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Autour du président Jean-François Garrec les membre de la 
Commission
Autour du président Jean-François Garrec les membre de la Commission " Economie et culture"
- Dépêche -
La CCI Quimper - Cornouaille lance la première commission Economie et Culture en Bretagne
La Chambre de Commerce et d'Industrie de Quimper Cornouaille a installé la Commission « Economie et Culture ». Une première, dans le réseau des CCI de Bretagne, qui vise à formaliser le rapprochement d'univers bien différents : culturel, touristique et économique. Fondée sur l'identité bretonne de la Cornouaille, elle a pour ambition
Louis Gildas pour ABP le 24/09/09 7:52

La Chambre de Commerce et d'Industrie de Quimper Cornouaille a installé la Commission « Economie et Culture ». Une première, dans le réseau des CCI de Bretagne, qui vise à formaliser le rapprochement d'univers bien différents : culturel, touristique et économique. Fondée sur l'identité bretonne de la Cornouaille, elle a pour ambition de développer les relations entre culture et économie, soutenir l'économie de la culture, renforcer l'action culturelle par le soutien des entreprises et appuyer l'activité des entreprises en y associant l'image culturelle de leur territoire.

Jean-François Garrec, président de la commission et Henri Belbeoch, président délégué et directeur des éditions Palantines, ont accueilli en son sein plusieurs institutions et associations : producteurs de musique tels que L'OZ Production, Keltia Musique, SIWA - une entreprise de son-éclairage - mais aussi le président du Bagad de Kemper, ou encore le directeur du Festival de Cornouaille, ainsi que des experts de Mécénat Culturel.

Au programme : des conférences thématiques auxquelles seront invitées de grands témoins, des actions de co-branding sur les produits culturels, des rencontres qui permettront de promouvoir l'identité culturelle de la Cornouaille, à travers sa photographie, gastronomie, musique, sculpture, créations audiovisuels, littérature…

Une évidence pour la CCI de Quimper Cornouaille "le monde de l'entreprise, celui de l'artistique et du culturel peuvent très bien cohabiter."

Cet article a fait l'objet de 1625 lectures.
Vos 8 commentaires :
Caroline Le Douarin Le Mardi 31 août 2010 23:27
Je n'aime pas que l'on dise à tous vents "Bretagne" au lieu de "région Bretagne" quand il s'agit de la Bretagne administrative à 4 départements, comme ici. La Bretagne en comporte 5. En Loire-Atlantique les Bretons sont très sensibles à cette nuance. Tous les Bretons devraient l'être aussi. Merci.
Caroline Le Douarin à Rezé-lès-Nantes-de-Bretagne
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Hervé Leray Le Mardi 31 août 2010 23:27
J'abonde dans le sens de Caroline Le Douarin Hervé- Saint-Nazaire-de-Bretagne près de l'officiel Montoir-de-Bretagne
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Herjean Michel Le Mardi 31 août 2010 23:27
Quand on parle de la Bretagne il suffit de ne plus employer le mot région mais plutôt "Bretagne administrative" ou "Bretagne historique" le département 4 ou 5 est artificiel .
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Caroline Le Douarin Le Mardi 31 août 2010 23:27
Je vous suis très bien. Mais si je préconise d'insister sur RÉGION pour la Bretagne administrative (et je ne suis pas la seule), c'est surtout pour la presse.
Ouest France et Le Télégramme, dans les pires, ne se privent pas de nous annoncer des faits de "Bretagne" qui ne comportent que des données, parfois chiffrées, de la Bretagne administrative. Ils sont donc constamment dans l'erreur.
Et pour la presse, qui veut toujours faire court, (comme "le château des Ducs" point, encore un exemple), le mieux serait qu'ils prennent l'habitude d'écrire région Bretagne.
Je crois que nous sommes les seuls en France à subir cette ambigüité de dénomination et elle est nuisible à l'esprit de réunification (qui n'étouffe pas la presse...). Voir un forum des lecteurs sérieux et édifiant "Mais de quelle Bretagne parle-t-on ?" http://www.ouest-france.fr/2009/03/26/nantes/Mais-de-quelle-Bretagne-parle-t-on--55708001.html
Merci
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André Corlay Le Mardi 31 août 2010 23:27
Merci Caroline. Nous sommes en effet très nombreux à avoir chaque jour ce genre de "poussée d'adrénaline". Même Monsieur Le Drian commet souvent cette négligence devant les médias, rendant à chaque fois, sans s'en rendre compte, un énorme service aux adversaires de la réunification en banalisant notre mur de la honte. Si nos responsables eux-mêmes négligent, par manque de temps ou d'espace... ou simplement par flemme ou toute raison volontaire cachée ... d'ajouter ce simple mot de "région" à CHAQUE USAGE dans le sens "B4" du mot BRETAGNE, comment s'étonner qu'Ouest-France, lui, oublie carrément que les Bretons l'ont porté au zénith des quotidiens français et les méprise désormais au point d'utiliser, au lieu du mot "Bretagne", l'abominable périphrase : "Les 4 départements bretons et la Loire-Atlantique" ? Qui osera prétendre alors que c'est pour gagner du temps ? L'ajout des mots "administrative" ou "historique" que suggère Michel est évidemment très précis, mais là, c'est 3 ou 5 syllabes de plus à prononcer et, le plus souvent, c'est la pure flemme qui les condamne ... A Bretagne Réunie, on dit respectivement "B4" ou B5"... 2 syllabes dans les 2 cas... avouez que cette abbréviation (à pur usage interne) a l'avantage de ne pas laisser d'ambigüité ni d'encourager la flemme ! Probablement l'une des raisons pour lesquelles l'une des premières appellations de ce mouvement était "B5=OUI".
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alain létévé padioleau Le Mardi 31 août 2010 23:27
Très juste, si la région administrative Bretagne se serait nommer autrement, par exemple la région Armorique, et si le 44 se serait nommé, après Inférieure, plutôt Loire de Bretagne que Atlantique; aujourd'hui (et sans remettre en cause bien sûr la légitimité de la réunification) la situation serait beaucoup plus claire : la Bretagne historique (la seule, l'unique) serait toujours lisible et visible dans la région Armorique plus le département de Loire de Bretagne. Dès lors, l'identité ligérienne du 44 ne serait plus que géographique et donc parfaitement acceptée dans une identité historique et culturelle bretonne toujours présente et parfaitement reconnue. Et la réunification serait peut-être plus simple ???
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PY Pétillon Le Mardi 31 août 2010 23:27
Bennoz Doue ! La CCi de Kemper (ils pourraient déjà changer de nom) va enfin prendre en compte son appartenance bretonne. On pourra donc oublier cette campagne de pub (très franchouarde) d'il y a peut... CF : http://www.quimper.cci.fr/dollarsnewsletters/pdf/2008-fiche-cocorico.pdf Quant aux liens entre culture et économie, n'existe-il pas déjà des choses ??? Produits en Bzh par exemple. Quels sont les liens entre la CCI et cette asso ?
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Léon-Paul Creton Le Mardi 31 août 2010 23:27
Personnellement j'ai intégré des notions qui me paraissent simples comme dénominations conventionnelles compréhensibles par tous : « La Bretagne », c'est la Bretagne ! Dans la plénitude de son Histoire. « B4 », c'est l'administrative ! Dans l'étroitesse de ses comptabilités. « PdL », c'est ?... Le Pays de L'annexion ?
Quant à Armorique, pourquoi pas!… par anticipation de ce que la régionalisation « nous imposerait », c'est-à-dire le regroupement de régions, et cela « malgré tous nos efforts on peut imaginer réunir sous cette identité commune, les régions administratives qui composent en partie ou totalité le Massif Armoricain: Bretagne Armorique (Armoricaine ?), Poitou Armorique, Anjou Armorique, Saintonge Armorique, voire Normandie Armorique. Oui ça fait du monde, plus ou moins selon les géographes et historiens.
L'article émanant de la CCI « de Quimper associait Economie, Culture et Identité comme trois éléments renforçant les potentiels des régions. À cet égard il est étonnant de voir, par ailleurs, Bernard Poignant maire de Quimper ou JY Le Driant ancien maire de Lorient, demander que le montage de la « Bluescar » de Vincent Bolloré se fasse en Bretagne…à Rennes (???), comme si cela était impensable, inimaginable…inconcevable de le faire autre part. Pourquoi pas dans le Finistère, Le Morbihan ou les Côtes d'Armor. D'autant plus que PSA à Rennes semble prudent sur cette option… Le développement des territoires de Bretagne de l'ouest en aurait pourtant bien besoin ! Nantes et Rennes, leurs rôles et impacts politiques, économiques et culturels dans ce qu'ils ont de positifs et de négatifs sur le reste de la presqu'île Bretagne, ne sont pas suffisamment intégrés dans le débat Breton
Enfin, Rennes dans son environnement politique actuel ou passé ne semble pas apporter beaucoup « d'énergie et de détermination bretonnes » à la réunification de la Bretagne au regard de la tiédeur du vœu récent de son conseil général. Capitale de la Bretagne, Rennes ??? Ces hommes et ces femmes sont plutôt inquiétants…Quant à vouloir une telle capitale dans ces conditions…
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