Les élections sénatoriales ont lieu ce dimanche 27 septembre. Trois des quatre candidats sortants représentent une liste de 6 candidats.
Soit Michel Canévet, avec des élus Modem, UDI et une élue LREM. Philippe Paul avec des élus uniquement LR. Jean-Luc Fichet pour le PS. Sur cette liste PS, Maryvonne Blondin ne se représente pas laissant sa place potentiellement à la présidente du Conseil départemental, Nathalie Sarrabezolles, puis Jean-Jacques Urvoas en 3e position.
Il y aura 6 listes en totalité, dont une liste de gauche hors PS avec des Communistes, Génération.s, de Nouvelle Donne et des Radicaux de Gauche. Une autre associant Europe Ecologie et l’UDB. Et la dernière avec des candidats Rassemblement National élus en Bretagne.
Les 348 sénateurs sont élus au suffrage universel indirect par environ 162 000 grands électeurs. Dans chaque département, les sénateurs sont élus par un collège électoral de grands électeurs formé d'élus de cette circonscription : députés et sénateurs, conseillers régionaux, conseillers départementaux, conseillers municipaux, élus à leur poste au suffrage universel.
De nombreux articles de presse ont été publiés depuis le début de cette année sur les enjeux de cette élection, qui a failli être reportée ainsi que les Régionales en raison de la crise sanitaire, mais finalement validée après les Municipales réalisées en 2 fois sur 6 mois. Dont un premier tour plus que limite, quelques jours avant que ne soit décrété le confinement. Mais étonnement, aucun article sur les statistiques pourtant consultables en ligne, du travail et de la présence des sénateurs à leur poste n’a été fait dans la presse locale, que ce soit Ouest-France ou le Télégramme.
Il existe un site, cependant qui matérialise la synthèse de tout cela, il s’agit de www.nossenateurs.fr Cet outil met en valeur l'activité parlementaire des membres du Sénat. En synthétisant les différentes activités législatives et de contrôle du gouvernement des élus de la nation, il permet à chaque citoyen d’utiliser de nouveaux outils pour comprendre et analyser le travail de leurs représentants. C’est en quelque sorte une plateforme de médiation entre citoyens et sénateurs. Il permet en outre, de participer et de s'exprimer sur les débats parlementaires.
Voici résumés assez clairement, en tête d’article, les graphes d’activité des 4 sénateurs finistériens. En dessous une analyse globale traduit par un classement des 100 plus ou moins actifs au Palais du Luxembourg, également sur les 10 derniers mois.
Toutes les données et travaux des 6 dernières années sont consultables sur le site www.nossenateurs.fr