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- Communiqué de presse -
Enseignement immersif et patrimoine : une transmission vivante et créatrice ?
Pierre-Johan Laffite travaille à l'ISLRF et aide les futurs enseignants des Calandretas à réfléchir à leurs missions, il intervenait ici avec eux pour rendre compte de leurs recherches
Fanny Chauffin Par FC le 28/03/16 12:25
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Réalisation :

Pierre-Johan Laffite travaille à l'ISLRF et aide les futurs enseignants des Calandretas à réfléchir à leurs missions, il intervenait ici avec eux pour rendre compte de leurs recherches

Pour lui l'engagement profond de l'enfant vient de son désir. Il rend hommage aux enfants, que ce soit lors de l'apprentissage des mathématiques, une "conceptualisation difficile" en langue minorisée, ou à la culture de classe qui va permettre une "poésis", une puissance créatrice.

Dans les classes coopératives, la vie culturelle et la culture sont objets de patrimoine. Il cite le travail sur la revue littéraire félibrige du Cantal (1895(-1939) qu'un enseignant a découverte avec sa classe.

Il parle de "faille narcissique" qui existe chez l'adulte enseignant, mais pas chez l'enfant, prêt à tous les apprentissages. Un enfant n'est "enrôlé sous aucun drapeau". Il est donc utile de transmettre un patrimoine "hors duquel la langue perd sa substance".

Cette transformation se doit d'être vivante, surtout pas muséologique ou identitaire. Les enfants alors "ne sont pas asujettis, mais sujets".

Poour en savoir plus : (voir le site)

Voir aussi :
Vos 1 commentaires
naoned e breizh Le Vendredi 1 avril 2016 15:56
Tout est dit, le narcissisme.
C'est pour cette raison que je suis contre diwan, mon enfant ayant eu à subir le narcissisme de son professeur à Nantes.
Qui maintenant est occupé à se dédier une page wikipedia, quel grand homme....
Rendre hommage aux enfants, c'est tout bonnement un aveu d'échec, c'est à eux qu'incombe de surmonter la médiocrité du professeur.
Tandis que les parents ne peuvent pas suivre, d'où prise en otage de l'enfant.
Les Corses et les Basques n'ont pas ces problèmes, leurs professeurs sont bien plus sérieux.
Pour conclure, l'enseignement du breton ne doit se faire qu'en école div yezh, ce qui permet à l'enfant de s'épanouir, loin de la sinécure pour prof dorloté par les militants effrayés des scandales éventuels.
Cet article ne parle pas de la récréation où certains enfants se faisaient agresser, avec la passivité des "professeurs" qui ont fini par se retourner contre les parents de l'enfant.
Pourtant c'est à la récré que les enfants échangent le plus.
Pour avoir un enseignement immersif, il faut avoir des professeurs de qualité. Loin d'être toujours le cas, et les enfants trinquent. Mais le système français permet ça.
Bevet Breizh dieub
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