Publié le 17/06/21 13:04 -- mis à jour le 19/06/21 12:34
Les trois coprésidents de Bretagne Réunie se sont entretenus avec les deux candidats à l’élection départementale de Loire-Atlantique désignés par leurs partis politiques pour être président du département.
Messieurs Michel Ménard et Laurent Turquois se sont engagés fermement pour accompagner budgétairement la vie et le développement de la culture et de la langue bretonnes en milieu scolaire et universitaire ainsi qu’à travers le monde associatif.
Dans le domaine économique ils sont également favorables à une dynamique de développement des relations entre la Bretagne administrative et le département de Loire-Atlantique.
Il ressort de notre conversation que pour les deux candidats la pétition des 105 000 électeurs de Loire-Atlantique en faveur d’une consultation, restée sans suite depuis 2018, ne ferait pas l’objet d’une nouvelle présentation en conseil départemental.
Bretagne Réunie très investie dans une démarche législative respectueuse de la démocratie représentative, note avec satisfaction que les deux candidats ont tous deux affirmés qu’ils accompagneraient positivement les travaux d’un groupe parlementaire transpartisan qui oeuvrerait dans le but de faire passer une loi favorable à la réunification de la Bretagne.
Les trois coprésidents de Bretagne Réunie ont également partagé en visio un moment d’échange avec le président de la région Bretagne administrative candidat à sa réélection, Monsieur Loïg Chesnais-Girard.
Ce dernier a pris bonne note que le futur président de Loire-Atlantique, que ce soit Monsieur Turquois ou Monsieur Ménard, se propose d’engager un dialogue avec le Conseil Régional de Bretagne administrative afin de travailler ensemble des dossiers du domaine économique -ports, tourisme…- culturel et linguistique.
En conclusion les trois coprésidents de Bretagne Réunie, première interlocutrice de la société civile et du monde politique sur cette thématique de la réunification, avec ses 750 adhérents, ses 18 comités locaux sur toute la Bretagne intégrale, sur Paris et le reste de la France, ses 50 000 sympathisants et sa pétition des 105 000 électeurs de Loire-Atlantique, notent avec satisfaction l’évolution très positive de la question de la réunification qui est devenue un thème central du débat démocratique avec la prise de conscience de beaucoup de citoyens et d’élus que la partition de la Bretagne devenue factuelle en 1972 par la création du Conseil Régional des Pays de Loire est un acte unilatéral et autoritaire de l’État. Que la réparation de cette partition serait un signe fort sur le plan géographique, culturel tout autant qu’économique.
Les coprésidents de BRETAGNE RÉUNIE
Philippe Clément, Alan-Erwan Coraud, Alain Francis Peigné
- Meilleurs voeux 2023 pour l'autonomie, la réunification et l'officialisation de nos langues par Philippe Argouarch le 01/01/2023
- Pétition des 100 000 pour la réunification de la Bretagne : le tribunal administratif va statuer par Bretagne Réunie le 26/11/2022
- L’UDB appelle à manifester le samedi 24 septembre à Saint-Nazaire pour la réunification de la B par UDB le 21/09/2022
- Le Parti Breton / Strollad Breizh appelle à manifester pour la Réunification de la Bretagne par Parti Breton le 21/09/2022
- Manifestation en faveur de la réunification de la Bretagne, samedi 24 septembre à 14 heures au port de Saint-Nazaire par Alliance Souverainiste Bretonne le 17/09/2022
- Grande manifestation pour la Réunification de la Bretagne par le 29/07/2022
- Marine Le Pen contre l’enseignement des langues régionales à l’école mais pour un RIC sur la réunification par La rédaction le 23/04/2022
- La CGT au service du projet de Grand-ouest par Philippe Argouarch le 17/01/2022
- Il y a 12 ans Jean-Yves Le Drian, alors dans l’opposition, accusait le gouvernement de ne rien faire pour la réunification de la Bretagne, mais qu'a-t-il fait aujourd'hui ? par Philippe Argouarch le 15/01/2022
- Le plan d'action en faveur de la réunification et de la vie bretonne de Nantes dévoilé par La rédaction le 10/06/2021

Je crains Bretagne Réunie naïve.
Maintenant Bretagne Réunie fait la promo d'un anti-B5 notoire, Ménard ou d'un candidat LR ?
De qui se moque t-on ? Après toutes ses décennies ?
L'intention était bonne mais comme chacun le sait " la création d'une Commission est faite pour enterré un problème " je cite le principal élu du 44 de l'époque , ce qui veut dire que la volonté n'y est pas , attesté par les inflexions prises par Mr Grosvalet Ph président du Conseil départemental du 44 qui cesse son activité sans avoir pris à bras le corps le sujet de la réunification de la Bretagne car c'est un opposant
à celle-ci , permettez -moi de douter de Mr Ménard , aucun de ces politiques n'ont pris sérieusement la "pétition de Bretagne réunie" de 2019 .
Seul compte leur siège dans une assemblée quelconque et être réélu , le pouvoir délégataire du vote ne fait plus recette hélas ( pour le coup des élu(e)s minoritaires représentent le peu de votants inscrits sur les listes électorales c'est un fait et la Loi certes ) . , mais il y a des raisons politiques c'est à dire coller aux réalités du terrain et voir ce qui est dans la société et d'accompagner les demandes des populations . Là l'idéologie l'emporte sur les faits " les Breton(ne)s veulent vivre dans une région à 5 départements , en 2014 la réforme territoriale a consacré le mépris des hommes et femmes ordinaires mais de bonne volonté , en Bretagne , en Alsace , en Poitou , en Franche -Comté , en Limousin , en Lorraine ...
Ce sont les Breton(ne)s qui feront la réunification de la Bretagne en société , en maintenant leur culture vivante , langues , musiques , arts , créations ...
Restons confiants , mais c'est à l'épreuve des faits que l'on voit les oeuvres de ce qui nous dirigent !
Doanik eo ! N'omp ket sklankerien na korkerien !
On peut le déplorer, aujourd'hui, tout est communication, le numérique remplaçant de plus en plus la relation humaine. J'écris celà car certains candidats du 44 envisagent de consulter en ligne ou par courrier les citoyens. Qu'en pensez ?
Pour un référendum il faut une loi; Feront-ils un copier-coller de la loi 2014-2015 impossible à appliquer sur le droit d'option - Madame Gourault ayant utilisé déjà cette méthode pour répondre à monsieur Molac.
Changer les élus. Prochaine étape l'élection présidentielle.
Cette pétition est toujours en vigueur car :
- Son motif exact n'a pas été mis à l'ordre du jour (une obligation légale pourtant)
- Elle ne faisait pas référence au droit d'option (abrogé en 2019)