- Dépêche -
Catherine Jacob à Lorient : du grand écran à la scène
L’actrice Catherine Jacob était au Cinéville de Lorient ce vendredi pour l’avant première du film de Charlotte de Turckeim, « Les Aristos ». A cette occasion, elle a rencontré la presse au pub « Le Bureau » pour parler cinéma…et théâtre. En effet, Catherine Jacob est aussi au théâtre
Par pour ABP le 16/09/06 16:25

L’actrice Catherine Jacob était au Cinéville de Lorient ce vendredi pour l’avant première du film de Charlotte de Turckeim, « Les Aristos » . A cette occasion, elle a rencontré la presse au pub « Le Bureau » pour parler cinéma…et théâtre. En effet, Catherine Jacob est aussi au théâtre en cette rentrée. Elle sera sur les planches du Grand Théâtre du 10 au 14 octobre 2006 dans la pièce de Rémi de Vos « jusqu’à ce que la mort nous sépare » .

JPT / SJ / ABP

Jusqu’à ce que la mort nous sépare

Lors du décès de sa grand-mère, un homme retrouve sa mère qu’il n’avait pas vue depuis plusieurs années. Les retrouvailles sont difficiles. C’est aussi l’occasion pour lui de revoir son amour de jeunesse, qu’il n’avait pas oublié. Malgré les griefs que chacun s’adresse et la survenance d’un incident qui pourrait tout compromettre, les retrouvailles auront finalement lieu.

Une pièce qui parle d’amour, de mort, du temps qui passe, ou il est aussi question de mensonge, de haine, de désir et de folie.

Une pièce de Rémi de Vos mise en scène par Eric Vigner au Grand Théâtre de Lorient du 10 au 14 octobre.

Les Aristos

« Vous devez au Trésor Public la somme de 1 991 753 Euros….Et vous n’avez pour tout bien que le château de Neuville, une bicoque décrépite que vous habitez avec votre nombreuse famille… » Plusieurs solutions s’offrent au Comte Charles Valerand d’Arbac de Neuville, à son épouse Solange, née Poitou Castilla de la Taupinière, ainsi qu’à leurs ascendants et descendants en ligne plus ou moins directe : la fuite à l’étranger, la chirurgie esthétique, le changement de nom, un étalement de leurs dettes sur 271 ans, le suicide…Il vont donc tenter l’impossible (à l’exception notable du travail) pour préserver leur château en ruine, symbole d’une existence fragile et néanmoins tenace…

Commence alors un voyage initiatique, identitaire et loufoque au centre de la vraie vie…Un banquier aux nerfs fragiles, un huissier aristophobe, des nobles parvenus, des cousins radins, des transports très communs….Aujourd’hui seule la noblesse est révolutionnaire… !

Dans les salles le 20 septembre 2006.

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