Bretagne et à la Belgique et accorde plus d'autonomie aux Régions à l'instar des Lander allemands, des Cantons suisses, des Généralité en Espagne ou des Régions à statut spécial d'Italie.
Pour pouvoir survivre, la Bretagne impérativement doit se doter d'un statut spécial lui conférant des pouvoirs législatif, exécutif et judicaire qui lui soient propres en accord avec une politique européenne solidaire de peuples fédérés. Cela impose, bien sûr, que lui soient dévolus les moyens techniques, humains et financiers nécessaires à la mise en œuvre de ses politiques. La Bretagne (intégrale bien évidemment) devra pouvoir légiférer librement dans les domaines de l'emploi et du travail, de l'économie et du tourisme, de l'agriculture, de la pêche et des affaires maritimes, de l'enseignement et des langues bretonnes, de la santé, des affaires sociales, des transports, de l'urbanisme et du logement, de la culture et des médias, de l'environnement et de l'énergie, de la justice civile et de la fiscalité régionale.
L'histoire nous a depuis longtemps prouvé que la Bretagne n'a rien à attendre de Paris, l'actualité récente le confirme. Le temps est venu de prendre notre avenir en mains !
Padrig Delorme
Commentaires (5)
-L'impôt communal. Il est réinvesti dans la commune. En cas de projets d'envergure ou de litige: référendum.
-L'impôt cantonal. Il est réinvesti dans le canton. Memestra, en cas de projet d'envergure ou de litige: référendum.
-L'impôt fédéral à Berne: il n'est pas très élevé.
Ils sont calculés proportionnellement aux revenus de chacun.
Hag echu tout!
Carhaix doit devenir la réponse bretonne,"d'aujourd'hui" à 1532 et aux diktats revolutionnaires dont l'action de Vichy est la résultante finale.
Rappelons nous bretons que Vichy et ses sbires n'ont agit que dans le droit fil de l'état républicain.
De Gaulle n'a rien fait pour changer la donne,il aurait pu le faire étant le sauveur...mais n'a rien fait.
Carhaix doit être l'amorce d'un cabinet "fantôme",futur parlement breton et le reste de la prospective...
Carhaix doit être le premier ciment d'unité(je demande hors parti d'État majoritaire.
Carhaix doit être le point de départ d'un britonisne qui n'a plus à discuter avec un Le Foll ,un autre sbire républicain de type préfet de région.
La discussion de CARHAIX doit être de niveau premier ministre...elle devra parler de DÉVOLUTION. et de loi de RÉTROCESSION.
CELA s'appelle une révolution(chez certains ,de velours et chez d'autres on appelle cela un printemps breton)
Qui va demander au Gouvernement Francais notre autonomie : Un collectif , un Comite de Salut Public mais qui n'a pas de bases legales , car non elu "democratiquement "(comme ils disent .
On peut poser les bases , mais il faut qu'aux prochaines elections Regionales une majorite pro - autonomie soit elue ( droite -Gauche ) liee par un engagement collectif de poser officiellement le principe de l'Autonomie de la Bretagne (B5).Un CR elu "democratiquement "a une legalite . Bien entendu Bruxelles doit etre tenu au courant de toutes les negociations .
Mes amis , la bonne volonte , l'honnete ne suffisent souvent pas . Il faut des nerfs d'acier et la majorite de la population Bretonne derriere nous .
Se dire , que notre cause est juste et que nous meritons de gagner .
Sur le commentaire d’Eugène Le Tollec : Vichy a tout fait pour revenir à une situation pré 1789 et a combattu de toutes ses forces les idées républicaines. Il n’y a pas de continuation entre République et régime de Vichy sur aucun point. Pétain était pour une Bretagne à 5 départements (contrairement à Laval) et certains nationalistes bretons ont été dans un premier temps soutenu par l’occupant nazi.